Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Dead-for-Someone
45 abonnés
694 critiques
Suivre son activité
2,0
Publiée le 18 avril 2018
Film culte qui a marqué son époque et qui est toujours aujourd'hui une référence du cinéma d'horreur. Mais est-ce que ce qui a marché il y a 40 ans marche encore aujourd'hui? Plus vraiment. Michael Meyers, âgé de 6 ans, massacre sa sœur aînée avec un couteau la nuit d'Halloween. Après cela, il s'enferme dans le silence et est interné dans un hôpital psychiatrique. 15 ans plus tard, Laurie Strode et ses amis s'apprêtent à passer la nuit d'Halloween ensemble. Mais ce qu'ils ignorent, c'est que Meyers s'est échappé de l'asile et que sa soif de meurtre ne s'est pas estompée... La réalisation est un peu faible: le cadrage est bon, mais les prises de vues pas toutes très bien pensées, la mise en scène n'est pas très efficace; si les mouvements sont réussis, la profondeur de champ n'est pas toujours très bonne. Le scénario manque de profondeur: beaucoup de scènes se suivent et se ressemblent et n'ont pas vraiment de fil conducteur. Il y a beaucoup de longueurs et de répétitions. Le film nous épargne des clichés ainsi que certaines incohérences mais son problème majeur est l'absence de suspense. Si certaines scènes marchent un peu, le film est dépourvu de scènes d'horreur vraiment marquantes et le spectateur, venu principalement pour ça, reste sur sa faim. Les acteurs s'en sortent plutôt bien, sans être parfaits. Les personnages ne sont pas vraiment intéressants et on les oublie assez vite. Les dialogues ne sont pas d'une grande richesse. La photographie est assez bonne, la nuit est bien travaillée avec une lumière léchée et de belles couleurs. Le montage est trop lent, on s'ennuie assez vite. Les décors sont un peu faibles, les costumes restent passables et la musique fonctionne. "Halloween, La Nuit des Masques" est à voir pour sa culture, mais n'est pas le grand film d'épouvante qu'on m'a vendu.
Que dire qu'il n'y a rien à redire sur ce classique qui a certes pris un coup de vieux en ces temps ou on effraye en faisant tomber un orchestre titanesque dans vos oreilles et ou tout bouge plus vite.
Carpenter posait les jalons du film qui fout les chocottes, avec un tueur implacable, occupant la profondeur de champ avant un dernier quart d'heure qui dénoue le noeud coulant que Carpenter a tissé soigneusement pendant tout le métrage. Tout est maîtrisé, parfait, sans fausse note, excepté le démasquage de la toute fin du métrage.
Après avoir été grandement déçu par le remake "Halloween" de Rob Zombie (2007), je me suis lancé sur l'original d'une des sagas horrifiques les plus populaires des années 80. Verdict ? Qu'est-ce que ça a mal vieilli... Honnêtement, cet "Halloween : la Nuit des masques" de John Carpenter n'est vraiment pas un moment de plaisir. Pourquoi ? Il est lent et soporifique, les acteurs semblent sortir d'un casting de dernière minute et ne sont vraiment pas convaincants, il y a beaucoup de scènes inutiles qui n'apportent rien à l'histoire, un manque cruel d'explication autour des problèmes de Michael (alors que j'en attendais davantage par rapport au remake de Rob Zombie) et pour couronner le tout, ce qui est censé être la clé de voûte du film, c'est-à-dire les scènes d'horreur, paraissent toutes "fake" avec des coup de couteau dans le vide ou dans le mou, des cris ridicules (mention spéciale à Jamie Lee Curtis) et une absence de sang particulièrement étonnante. Et dites vous bien que tout cela ne prend même pas en compte le fait que, sorti de son contexte de légende horrifique, l’histoire de Michael Myers est insignifiante et se transforme en slasher des moins inventifs où les enjeux et le twist n'existent pas. En étant vulgaire ? C'est juste un malade qui tue des gens. En contrepartie, John Carpenter avait été acclamé pour nous faire découvrir un nouveau genre horrifique et une réalisation qui sort de l'ordinaire : c'est vrai qu'il y a de la recherche au niveau sonore et la bande originale peut nous faire cogiter par instants. On comprend que ce film ait pu servir d'exemple à "L'exorciste" ou encore "Freddy" dans les années 80, mais je ne suis franchement pas satisfait, ni par le fond, ni par la forme. Mettons ça sur le compte que les temps ont changé, peut-être.
