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Votre avis sur Halloween, La Nuit des masques ?
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L'ennui totale dans ce film sans suspense avec une musique qui ne change jamais. Le réalisateur ne doit pas savoir ce qu'est un film d'horreur, aucun effet de surprise, aucun meurtre qui est effrayant... Je sais que le film est vieu mais tout de même il faut pas exagéré. Même scary movie est plus captivant! Bref à zapper.
Franchement ce film d'horreur que dalle : c'était facile de faire un film avec un tueur qui va tuer des jeunes comme par hansart en période d'halloween et près on ose dire que c'est le meilleur film d' horreur avec le meilleur slasher ! Non vraiment Halloween c'est le film d'horreur le plus banale du monde ! 0/5 !
spoiler:
C'est l'histoire d'un mec qui a fait voeux de silence, de ne pas montrer son visage et de ne pas courir. Il aime bien les couteaux aussi.
- Cette critique contient des spoilers -
Alors oui c'est vieux, lent et assez chiant mais tout est là pour devenir culte et culte, Halloween l'est devenu.
Dès le premier meurtre on est pris par le film: la musique lancinante (même si on en abuse largement par la suite), la caméra à l'épaule (déjà !), l'effet spécial avec le masque sur les yeux, la montée en tension, la jeune fille à moitié dénudée et enfin le coup de théâtre de l'âge de l'assassin.
Malgré sa lenteur le film développe une l'atmosphère glaçante qui ne nous quitte pas et Carpenter use de tous les artifices du genre pour nous garder sous tension: caméra au plus près des acteurs pour renforcer la sensation d'étouffement, fausse alerte, jump scare, alerte des gosses qu'on ne prend pas au sérieux et cette présence glaçante et immobile (un peu trop d'ailleurs).
Les dialogues sont pas fous mais ils sont plus que compensés par le jeu et la mise en scène à l'image de la scène ou le docteur raconte ce qu'il sait du gamin. C'est de l'exposition basique mais la mise en scène et le jeu de l'acteur en font une scène qui reste: peu importe ce qu'il dit, on sent bien que le Meyers le fait flipper... et nous avec.
Malgré ses presque 40 ans et à l'exception de la scène dans laquelle Annie se coince pour le plaisir du spectateur masculin, Halloween ne tombe jamais dans le ridicule et surtout, la beauté de certains plans en noir et blanc reste frappante.
- Cette critique contient des spoilers -
Alors oui c'est vieux, lent et assez chiant mais tout est là pour devenir culte et culte, Halloween l'est devenu.
Dès le premier meurtre on est pris par le film: la musique lancinante (même si on en abuse largement par la suite), la caméra à l'épaule (déjà !), l'effet spécial avec le masque sur les yeux, la montée en tension, la jeune fille à moitié dénudée et enfin le coup de théâtre de l'âge de l'assassin.
Malgré sa lenteur le film développe une l'atmosphère glaçante qui ne nous quitte pas et Carpenter use de tous les artifices du genre pour nous garder sous tension: caméra au plus près des acteurs pour renforcer la sensation d'étouffement, fausse alerte, jump scare, alerte des gosses qu'on ne prend pas au sérieux et cette présence glaçante et immobile (un peu trop d'ailleurs).
Les dialogues sont pas fous mais ils sont plus que compensés par le jeu et la mise en scène à l'image de la scène ou le docteur raconte ce qu'il sait du gamin. C'est de l'exposition basique mais la mise en scène et le jeu de l'acteur en font une scène qui reste: peu importe ce qu'il dit, on sent bien que le Meyers le fait flipper... et nous avec.
Malgré ses presque 40 ans et à l'exception de la scène dans laquelle Annie se coince pour le plaisir du spectateur masculin, Halloween ne tombe jamais dans le ridicule et surtout, la beauté de certains plans en noir et blanc reste frappante.
"Halloween" est un marqueur du genre slasher. Il a posé des bases si efficaces qu'elles seront reprises par tous les films qui prendront sa suite.
Souvent imité donc mais peu égalé.
Cela s'explique par l'implication totale du réalisateur dans son œuvre. À la fois à l'écriture, à la réalisation et à la musique, John Carpenter envisage son film de manière globale, lui assurance une cohérence certaine.
Sa mise en scène est inventive avec des plans efficaces dès la scène d'ouverture, filmée à la première personne.
Toutes ces scènes sont sublimées par la musique devenue culte et qui donne une véritable identité à "Halloween".
