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(…) une étonnante variation sur le temps qui passe et le vieillissement simultané d’un homme, superbement interprété par Al Pacino, et du cinéma américain. (…) « L’impasse » consacre Brian De Palma (…) comme le plus ample des cinéastes américains. Cahiers
Il y a ici des choses superbes, en particulier un sens pictural de la composition et des couleurs jamais pris en défaut, comme une maîtrise du rythme qui parvient à faire alterner des instants de violence fulgurante et de vastes plages de latence (...).
L’ouvrage repose sur un scénario efficace de David Koepp. (…) Méconnaissable dans [son] rôle, Sean Penn, partenaire de choix pour un Pacino très inspiré, exprime le cynisme du personnage dans une de ses meilleures compositions. Positif 397, mars 94.
Eternel Parrain, Al Pacino replonge : on ne lui en voudra pas, il fait ça à merveille et, cette fois, dans la plus grande sobriété. En avocat cocaïnomane et hystérique, Sean Penn est également impeccable. Télérama, 23 mars 94
Cahiers du Cinéma
(…) une étonnante variation sur le temps qui passe et le vieillissement simultané d’un homme, superbement interprété par Al Pacino, et du cinéma américain. (…) « L’impasse » consacre Brian De Palma (…) comme le plus ample des cinéastes américains. Cahiers
L'Humanité
Il y a ici des choses superbes, en particulier un sens pictural de la composition et des couleurs jamais pris en défaut, comme une maîtrise du rythme qui parvient à faire alterner des instants de violence fulgurante et de vastes plages de latence (...).
Positif
L’ouvrage repose sur un scénario efficace de David Koepp. (…) Méconnaissable dans [son] rôle, Sean Penn, partenaire de choix pour un Pacino très inspiré, exprime le cynisme du personnage dans une de ses meilleures compositions. Positif 397, mars 94.
Télérama
Eternel Parrain, Al Pacino replonge : on ne lui en voudra pas, il fait ça à merveille et, cette fois, dans la plus grande sobriété. En avocat cocaïnomane et hystérique, Sean Penn est également impeccable. Télérama, 23 mars 94