Derniers Avis : Control - Page 19

Des frissons tout au long du film. La musique de Joy Division bien sûr mais aussi cette manière si pudique et sensible de transmettre ce que Ian Curtis était. Un jeu d'acteur qui sonne vrai (sam riley est bouleversant), des images qui vont bien au delà de la simple esthétique m'ont replongé dans l'"atmosphere" de l'homme plus que la star. Une mise en images du livre de Deborah Curtis, un film qui sera une référence autant que la musique de Joy Division l'est pour moi. Here are the young men...

Pour tous ceux qui ont influencé par la musique de Joy Division, et pour tous ceux qui veulent découvrir un destin hors du commun, je n'ai qu'un conseil: Allez-y.
Ce film propose de très beaux plans en noir et blanc. On a vraiment l'impression de voir Ian Curtis tout au long du film. Et pour une fois, on sort du film cliché sur Manchester (Drogues, rock, chomage et foot...)

Ressuscité le temps d'un film, Ian Curtis est un hypersensible pour les fans de Joy Division (que je suis), un personnage antipathique pour la personne avec qui j'ai été voir le film hier soir et qui ne connaissait pas l'oeuvre de Joy Division. En tout cas,le film a suscité beaucoup d'émotions tant par la qualité des images en noir et blanc, que celle des acteurs... etla musique de Joy Division(malheureusement pas assez présente dans le film) d'une telle puissance glaçante qu'elle donne au film la bulle de CO2 qui permet de comprendre le suicide de Ian Curtis,elle seule reste immortelle.

Biopic attachant, davantage dans la tonalité du film social anglais que de l'hagiographie émotionnelle hollywoodienne. En dépit de la banalité de l'histoire conjugale et d'une première partie manquant un peu de rythme pour une oeuvre du genre musical, l'ensemble se laisse voir (et écouter) avec plaisir.

Très simple, très classe, Control met à l'amende tous les biopics traditionnels. On est loin du cycle habituel "modestie succès drogue rédemption" et c'est tant mieux. Des cadres magnifiques mais pas étouffants, un acteur phénoménal, une BO hors paire, tout est réuni pour que Control vous reste à l'esprit pendant un bon bout de temps.
J'ai vu ce film il y a trois mois et autant dire que ça fait trois mois que j'attendais le septembre pour le revoir.
Mais pour atténuer cet enthousiasme trépidant, disons que la dernière demi heure est assez poussive et répétitive.

Le film est génial pas du toute.. c'est vrai je ne suis peut être pas hyper objectif étant un grand fan de Joy division depuis mon adolescence.
Sam Ripley est magique en Ian... c'est Ian.
Je suis resté scotché tout le long du film et sorti hyper ému et bouleversé... quelle vie ce Ian... tellement...commune en fait..avec des choses qu'on peux tous vivre.. alors c'est vrai le côté Joy est un peu en arrière plan.. mais comme l'a dit Anton, ce n'est pas un film sur joy division ..mais sur Ian Curtis membre de Joy Division. Vivement le DVD pour le revoir ainsi que le making of et les bonus.
Merci pour ce film.

Le photographe Anton Corbijn parvient à faire de ce biopic de Ian Curtis un film bouleversant porté par le charisme de Sam Riley, sublime interprète du leader de Joy Division. La musique du groupe anglais et celle de Bowie y sont omniprésentes pour le plus grand plaisir du spectateur qui ne peut que saluer l'immensité de film.

Malgré quelques petites longueurs et des banalités comme les scènes de ménage du couple, on s'attache très rapidement à ce chanteur dépressif dépassé par le succès de son groupe et l'échec de son mariage. Et ce, même si on n'est pas fan de Joy Division. Les passages musicaux sont assez rares mais percutants, et la réalisation en noir et blanc retranscrit bien le romantisme sombre du groupe et de son chanteur. Superbe.

Quel film !
Les gens se ruent pour aller voir des daubes comme die hard 4 et passe à côté de ce genre de films. Il est absolument parfait tant au niveau des images, des acteurs , de l'ambiance, de l'émotion... ce n'est pas un film qui retrace la carrière de Joy Division , même si on le voit beaucoup mais c'est surtout basé sur la vie de Ian Curtis , ses tourments , ses quelques joies ...
Etant trop jeune pour avoir pu le voir ou pu lire des écrits d'époque sur lui..., j'ai beaucoup aimé mettre une image sur tout ce que j'ai lu sur lui.

On ne pouvait pas s'attendre à un film totalement joyeux, quand le sujet en est Ian Curtis, le chanteur neurasthénique du groupe Joy Division ! Mais, au moins, on pouvait espérer ne pas s'ennuyer ! Raté ! "Control" retrace en noir et blanc la "carrière" et la vie sentimentale de Ian, depuis les années de lycée jusqu'à son suicide, à l'âge de 23 ans. En fait, le film, dont le scénario est tiré du livre écrit par la femme de Ian), s'attarde surtout sur ses problèmes de couple et ne fait qu'effleurer ce qui aurait dû être son vrai sujet, en l'occurence la destruction progressive d'un être talentueux mais faible par un milieu sans pitié. On pouvait attendre mieux de Anton Corbijn, photographe et réalisateur de clip réputé, et qui a très bien connu Joy Division et son chanteur.