Un excellent film d’horreur culte, angoissant et original avec une BO angoissante et marquante, des acteurs convaincants et un scénario correct. L’un des meilleurs films d’horreur du septième art.
Halloween est, comme beaucoup le savent, le "code dropper" des slasher-movie. Ce n'est pas le premier slasher, mais celui qui en a forgé les codes. On y retrouve donc tout ce qui fera le succès des futurs Friday the 13th, Nightmare on Elm Street et autres : des protagonistes féminins prêt à se faire assassiner, une inventivité morbide dans les mises a morts, un méchant semblant invincible... Mais quelque chose diffère cependant. Si Halloween me parait beaucoup plus intéressant que les autres slashers (bien que je n'en ai pas vu beaucoup, veuillez m'en excuser), c'est pour le charisme de son antagoniste principal : Michael Myers, AKA The Shape. En effet, Michael a un effet bien a lui que n'ont pas les Freddys, les Jasons ou autres Leatherface, le frisson du mystère. Ce n'est pas le seul à porter un masque, certe, mais c'est le seul à être plus le masque que la personne sous le masque. C'est une forme qui se déplace, pas un vrai être humain. Une ombre inexpressive et menaçante, qui cherche, rode à travers les rues pour trouver sa prochaine victime, qui l'étudie longtemps avant de passer à l'action au moment ou sa victime s'y attends le moins. Il provoque vraiment un sentiment différent des autres tueurs qui se contente de massacrer leur victime. Le fait qu'il les observe longuement avant de les tuer, son masque totalement inexpressif, et sa manie de mettre en scène ses meurtres créé un sentiment d'étrange oppressant qui fait toute la subtilité d'Halloween. De plus, la musique de John Carpenter est absolument splendide et angoissante et elle participe grandement au charme de l'oeuvre. Alors oui, le film n'est pas très violent pour un slasher, oui il est court et long a se lancer, mais je trouve que le personnage de Myers sauve tout ça et donne une certaine saveur à ce film que n'ont pas tous les slashers. Une originalité qui fait de lui un classique.
La nuit d'Halloween 1963. Le jeune Michael Myers se précipite dans la chambre de sa soeur aînée et la poignarde sauvagement. Après son geste, Michael se mure dans le silence et est interné dans un asile psychiatrique. Quinze ans plus tard, il s'échappe de l'hôpital et retourne sur les lieux de son crime. Il s'en prend alors aux adolescents de la ville.
C'est une idée de génie, John Carpenter nous montre qu'on peut faire le meilleur slasher avec une idée simple mais magnifique.
Ce film se sert du mythe du croque-mitaine pour effrayer le public.C'est un film d'horreur recouvert d'une fine couche de fantastique avec un voile total de slasher.La réalisation est sobre mais extraordinaire avec du gore bien géré, des jump scares effrayants, et enfin un tueur effrayant.
John Carpenter est mon réalisateur favori,il a réalisé : The fog, The thing et celui que je suis en train de critiquer, Halloween.
On sent vraiment la peur de Jamie Lee Curtis et que dire de Donald Pleasence qui est juste légendaire.
Les caméras sont tellement bien placées qu'on peut ressentir un genre de malaise.Dès la 30éme minute l'action commence : jump scares ,meurtre violent et Mickael Myers en train de marcher.Mon action préférée c'est quand Jamie Lee Curtis est dans le placard.
