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Votre avis sur Halloween, La Nuit des masques ?
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Malgré quelques œuvres préfigurant le genre telles que L’Île de l’épouvante de Mario Bava, La Nuit des masques, plus connue sous son titre original (Halloween), marque le véritable point de départ du slasher établissant ses principaux codes
spoiler:
(tueur survivant constamment à ses blessures, vierge réussissant à survivre pendant que les adolescents plus libérés périssent au fur et à mesure…)
. Mais cette œuvre matrice est très loin de l’aspect gore que posséderont nombre de ses successeurs (en particulier les Vendredi 13). En effet, John Carpenter n’offre que peu de meurtres et encore moins de sang au spectateur : il joue essentiellement sur l’ambiance et le suspense à l’image de Psychose, référence incontournable à laquelle le cinéaste pense inévitablement. Carpenter joue donc sur l’attente spoiler: (il met un certain temps par exemple avant de montrer le visage ou plutôt le masque de Michael Myers adulte)
et fait preuve, malgré une mise en scène généralement sobre directement héritée de son maître Howard Hawks (auquel il rend hommage en montrant des extraits de La Chose d’un autre monde que ce dernier a produit et sûrement coréalisé et que Carpenter remakera 4 ans plus tard), d’une totale maîtrise de la caméra spoiler: (la séquence d’introduction filmée en caméra subjective est devenu un véritable classique)
. Toutefois, Carpenter a sûrement encore plus marqué le public par sa musique que par sa mise en scène. Dès les premières notes de son générique, la musique crée l’angoisse que le film distillera pendant toute sa durée. Ce thème sera donc un des morceaux les plus connus du cinéma et sera accompagné d’autres morceaux tous aussi efficaces et angoissants même si moins célèbres. On peut noter également que ce film signe les débuts au cinéma de Jamie Lee Curtis (la fille de Janet Leigh qui joua justement dans Psychose) qui, malgré une carrière riche en rôles variés, restera à jamais associée au personnage de Laurie Strode, et offre à Donald Pleasence un de ses rôles les plus célèbres (à tel point qu’il le reprendra à quatre reprises) dont le nom du personnage est une référence non-dissimulée à Psychose. La Nuit des masques, récompensé du Grand Prix au Festival international du film fantastique d’Avoriaz en 1979, constitue un film extrêmement prenant et angoissant (pour tout spectateur préférant le suspense à la débauche d’hémoglobine) créant une icône du cinéma horrifique dont la force reste toujours aussi grande malgré les nombreuses suites dont il fut l’objet et qui rendit mondialement célèbre John Carpenter et son actrice principale.
. Mais cette œuvre matrice est très loin de l’aspect gore que posséderont nombre de ses successeurs (en particulier les Vendredi 13). En effet, John Carpenter n’offre que peu de meurtres et encore moins de sang au spectateur : il joue essentiellement sur l’ambiance et le suspense à l’image de Psychose, référence incontournable à laquelle le cinéaste pense inévitablement. Carpenter joue donc sur l’attente spoiler: (il met un certain temps par exemple avant de montrer le visage ou plutôt le masque de Michael Myers adulte)
et fait preuve, malgré une mise en scène généralement sobre directement héritée de son maître Howard Hawks (auquel il rend hommage en montrant des extraits de La Chose d’un autre monde que ce dernier a produit et sûrement coréalisé et que Carpenter remakera 4 ans plus tard), d’une totale maîtrise de la caméra spoiler: (la séquence d’introduction filmée en caméra subjective est devenu un véritable classique)
. Toutefois, Carpenter a sûrement encore plus marqué le public par sa musique que par sa mise en scène. Dès les premières notes de son générique, la musique crée l’angoisse que le film distillera pendant toute sa durée. Ce thème sera donc un des morceaux les plus connus du cinéma et sera accompagné d’autres morceaux tous aussi efficaces et angoissants même si moins célèbres. On peut noter également que ce film signe les débuts au cinéma de Jamie Lee Curtis (la fille de Janet Leigh qui joua justement dans Psychose) qui, malgré une carrière riche en rôles variés, restera à jamais associée au personnage de Laurie Strode, et offre à Donald Pleasence un de ses rôles les plus célèbres (à tel point qu’il le reprendra à quatre reprises) dont le nom du personnage est une référence non-dissimulée à Psychose. La Nuit des masques, récompensé du Grand Prix au Festival international du film fantastique d’Avoriaz en 1979, constitue un film extrêmement prenant et angoissant (pour tout spectateur préférant le suspense à la débauche d’hémoglobine) créant une icône du cinéma horrifique dont la force reste toujours aussi grande malgré les nombreuses suites dont il fut l’objet et qui rendit mondialement célèbre John Carpenter et son actrice principale.