L'horreur vient essentiellement de la suggestion et de la musique angoissante. L'histoire, elle, est simple mais c'est ce qui la rend crédible et accentue la peur.
Seules deux ombres au tableau demeurent :
- Les acteurs sont bons mais la différence d'âge avec leurs personnages est trop importante ;
- Une fin en demie-teinte où le personnage principal enchaîne les erreurs grossières et bénéficie de deus ex machina trop fréquents.
Mais même ces points ne sauraient déconseiller le visionnage de ce film culte !
Souvent imité donc mais peu égalé.
Cela s'explique par l'implication totale du réalisateur dans son œuvre. À la fois à l'écriture, à la réalisation et à la musique, John Carpenter envisage son film de manière globale, lui assurance une cohérence certaine.
Sa mise en scène est inventive avec des plans efficaces dès la scène d'ouverture, filmée à la première personne.
Toutes ces scènes sont sublimées par la musique devenue culte et qui donne une véritable identité à "Halloween".
L'horreur vient essentiellement de la suggestion et de la musique angoissante. L'histoire, elle, est simple mais c'est ce qui la rend crédible et accentue la peur.
Seules deux ombres au tableau demeurent :
- Les acteurs sont bons mais la différence d'âge avec leurs personnages est trop importante ;
- Une fin en demie-teinte où le personnage principal enchaîne les erreurs grossières et bénéficie de deus ex machina trop fréquents.
Mais même ces points ne sauraient déconseiller le visionnage de ce film culte !
« J'ai vu cet enfant de 6 ans au regard mort, pâle, où ne se peignait aucune émotion, avec d'immenses yeux noirs, les yeux du diable. C'est le Mal à l'état pur. » Voilà ce que déclare le médecin sur l’homme qui s’est échappé 15 ans plus tard de l’hôpital psychiatrique où il était enfermé pour le meurtre de sa sœur aînée. On ne sait pas pourquoi il a tué mais on sait qu’il ne va pas en rester là. Avec 2 notes de piano angoissantes et la caméra à la place des yeux du tueur, John Carpenter sait créer un climat effrayant, sans effets spéciaux ni hémoglobine à profusion. Un film essentiel comme l’a été « La nuit des morts-vivants » de Romero. A ne pas manquer !
Dik ap Prale
Si à l'époque le succès était inattendu, il est aujourd'hui évident qu'Halloween doit être vu. Pour son entrée en matière avec son célèbre plan séquence en vue subjective, sa compo musicale et son côté Homemade. Il est aujourd'hui la référence du Slasher qui a déposé sa stèle sur les autres VHS, trônant désormais au dessus du lot.
Si on reprend la génèse de ce film, c'est un film sans moyen, réalisé de bric et de broc, avec l'ingéniosité des techniciens, maquilleurs, et du réalisateur. Contre toute attente le film fait un carton a sa sortie et devient culte après une série de séquelle, le filon est encore bon puisque le croquemitaine fait toujours recette 30 ans après la sortie du premier. Maintenant même si le film a certaine qualité, il semble bien daté, le frisson de ce film des années 70 était très certainement au rendez-vous, aujourd'hui cela à l'air d'une bluette, il n'égalera jamais "l'exorciste" film pourtant cité en référence par Carpenter. Celui-ci est un bon faiseur de série B, à qui on donnera des sujets horrifiques à traiter fort de son succès.
Ce que l'on retient le plus et qui est très certainement ce qu'il y a de plus réussit dans le film, c'est sa bande son, comme le thème de James Bond ou de Mission Impossible, il reste l'empreinte indélébile du film, une marque forte, et le succès de ce film lui doit beaucoup.
N'oublions pas, ce qui est dans le titre, le masque, encore une petite chose, un masque imberbe, peint en blanc, et le tour est joué, le crime a un visage, ou plutôt le crime sans visage.
La mode des Slashers est lancé, suivra un Vendredi 13, qui prendra le contre pied de Halloween, là où Carpenter, voulait créer l'effroyable sans une goute de sang, (par raison d'économie), V13 lui ira sur la route du gore avec une avalanche de morts sanglantes.
Halloween est devenu culte, alors rien que pour cette raison, il faut le découvrir.
Ce que l'on retient le plus et qui est très certainement ce qu'il y a de plus réussit dans le film, c'est sa bande son, comme le thème de James Bond ou de Mission Impossible, il reste l'empreinte indélébile du film, une marque forte, et le succès de ce film lui doit beaucoup.