Les effets spéciaux n'ont absolument pas viellis comme dans The thing et La mouche.
Ce film est un chef-d'oeuvre.Les jump scares sont bien placés.Le gore est parfaitement dosé, les acteurs sont parfaits, L'histoire se développe bien, 10/10!
Pionnier d'un nouveau sous-genre, Halloween est une oeuvre phare qui aura malgré lui engendré un bon nombre d'enfants débiles, et pourtant le film de John Carpenter se distingue non-seulement comme la base mais aussi comme sûrement la seule véritable réussite du slasher pour une bonne raison et pas des moindres, Michael Myers. Carpenter iconise la menace sur trois points, la suggestion par le biais du professeur Loomis rappelant à chaque apparition l'impossibilité de le cerner, son apparente invincibilité et l'absence totale de repère émotionnel à son sujet. Pas d'expressions, pas de bruit, pas de mobile apparent, juste une chose capable du pire. Cette identité diffuse et ce manque d'information force le spectateur à craindre l'inconnu, il en devient une personnification du mal, inarrêtable, aveugle et omniprésent. La tension est maintenu par la patience de Carpenter de ne jamais réellement nous le montrer, le plaçant n'importe où comme un fantôme invisible capable de tuer selon son caprice. Une leçon de l'horreur.
_CRITIQUE : La Nuit des masques est un film d'horreur américain réalisé par John Carpenter, produit par Moustapha Akkad et sorti en 1978. Ce long-métrage fait partie de la série de films Halloween, dont il est l'opus premier et initial. La nuit d'Halloween en 1963, le jeune Michael Myers se précipite dans la chambre de sa soeur aînée et la poignarde. Michael se mure dans le silence et fini interné dans un asile psychiatrique. Quinze ans plus tard, il s'échappe de son asile et fait son grand retour. Nous avons au casting la célèbre Jamie Lee Curtis qui auras vu sa carrière ce lancé après ce métrage. Le premier volet d'une saga culte qui à un remake qui as vu le jour en 2007 de Rob Zombie. Ce film nous montre un tueur psychopathe et de sang froid au masques mythique. Je ne suis pas spécialement Fan de cette franchise mais cette opus reste assez bon sans pour autant être excellent. Ont ressent malgré tous que le film a pris de l'âge .. Certains passages m'ont parut assez limite par moment. Un film quoi que l'ont disent reste culte.
John Carpenter est un passionné. On peut retrouver un indice sur son amour du cinéma de genre tout au long de son oeuvre où les personnages regardent béant - sans se méfier du drame qui va se produire dans une banlieue pavillonnaire sans histoire - The Thing produit par Howard Hanks. Ironie de l'histoire, quelques années après, Carpenter lui même sera à la tête du remake sympathique mais très inégal. Carpenter et moi, on se comprend difficilement. Fog n'est toujours pas passé de mon côté tandis que Le village des damnés laisse une impression indifférente. C'est donc avec un peu de réticence mais également beaucoup de curiosité que je me plonge dans son chef d'oeuvre Halloween. Ce qui fonctionne dans cette saga (que je vais avoir le plaisir de vous en faire la critique), c'est son pitch aguicheur et simple. Ces deux termes combinent pour en faire quelque chose de réellement efficace. Le film n'a absolument pas vieilli et John Carpenter sait comment manipuler ce matériau si fragile qu'est la peur. Non, amis cinéastes du XXIe siècle, la peur se construit, elle ne doit pas virevolter dans tous les sens à la manière d'un jump-scare certes terrifiant car surprenant mais guère original. On veut avoir peur et ne pas la subir. James Wan est certainement un des seuls à comprendre cette délicate manipulation. Pour en revenir à Halloween, la peur est avant tout invisible. Une banlieue pavillonnaire, un enfant tueur de baby-sitter. Finalement, l'innocence disparait. John Carpenter joue avec les peurs du spectateur : à commencer par sa BO - quelques notes qui résonnent encore dans nos têtes. Sa réalisation alors que le budget était mince et le temps de tournage ridicule. Pourtant, Carpenter et son imagination pousse une mise en scène léchée et réfléchie. On pestera cependant sur les nombreuses erreurs de montage qui implique directement la cohérence du récit. Quelques reflets de caméra sont également à prévoir ; cela peut nuire - un petit peu - à l'immersion. Au delà de la mise en scène entièrement réussite, on regrettera les nombreuses longueurs, les dialogues entre filles signées Debra Hill (la productrice) et le rôle de figurant de Donald Pleasence. Nous lançons donc directement les hostilités avec cette saga horrifique cultissime ! Qui, il faut le dire, commence sur les chapeaux de roue : de l'imagination, du frisson (les scènes de voiture ou encore lors de l'invasion à l’hôpital psychiatrique - traumatisant) entachés par des dialogues insipides et une gestion du rythme inégale. Quelques défauts qui ne gâchent absolument pas notre plaisir !