J’ai enfin vu Halloween l’original. Et c’est incroyable de voir que même 40 ans après, ce film reste toujours aussi efficace. L’ambiance qui s’en dégage est assez incroyable et unique. John Carpenter sait s’y prendre en terme de mise en scène, mais également de musique. La musique est géniale, je me suis pris au jeu grâce à elle et certains moments m’ont réellement mis dans l’angoisse. « La Nuit des Masques » mérite clairement son statut de classique.
il ne se passe rien avant 0"50 mn! tres long prévisible consternant . à l'époque c'était peut être bien....
Lors du tournage de « Halloween », John Carpenter ne savait probablement pas qu'il lançait l'une des plus célèbres sagas de tous les temps ! La preuve en est : en cette année 2018, nous attendons les retrouvailles de Laurie et de Michael Myers 40 ans après ce grand classique !
Carpenter a su rendre célèbre ce style du tueur en série à petit budget, rappelons qu'il vient juste avant sa saga concurrente : « Vendredi 13 ». Dans ce premier opus, nous ne connaîtrons pas encore les motivations qui déterminent Myers à vouloir tuer Laurie. L'histoire de base est relativement simple : Michael, un enfant dérangé, tue sa soeur un soir d'Halloween, il est alors interné pendant près de 15 ans pour finalement s'échapper et semer la terreur dans sa ville natale avec comme seul obstacle son docteur qui va tout mettre en oeuvre pour le stopper.
À part le fait que Michael s'en prend plein la gueule à la fin et qu'il se relève toujours, la dimension « fantastique » de l'oeuvre n'est que secondaire, le film se voulant réaliste. Et malgré le discours du docteur Loomis sur le fait que Myers n'a rien d'humain, qu'il représente le mal, le spectateur a un doute sur cette théorie et sur le fait que rien ne peut finalement tuer ce « croquemitaine ». Les suites nous confirmeront cette thèse : 40 ans plus tard, Myers se relève toujours ! Convenons que ce premier film peut parfois paraître mou, certaines longues séquences ne peuvent être savourées que par les nostalgiques dont je fais partie. En effet, si ce n'est l'excellente scène d'introduction (le meurtre de sa soeur) filmée caméra à la main à travers les yeux de Myers encore enfant et l'évasion 15 ans plus tard, le film se poursuit lentement. On sent la présence du tueur qui rôde, qu'on aperçoit au loin, à pied ou en voiture, on devine qu'il porte un masque sans vraiment le voir dans un premier temps et toute cette partie est très longue ! Un long moment sans le moindre meurtre, juste des échanges entre copines, et les préparatifs de la fête entrecoupés de « visions » et de craintes non avérées. Le film a certes vieilli mais reste chaleureux, généreux et tout à fait délectable pour les nostalgiques ! Plusieurs petites choses qui prêtent à sourire aujourd'hui, notamment le rôle du docteur Loomis, même incarné par l'excellent Donald Pleasence. En effet, ce personnage, censé apporter le réconfort et le soutien aux victimes, même secourir ces dernières, reste une bonne partie du film à attendre derrière un buisson le retour de Myers dans sa maison d'enfance alors que les pires atrocités sont commises deux rues plus loin.
On pardonne les quelques séquences usées par les ans et on prend toujours autant de plaisir à revisionner ce film à l'approche de la Toussaint.