L'un des plus beaux films de 2007 assurément, à voir absolument ! Je ne serais pas objective en le qualifiant de chef d'oeuvre, mais j'ai tellement adoré ce film que c'est le premier mot qui me vient à l'esprit.

Nul besoin d'etre fan de Joy Division pour adorer ce film. Biensur connaissant bine le groupe j'ai été plus touchée par le film.

Une réussite sur tout point, déja au niveau viseulle, on sent bien ici le 'coup de patte' du photographe qu'est ANton Corbijn. Le choix du Noir et blanc est tout a fait justifié et rend l'ensemble esthétiquement superbe.

Les acteurs sont excellents et bien évidemment mention spéciale à Sam Riley qui ne jour pas Ian Curtis mais qui vit Ian Curtis. Il est Ian Curtis (malgré un visage qui rappelerai plutot Pete Doherty mais passons ;) ) Les scène musicales sont exeptionelles, tant Riley reproduit bien la façon de bouger de Curtis.

Le film nous boulverse tout du long, voir la descente au enfer d'un homme qio avait pourtant tout mais qui était sans cesse partagée entre le succès, entre 2 femmes, et aussi attenint d'une maladie qui lui rendait la vie incertaine. La scène du suicide m'a même fait monter les larmes aux yeux.

Et je pense n'étonner personne en disant que la BO est fabuleuse, tant les titres de Joy Division que ceux de Bowie, Sex Pistols, ect...

Une grande réussite.

Control est un film qui avance peu à peu dans la mélancolie profonde du leadeur du grand groupe Joy division. Le film commence de l'adolescence du jeune Curtis (mon moment preferer du film, les 20 premiere minute), fan de David Bowie, rebelle , et la poésie moderne dans la peau. Et paf, il en suffit de peu pour qu'il incruste un petit groupe, qui montera trés haut grace à lui, en jouant d'abord dans des petit bar paumer et autre salle pas réputer, et paf un producteur cool et génial les manages aprés les avoir reperer aprés un petit concert, et un mentor visonnaire signe le contrat de son sang.
On voit regulierement des passage ou le groupe joue en concert, et vraiment, se sont des grand moments du films, ou l'ont voit I.Curtis avec sa dance bizar, et comme en trans lorsque il chante accrocher à son mirco.
Une chose magnifique du film, se sont les plans vraiment parfait (normal le réal est photogrpahe pro depuis longtemps^^) avec ce noir et blanc qui ne peut qu'aller à l'ambiance du film, la couleur aurait tuer l'oeuvre et toute son ambiance.
dernier point positif, la prestation de tout les acteur, et evidemment celle de sam riley, qui est comme on dit habité par son personnage, et en plus ressemble vraiment physiquement à Ian Curtis.
Ce qui me fait enlever une étoile au film, alors que j'aurai vraiment aimer en mettre 4, ces vers le milieu du film, ou le film echappe un peu tro à la vie en tant que star d'un groupe de Curtis, et se rapproche trop de sa vie sentimental, ce qui donne alors des moment assez chiant (chose entierement personnel, certain ne pourrait ne pas être d'accord avec se que j'ai écrit là, je peut comprendre).
Control est un film au theme artistique tout simplement magnifique et travailler, qui nous relate la vie de cette ame sensible victime de la vie Ian curtis, et Control est doinc en lui un magnifique film. (et pour les jeune qui aime le rocck et on un ptit groupe, vous allez toitalement pouvoir vous identifiez à ce groupe dans ces début)

Tout simplement bouleversant, on en sort pas indifférent ! Vraiment magnifique !
A voir absolument, un vrai chef d'oeuvre !

J'ai trouvé ce film très agréable à suivre. Il m'a même donné envie de découvrir Joy Division!

Marié à 18 ans, père et star à 22, et mort pendu à 23, Ian Curtis a changé le rock sans le vouloir, ni même le savoir, ce qui fait de lui du pain béni pour un bon gros biopic des familles, à base de destin brisé et d’envolées musicales. Ce que “Control” n’est absolument pas. Certes, le premier long-métrage d’Anton Corbijn retrace les cinq dernières années de la vie tumultueuse du leader de Joy Division, mais il s’attache plus à l’homme qu’à l’icône, donnant ainsi à sa famille une place au moins aussi importante (si ce n’est plus) qu’à sa (courte) carrière musicale. Celle-ci ne se manifeste d’ailleurs qu’à travers ses événements les plus marquants, ou pour établir une passerelle avec la vie privée de Curtis, accroissant ainsi l’ampleur de ses textes, tout en se faisant, sur scène, l’expression de ses sentiments, de ses peurs. Relayé par un noir et blanc en adéquation avec la déprime qui ne cesse de grandir en son personnage principal, Corbijn dresse un portrait juste et sans complaisance (les défauts y ont autant de place que les qualités) d’un homme qui a grandi trop vite, avant de perdre le contrôle de sa propre vie. Toujours au centre d’une mise en scène sobre, aux cadrages précis (que Corbijn a hérité de son passé de photographe), l’inconnu Sam Riley semble littéralement possédé par l’esprit de Curtis (sur scène surtout) et délivre une performance impressionnante, qui éblouit un long métrage un poil longuet, mais dont la mélancolie nous ceint longtemps après la projection, tandis que sa mélodie résonne encore dans nos têtes.