N'oublions pas, ce qui est dans le titre, le masque, encore une petite chose, un masque imberbe, peint en blanc, et le tour est joué, le crime a un visage, ou plutôt le crime sans visage.
La mode des Slashers est lancé, suivra un Vendredi 13, qui prendra le contre pied de Halloween, là où Carpenter, voulait créer l'effroyable sans une goute de sang, (par raison d'économie), V13 lui ira sur la route du gore avec une avalanche de morts sanglantes.
Halloween est devenu culte, alors rien que pour cette raison, il faut le découvrir.
Si il a planté (jeu de mots) les bases d'un genre (le slasher), force est de constater que c'est un genre bien pauvre et trop scripté pour susciter la moindre surprise. En soi le film est bien foutu, avec cette ambiance délicieusement rétro que les films de Carpenter offrent, mais se révèle très vite limité, autant au niveau de l'intrigue que des possibilités de jeu des acteurs. Mignon et intéressant pour sa dimension "cinéphilique".
Le "Halloween" de Carpenter est un film de slashers culte. Mais comme pour bon nombre d'entre ceux qui ont été réalisés dans les 70's, il a pris de très grosses rides. Ce qui faisait peur il y a 40 ans fait plutôt rire votre petite soeur ou bien agit sur vous comme somnifère aujourd'hui. Le charme de ces années là, avec les pattes d'ef, les longs cols triangulaires, les filles en robe et les voitures sans ceinture de sécurité n'est pas déplaisant. Revoir (ou découvrir) Jamie Lee Curtis surjouer dans son 1er grand rôle (hum!) ne l'est pas non plus. Mais c'est bien tout car le John est encore loin de maitriser la réalisation à l'époque. Le 'Mal' passe et repasse à côté de ses proies, disparait, réapparait, passe et repasse, puis redisparait avant de réapparaitre pour rien. La mise à mort des victimes n'est même pas violente. Heureusement que les notes légendaires de la BO sont là pour tenir en éveil. Cette 1ère mouture a été le point de départ d'une saga grotesque, mais lucrative, qui continue encore de nos jours. Ne boudons pas pour autant notre plaisir, "Halloween, la Nuit des Masques" est un classique du film horrifique qui a toujours sa place à cette époque de l'année. Pas le meilleur, certes, mais loin d'être le pire.
Film culte et référence du slasher, on comprend pourquoi "Halloween" a marqué son public au point que Michael Myers continue de faire des siennes 40 ans après sa sortie de l'hôpital psychiatrique. La scène d'introduction donne tout de suite le ton de ce qui nous attend
spoiler:
en hésitant pas à mettre le spectateur directement dans la peau du tueur
. Avec un budget très réduit, Carpenter nous livre un film assez court mais qui en même temps laisse une énorme dose de mystère autour du personnage de Myers, ce qui a ouvert la porte aux nombreuses suites pas toutes aussi réussies. Simple dans son scénario comme sa mise en scène, "Halloween" n'en est pas moins un film brillant. Remis dans son contexte, il ne faut pas oublier en plus que la vague de tueurs en série des années 70 ne laissait pas présager qu'un film de ce genre, n'hésitant pas à bousculer les codes, pourrait avoir un tel impact. Si on peut quand même y trouver des anomalies de mise en scène spoiler: (notamment Myers dans son déguisement qui regarde son couteau pendant qu'il plante sa sœur, comment fait-il pour voir ce qu'il fait ?)
, mais on comprend facilement pourquoi "Halloween" est devenu une pierre angulaire du film d'horreur. Et comment oublier qu'en plus de ses talents de metteur en scène, Carpenter a composé au synthétiseur une musique entrée dans l'histoire, qui résonne tout au long du film, ou encore cette référence à son futur "The Thing" à la TV.
. Avec un budget très réduit, Carpenter nous livre un film assez court mais qui en même temps laisse une énorme dose de mystère autour du personnage de Myers, ce qui a ouvert la porte aux nombreuses suites pas toutes aussi réussies. Simple dans son scénario comme sa mise en scène, "Halloween" n'en est pas moins un film brillant. Remis dans son contexte, il ne faut pas oublier en plus que la vague de tueurs en série des années 70 ne laissait pas présager qu'un film de ce genre, n'hésitant pas à bousculer les codes, pourrait avoir un tel impact. Si on peut quand même y trouver des anomalies de mise en scène spoiler: (notamment Myers dans son déguisement qui regarde son couteau pendant qu'il plante sa sœur, comment fait-il pour voir ce qu'il fait ?)