À noter : le film dans le film que les personnages visionnent n'est autre que « The Thing » de Hawks, importante remarque quand on sait que Carpenter en fera le remake en signant « La chose » en 1982, probablement l'oeuvre la plus aboutie du cinéaste.
Carpenter a su rendre célèbre ce style du tueur en série à petit budget, rappelons qu'il vient juste avant sa saga concurrente : « Vendredi 13 ». Dans ce premier opus, nous ne connaîtrons pas encore les motivations qui déterminent Myers à vouloir tuer Laurie. L'histoire de base est relativement simple : Michael, un enfant dérangé, tue sa soeur un soir d'Halloween, il est alors interné pendant près de 15 ans pour finalement s'échapper et semer la terreur dans sa ville natale avec comme seul obstacle son docteur qui va tout mettre en oeuvre pour le stopper.
À part le fait que Michael s'en prend plein la gueule à la fin et qu'il se relève toujours, la dimension « fantastique » de l'oeuvre n'est que secondaire, le film se voulant réaliste. Et malgré le discours du docteur Loomis sur le fait que Myers n'a rien d'humain, qu'il représente le mal, le spectateur a un doute sur cette théorie et sur le fait que rien ne peut finalement tuer ce « croquemitaine ». Les suites nous confirmeront cette thèse : 40 ans plus tard, Myers se relève toujours ! Convenons que ce premier film peut parfois paraître mou, certaines longues séquences ne peuvent être savourées que par les nostalgiques dont je fais partie. En effet, si ce n'est l'excellente scène d'introduction (le meurtre de sa soeur) filmée caméra à la main à travers les yeux de Myers encore enfant et l'évasion 15 ans plus tard, le film se poursuit lentement. On sent la présence du tueur qui rôde, qu'on aperçoit au loin, à pied ou en voiture, on devine qu'il porte un masque sans vraiment le voir dans un premier temps et toute cette partie est très longue ! Un long moment sans le moindre meurtre, juste des échanges entre copines, et les préparatifs de la fête entrecoupés de « visions » et de craintes non avérées. Le film a certes vieilli mais reste chaleureux, généreux et tout à fait délectable pour les nostalgiques ! Plusieurs petites choses qui prêtent à sourire aujourd'hui, notamment le rôle du docteur Loomis, même incarné par l'excellent Donald Pleasence. En effet, ce personnage, censé apporter le réconfort et le soutien aux victimes, même secourir ces dernières, reste une bonne partie du film à attendre derrière un buisson le retour de Myers dans sa maison d'enfance alors que les pires atrocités sont commises deux rues plus loin.
On pardonne les quelques séquences usées par les ans et on prend toujours autant de plaisir à revisionner ce film à l'approche de la Toussaint.
À noter : le film dans le film que les personnages visionnent n'est autre que « The Thing » de Hawks, importante remarque quand on sait que Carpenter en fera le remake en signant « La chose » en 1982, probablement l'oeuvre la plus aboutie du cinéaste.
Cinéphiles 44
La nuit d’Halloween 1963, le jeune Michael Myers assassine sa grande sœur à coups de couteau. Interné dans un asile psychiatrique, il s’échappe quinze ans plus tard pour s’en prendre à tous les adolescents de la ville. Aujourd’hui encore, « Halloween, la nuit des masques » est l’un des films les plus cultes du cinéma d’horreur, comme le prouveront ses suites et parodies. A la fois réalisateur, scénariste et compositeur du film, John Carpenter a su imposer une ambiance flippante grâce à des plans travaillés qui donne un sentiment de claustrophobie et cette idée de ne jamais faire parler ni montrer le visage de celui qu’on nomme le croquemitaine. Avec ses cheveux statiques, le personnage de Jamie Lee Curtis est tout aussi intriguant en baby-sitter apeurées par les nombreuses apparitions de Michael et son affreux masque. Malgré un fil conducteur finalement assez bête, « Halloween, la nuit des masques » n’a pas pris une seule ride et peut se regarder tous les ans à la même date, le 31 octobre.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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plus de 40 ans Après, il règne encore dans ce film une atmosphère flippante , ettoufante et glauque, signe d'un film réussi et intemporel qui marque bien plus qu'une simple generation !