Ahhhh, qu'est ce que j'aime les slashers, et voici un des plus connu, Halloween de John Carpentier est un classique et un culte, la musique met directement dans l'ambiance, et ce qui nous saute aux yeux, c'est que le film n'a pas mal vieilli et passe très bien aujourd'hui, surtout que je ne l'avais jamais vu. Carpenter nous présente un des plus grands croque-mitaines de tous les temps Michael Myers, terrifiant même maintenant, la mise en scène de Carpenter est incroyable, l'écriture est très bonne. Halloween est un film qui n'a pas pris une ride et que je pourrais regarder chaque Halloween de chaque année. 16/20
Tournant majeur du cinéma d'horreur, « Halloween » de John Carpenter est surtout un grand film sur le Mal. Le cinéaste développe un récit en deux parties : une de jour, durant laquelle Myers repère ses victimes, puis celle de nuit où ce dernier passe à l'action. C'est donc par le biais de ce procédé, d'une simplicité alarmante, que la force de la mise en scène va pouvoir se déployer pleinement.
« Halloween » se pose donc comme une œuvre du point de vue, et ce dès l'introduction : une scène de meurtre à la première personne, aussi virtuose que cathartique dans un premier temps, puis glaçante une fois l'identité du tueur révélée. Carpenter se jouera ainsi continuellement de nos attentes et de ce qu'il nous montre, pour mieux nous terrifier de ce qu'il nous cache, à commencer par le visage de Myers, toujours hors du cadre et qui, au moment tant attendu, se révélera être un masque absent de toute humanité ou émotion.
C'est grâce à cette volonté d'abstraction, que Carpenter fait de « Halloween » une réflexion sur le Mal, son tueur mutique ne semblant jamais pouvoir être stoppé et étant totalement ôté de son humanité (le docteur Loomis faisant même référence à ce dernier en tant que «It » ) inscrivant ainsi le long-métrage dans une ambition conceptuelle vertigineuse.
Toutefois, si il est capital de souligner la force thématique de « Halloween », il ne faut en aucun cas sous-estimé son axe horrifique.
Ainsi, Carpenter fera du cadre l'élément principal de la tension, préférant jouer sur la longueur des scènes, pour mieux nous faire appréhender, l'apparition du tueur bien évidemment, mais plus pernicieusement, le lieu de son surgissement. C'est donc une parfaite maîtrise de la profondeur de champs et du cadre, qui permettent à Carpenter de rendre ses scènes si terrifiantes, n'oubliant jamais de faire apparaître et disparaître Myers, sans que ce dernier n'est fait la moindre action, afin qu'il tétanise autant par sa présence que par son absence. « Halloween » est donc une œuvre fondamentale, aussi bien pour la force de sa réflexion que par sa virtuosité formelle. Ces deux éléments gardant le spectateur en alerte, faisant de chaque encadrement de porte une source de terreur.
