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Un visiteur
2,5
Publiée le 19 avril 2019
Le premier pas au cinéma de la littérature mémorial, un engin tellement archaïque que fut la caméra manivelle à courte durée. Je suis entré dans ce brouillard épais pour décrire comme le peut le cinéaste, l’adaptation en séquence photogénique manuelle de la lecture écriture papier chez les contemporains immortels de Victor Hugo. Les lignes importantes du roman sont soulignées, les intrigues se reconnaissent, à force de regarder ses grands frères successeurs au tour du monde, une étape supplémentaire et un chef-d’œuvre. Esmeralda, Quasimodo, Frollo, Phoebus, le casting se donne rendez-vous à l’heure de la dramaturgie intemporelle, avec cet arrêt sur l’image de fin, on finit par connaître la chanson par cœur. C’était un vieux cinéma plaisant à regarder, les tragédiens troubadours oh combien majestueux, ça ne parlait pas, c’était muet comme des carpes, le silence complet à scruter.