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Un visiteur
4,0
Publiée le 8 mai 2008
Très bon film. Intéressant et bien filmé, on ne peut cependant que regretter que la veuve y est mis sa pâte ce qui donne forcément au film une direction qui aurait pu être un peu différente. Dommage !
Grâce à ce film superbement interprêté et en noir et blanc ce qui lui donne plus de véracité, j'ai découvert le groupe Joy Divison dont je n'avais jamais entendu parler auparavant et qui correspond bien à mon aspiration musicale.
J'ai bien aimé ce film, c'est génial qu'il soit en noir et blanc. Il y a des gens qui ne l'ont pas aimé mais en tout cas sur moi ça a bien marché : j'ai pleuré quand c'était triste, j'ai souris quand ça l'était moins...Le problème, c'est que le scénario ne tourne qu'autour des histoires amoureuses de Ian Curtis, et pas vraiment autour de sa musique.
Un film magnifique qui prend au corps, même si on ne connaissait pas particulièrement le chanteur Ian Curtis, et qui donne envie de découvrir le groupe Joy Division (pour ma part j'ai ressorti les 33 tours de mes parents). Un noir et blanc magnifique, et un acteur principal bluffant par son jeu et sa ressemblance au chanteur. Un chef d'oeuvre cinématographique et musical à la fois.
Que d'émotions ! J'ai 41 ans, et j'écoute Joy Division depuis l'age de 13 ans... Autant de profondeur dans ce film que dans le timbre écorché de Ian Curtis interprétant New dawn fades. Un rôle de composition magistral pour Sam Riley et ses comparses, voix et gestuels parfaits, dans le cadre noir et blanc d'une Angleterre déprimée... Pour l'anecdote, ils étaient amis avec les Buzzcocks (desquels ils firent les premières parties), contrairement à ce que laisse supposer le film, et... pas de référence à Martin Hannett qui les aida à trouver leur "son" et à finaliser leur style. Le plus surprenant dans ce film qui dure 2 heures, c'est qu'il ne s'y passe pas grand chose, voire... rien; et pourtant, il m'a scotché du début à la fin (amateurs de Die Hard s'abstenir !). D'ailleurs, plus qu'un film, c'est une nouvelle d'Edgar Poe, un poème d'outre-tombe... la plus belle complainte gutturale que nous ayons eu de puis les Doors... Pour conclure, sans Joy Division et son charismatique Ian Curtis, le rock ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui, et le cinéma non plus. Merci Anton Cobijn... PS: Je m'appelle Eric, fête le 18 Mai, est-ce un hasard !?
J'ai complètement accroché à ce film. Ce que j'ai préféré c'est la façon dont sa vie est en prise directe avec ses textes et que les deux s'interpénètrent. Je me suis attachée à ce personnage torturé au cours du film. Et puis le jeu d'acteur de Sim Riley est impressionnant ! En plus il chante lui même !
La femme de Curtis, qui a écrit le livre sur lequel s'est appuyé le film, monopolise un peu trop l'écran, comme si elle était seule responsable des crises d'identité et de créativité de son mari, comme si elle était son seule démon. C'est le point faible d'un film par ailleurs très réussi, qui privilégie l'intime au spectaculaire et banni le côté strass et cocaïne souvent présent dans un biopic de rockstar ; qui rend bien hommage à la musique crépusculaire, à la fois organique, mécanique et électrique de Joy Division ; et qui révèle un jeune acteur, Sam Riley, totalement hanté par le fantôme de Ian Curtis, et dont la prestation atteint des sommets sur les scènes de scène, où pantin désarticulé, il flirte constamment entre la crise d'épilepsie, la transe et la folie.
J'adore le film en noir et blanc. Super bonne idée. La musique bien sûr est géniale. Ca m'a fait un peu penser à "Walk the Line" mais en même temps Ian Curtis semble plus accessible. Il a une part d'humanité qui est très prononcée. Et j'ai trouvé l'actrice Alexandra Maria Lara très jolie dans ce film :'o, pourtant elle est assez banale habituellement... Et c'est bien dommage que l'histoire soit ainsi focalisée sur Ian et pas du tout sur les autres membres du groupe... Mais j'ai adoré quand même ^^
Un bon exemple de ce que donne l'expoitation de certains laissés seuls ( & manipulés à leur dépens ) avec leur "succès", ainsi que bien sûr la prescription à outrance - rappelant d'autres temps... -; surtout quand on sait que la musique à l'époque réclamait un minimum de sincérité ( Ne se résumant pas en effet à une coiffure de chez "tony & Guy", quelques de ces beats informatiques et/ou ces cours (trop) intellectuels & bourgeois ) ... Détail qui tue : le barbu semblant sortir d'une production des " destiny's child ".
Film en noir et blanc qui raconte la vie de Ian Curtis , leader d'un groupe de rock anglais "Joy Division".C'est Très bien filmé , le début est vraiment pas mal , intéréssant , le reste du film l'est un peu moins , un peu long par moment . Et un final qui met des frissons. Un film qui peut être pas mal à regarder.
Je ne connaissais pas l'histoire de ce groupe et elle m'a touché .L'ambiance anglaise des années 60 est bien rendue et on se laisse prendre par l'histoire .Un scenario sobre un film sans grands moyens et un resultat etonnant.