, mais on comprend facilement pourquoi "Halloween" est devenu une pierre angulaire du film d'horreur. Et comment oublier qu'en plus de ses talents de metteur en scène, Carpenter a composé au synthétiseur une musique entrée dans l'histoire, qui résonne tout au long du film, ou encore cette référence à son futur "The Thing" à la TV.
Excellent, même après tant d'années, l'atmosphère que ce film dégage est vraiment unique, la bande son est magistrale. Malgré un jeu d'acteur un peu cheap à certains moments dû à l'ancienneté du film, le reste est vraiment génial. Un très bon thriller horrifique. 4/5.
Cinéphiles 44
La nuit d’Halloween 1963, le jeune Michael Myers assassine sa grande sœur à coups de couteau. Interné dans un asile psychiatrique, il s’échappe quinze ans plus tard pour s’en prendre à tous les adolescents de la ville. Aujourd’hui encore, « Halloween, la nuit des masques » est l’un des films les plus cultes du cinéma d’horreur, comme le prouveront ses suites et parodies. A la fois réalisateur, scénariste et compositeur du film, John Carpenter a su imposer une ambiance flippante grâce à des plans travaillés qui donne un sentiment de claustrophobie et cette idée de ne jamais faire parler ni montrer le visage de celui qu’on nomme le croquemitaine. Avec ses cheveux statiques, le personnage de Jamie Lee Curtis est tout aussi intriguant en baby-sitter apeurées par les nombreuses apparitions de Michael et son affreux masque. Malgré un fil conducteur finalement assez bête, « Halloween, la nuit des masques » n’a pas pris une seule ride et peut se regarder tous les ans à la même date, le 31 octobre.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Deuxième long métrage d'un génie du fantastique avec un budget réduit qui va faire des bénéfices, une oeuvre culte que je conseille de regarder la soirée d'Halloween signé par le maitre John Carpenter. Un homme, aprés avoir tué 15 ans auparavant sa soeur, s'échappe d'un centre de malade et revenir dans sa vieille maison devenu hantée tuer des gens pour la fete d'Halloween. Sa cible, une lycéenne nommé Laurie et ses copines. Musique angoissante signé Carpenter, mouvement de caméra frissonnante par Carpenter, ce film est un chef d'oeuvre de l'épouvante qui a été copié depuis, notamment chez Wes Craven. Jamie Lee Curtis, jeune à l'époque et débutante dans le métier d'actrice, est excellente tout comme ses copines et aussi l'impeccable Donald Pleasance. On notera aussi des clins d'oeils comme le film qui passe à la télévision pendant la soirée sanglante s'appelle "The thing" d'Howard Hawks dont John Carpenter signera un remake par la suite. Vérifiez bien que vos portes et fenetres soient cloturés avant de regarder ce film bouih (rire).
HALLOWEEN, malgré ses défauts pesant sur les années, est une expérience de l'épouvante originelle indéniablement percutante. Les jeux de la mise en scène éblouissent cette référence du slasher, œuvre culte maintes fois copiée mais jamais égalée et qui conserve ad-vitam-eternam son potentiel horrifique. Culte !
Julien D
Si aujourd’hui les jeunes ayant grandi en regardant la série des SCREAM trouveront ce film démodé et banal, et bien ils doivent savoir que, vingt ans plus tôt, c’est John Carpenter qui, avec ce film, créa le slasher, ce sous-genre du film d’horreur souvent destiné à un public adolescent et construits tels des survivals où l’on suit les tueries en série de "boogeymen". C’est donc bien le personnage de Mike Myers qui fut à l’origine de la figure récurrente dans le cinéma d’horreur du tueur masqué increvable. Ce personnage au masque livide assassine sans pitié à tour de bras tous les adolescents de son village d’enfance pour arriver jusqu’à sa cible finale, sa sœur incarnée par Jamie Lee Curtis qui fut à jamais assimilée à ce personnage. La caméra subjective, les ombres, les reflets ainsi la musique angoissante du film (devenue légendaire) sont autant d’effets qui donnèrent à l’image du croquemitaine sanguinaire un pouvoir de suggestion et qui seront réappropriés, sans rarement être égalés, par tous les réalisateurs de films d’épouvante, à commencer par les nombreuses suites de celui-ci puisqu’il devint vite une franchise impérissable.
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