Le film de Carpenter a pris un sacré coup de vieux. Le face à face entre Michael Meyers et Jamie Lee Curtis ne parvient plus à procurer d'effroi tandis que la mise en scène n'atteint pas la qualité d'autres films du cinéaste tel que The Thing. La Nuit des Masques est devenu obsolète, une œuvre fédératrice de l'horreur qui tombe doucement en désuétude. Pour autant ce classique mémorable de l'épouvante conserve sa nostalgie des années 1980 et une bande originale devenue complètement culte.
comment dire je m attendais a mieux de la part de se film , le scénario ok il est bien , les acteurs ils jouent très bien , les éfet specieaux y en a pas beaucoup mais bon gardons a l esprit que le film est sortis en 1978 sois il y a 38 ans , mais dan le film ce qui pour moi lui fais perdre beaucoup de point c les longeurs je veux dire dans ce film il se passe presque rien avans la traque finalle , ok y a 2 ou 3 meurtre mais ça s arrete la sinon il se passe rien avant les 15 dérniere minutes du film mais bon ça reste un film plutos pas mal un débus plus ou moin bon pour une bonne saga bref 3/5
J'ai trouvé ce film assez moyen. C'est vraiment la caricature du film d'horreur, type slasher movie. Il est certes bien fait, mais les ficelles et les codes manquent de subtilité. C'est vraiment cliché. L'histoire se déroule évidemment la nuit d'Halloween. Il y a un psychopathe, qui n'a pas l'air très malin. La seule clé de son succès vient du fait que ses victimes ne brillent pas tellement davantage par leur intelligence et qu'elles se retrouvent au mauvais endroit au mauvais mauvais moment. Les trois personnages d'adolescentes sont écrits avec si peu de subtilité qu'on en croirais une parodie : la bimbo décérébré, la fille sarcastique et égocentrique, et enfin la jeune fille ultra-timide et très gentille et attentionnée qui se cache derrière ses cheveux. spoiler: Devinez laquelle ne va pas mourir (attention c'est compliqué). Afin de rajouter un peu de frayeur, le méchant a le pouvoir (inexpliqué puisque pour des facilités scénaristiques) de claquer les portes ou de remuer les rideaux à distance. Je me demande même si par moment de tels éléments aussi irrationnels ne sont pas volontaires pour être vraiment dans le cliché du film d'horreur.spoiler: Comment expliquer alors la réaction de Jamie Lee Curtis, qui lorsqu'elle se rend compte qu'elle est suivie façon stalking par un type qui porte un masque, se dit « Du calme ! C'est ridicule [de s'inquiéter, NDC] » au lieu d'appeler la police ?! À propos du méchant, on ne comprend d'ailleurs pas son obsession avec ces trois filles en particulier.spoiler: Est-ce parce qu'elles ont le même âge que sa sœur lorsqu'il l'a tuée et qu'elles habitent le même coin ? Mais pourtant il doit tout de même bien y avoir d'autres filles du même âge dans le quartier, puisqu'il y en a toute une classe dans une scène où l'on voit les trois protagonistes au lycée . Bon, le film est tout de même interprété de manière très correct et il a le mérite de lancer la carrière de Jamie Lee Curtis (il s'agit-là de son tout premier film). Par contre, nous faire croire que dans ce film Jamie Lee Curtis a dix-sept (lorsqu'elle en a manifestement le double), ça manque de sérieux. En revanche, la bande-originale est excellente, de loin une des meilleures (si ce n'est la meilleure) mélodie de film d'horreur. Bref, on pourrait rire en regardant ce film. Le film d'ailleurs s'apprécie mieux si on le regarde tel une parodie du genre.
Ce film, même s'il a 37 ans, reste un classique mais depuis le temps cela ne fait plus peur, et depuis on se rend compte de ses nombreux défauts, seule la musique malgré les années reste incroyablement stressante, malgré tout ça, cela reste un classique dont je ne me lasserai peut-être jamais. 4/5