Excellent film d'horreur des année 80 réalisé par le très réalisateur John Carpenters. Un film d'horreur et de slasher gore,macabre est excellent,des acteurs juste super,une musique envoûtante.
Un très bon film d'horreur de John Carpenter. Terrifiant, un bon suspens , de bons moments d'épouvante et de terreur.
Grand classique du cinéma d'épouvante qui a posé les codes du slasher, "Halloween, la nuit des masques" est un incontournable du genre et l'une des meilleurs oeuvres de John Carpenter. La patron du cinéma d'horreur américain imprime à son long-métrage une atmosphère unique qui fait à mon sens toute sa saveur. Si j'aime autant ce film, c'est pour son ambiance hypnotique, quasi surréaliste, qui me fascine totalement. On est emporté dès les premières minutes en terrain inconnu, baladé par une caméra très mobile qui alterne magnifiquement les points de vue. La bande originale composée par Carpenter n'y est également pas étrangère, elle confère au film cette personnalité unique, cet aura quasi fantastique qui le rend si spécial et permet de justifier toutes les facilités scénaristiques. Cela suffit à faire de "Halloween, la nuit des masques" une oeuvre mythique, le plus grand slasher de l'histoire tout simplement.
Quand la tension est présente,c'est forcément un slasher réussit.Ici,c'est le cas,et sa réussite va inspirer de nombreux films par la suite.Que dire de cette scène d'introduction incroyable,en vie subjective comme si on était Michael Myers ? Et la tension qui règne ensuite,surtout vers le fin du film,sans enlever la part de mystère à ses apparitions furtives.C'est tellement bien fait qu'on en oublie presque qu'il contient peu de scènes gores,alors qu'à l'heure actuelle,les films du genre considère ça comme essentiel.
La musique rythme chaque action ou la tension atteint son climax,mais on peut faire quelques reproches comme le jeu un peu juste des acteurs par moment,ça reste correct.
Halloween de John Carpenter reste sans doute aujourd'hui l'un des plus grand film d'horreur,ou en tout cas certainement le meilleur slasher.
La musique rythme chaque action ou la tension atteint son climax,mais on peut faire quelques reproches comme le jeu un peu juste des acteurs par moment,ça reste correct.
Halloween de John Carpenter reste sans doute aujourd'hui l'un des plus grand film d'horreur,ou en tout cas certainement le meilleur slasher.
Fêtons le cinéma
La nuit des masques resplendit lorsque la nuit à proprement parler remue les protagonistes, oppose à la bêtise adolescente le masque source de mort. Car quel final, véritable cauchemar magnifiquement filmé, où la tension atteint un paroxysme que l'heure précédente bâtit minutieusement! Je retiendrai Halloween non pour sa subtilité ou la qualité de ses dialogues - absentes toutes deux - mais pour son atmosphère anxiogène qui jamais ne faiblit. Malgré de faux raccords grossiers (une montée d'escaliers mal raccordée, une chaussée trempée par la soudaineté d'une coupe, un monstre présent parmi le linge étendu qui s'absente par pur artifice de mise en scène), Carpenter parvient avec génie à immortaliser son personnage qu'il érige au rang d'icône en laissant la peur naître à l'écran. La maestria d'un crescendo horrifique.
Encore un chef d'oeuvre de Big John . Ce type est mon héros.
Halloween est super et n'a pas tant vieilli, il n'est pas très effrayant mais plaisant à regarder.
Même si le film est peu flippant, "The Shape" fait froid dans le dos avec ses nombreuses apparitions et ses tp .
La bande son est grandiose et la mise en scène est ultra pertinente et maîtrisée.
Il gère à la perfection le suspense, comme faire monter le frisson, comment installer le suspense.
Pleins de procédés font que le film a une ambiance lourde et pesante comme il en a le secret et cela se ressent de manière palpable.
Quelques reproches cependant :
Quelques faux raccords (exemple : la porte de la buanderie qui vole en morceaux puis qui est toute propre après), une musique trahissant parfois sa présence et un peu invasive parfois, trop peu de meurtres spoiler: (seulement 3 )
et pour pinailler certains acteurs sont moyens ( ce sont quasi tous des amateurs aussi et ça ne gène pas et en plus c'est totalement récurrent dans le slasher).
Un classique encore grandiose et absolument pas inintéressant contrairement à ce que j'ai pu lire
Halloween est super et n'a pas tant vieilli, il n'est pas très effrayant mais plaisant à regarder.
Même si le film est peu flippant, "The Shape" fait froid dans le dos avec ses nombreuses apparitions et ses tp .
La bande son est grandiose et la mise en scène est ultra pertinente et maîtrisée.
Il gère à la perfection le suspense, comme faire monter le frisson, comment installer le suspense.
Pleins de procédés font que le film a une ambiance lourde et pesante comme il en a le secret et cela se ressent de manière palpable.
Quelques reproches cependant :
Quelques faux raccords (exemple : la porte de la buanderie qui vole en morceaux puis qui est toute propre après), une musique trahissant parfois sa présence et un peu invasive parfois, trop peu de meurtres spoiler: (seulement 3 )
et pour pinailler certains acteurs sont moyens ( ce sont quasi tous des amateurs aussi et ça ne gène pas et en plus c'est totalement récurrent dans le slasher).
Un classique encore grandiose et absolument pas inintéressant contrairement à ce que j'ai pu lire
Une des matrices du slasher, et clairement celle dont la recette aura été reprise le plus souvent. C’est la limite du film, qui se laisse encore découvrir avec plaisir, mais qui est aussi devenu tellement prévisible qu’il frise paradoxalement la parodie (de lui-même, donc). En plus on a droit à deux ou trois acteurs très très mauvais, ça n’aide pas. N’étant pas un grand habitué du cinéma d’horreur, j’ai eu quelques sursauts, mais une fois qu’on a compris que la même silhouette allait continuer d’apparaître avec la même musique, et que l’héroïne allait continuer de lâcher son arme ou de se réfugier dans les coins sombres, on se lasse un peu. A voir quand même, au moins pour la beauté étrange de l’exposition, qui se passe en plein jour mais m’a donné plus de frissons que la grosse partie nocturne.
Je viens de revisionner ce premier volet d'une saga d'horreur que l'on ne présente plus, et ceux plusieurs années après ne pas l'avoir vu. Quand est - il ? Et bien l'ambiance unique de ce Slasher sur fond de Bande son devenue aujourd'hui culte n'ont pour ma part pas vraiment vieilli. Dans le sens ou le niveau de suspens mise en avant en 78 par Carpenter ressort encore et toujours 40 ans plus tard. Michael Myers n'est pas devenu l'un des croquemitaines les plus connu du cinéma de genre pour rien.. Il arbore un charisme qu'encore de nos jours il est difficile de retrouver chez d'autres production Slasher. Certes le film met un temps à démarrer et les scènes d'assassinats sont loin d'être aussi surprenante que ce que propose le cinéma d aujourdhui ( J'ai en tête le dernier Strangers Prey at night ) Mais pour ma part le réalisme , notamment du au jeux d'acteurs et au comportement des personnages en situation de danger permettent une excellente immersion, supérieure à bien des productions actuelles . Il ne s'agit pas d'effets numeriques a outrances ou d'extrême violence mais bien de mise en scène .. Tout amateurs de films d'horreur ne peut que lever son chapeau bien bas pour ce film et son réalisateur qui ont dû poser les bases et les codes d'un genre Slasher à la fois complexe et devenu malheureusement redontant par la suite ..
Très bon slasher halletant. Une innocente lycéenne garde les enfants du voisinage la nuit de Halloween. Un implacable tueur échappé d'un asile va se lancer sur ses traces.
spoiler:
Coïncidence ?
Musique réussie et angoissante.
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