"Je taim" : Un excellent Format court (trop court) mis en scène et scénarisé par Guillaume Canet en 1988. Son joli scénario, débordant de réalisme et de sensibilité, nous offre une chute aussi belle qu'inattendue. Le pitch de ce drame : un père au bout du rouleau vit seul avec sa fille Marion âgée de 12 ans, avec laquelle il a de gros problèmes relationnels. Christophe Malavoy est excellent de crédibilité et la jeune Leslie Lipkins est craquante.
Etrange court-métrage réalisé par Guillaume Canet en 1998. La musique de Laurent Alvarez est très jolie, les premiers plans dans l'appartement sont très beaux. On retiendra surtout la forme sur le fond malgré les quelques ombres de micros, perches et reflets de caméra. Christophe Malavoy est guere convaincant surtout dans une scène où le pere parle à sa fille qui dort, fille interprétée par la mignonne Leslie Lipkins. Le film traite des problèmes de communication entre un pere et sa fille, pere un peu déboussolé (suite à un divorce ? suite à la mort de sa femme ?) qui n'arrive à parler à sa fille que lorsqu'elle dort. On peut penser que Guillaume Canet met beaucoup de lui dans cette histoire. Je taim est un petit film très sympa dans sa réalisation et Guillaume Canet prouvera toutes ses dispositions dans son premier long-métrage, le très réussi Mon Idole.
Ce court-métrage nous narre la relation entre une fille et son père. Le père est dépressif et passe ses nerfs sur sa fille, mais il l’aime bien. Ce court-métrage m’a assez touché, car cette histoire est triste et que je sais ce que ressentent ces personnes. Les intentions du père ne sont pas mauvaises, mais il n’est pas dans son assiette. Sa fille encaisse, mais en a marre que son père lui accorde si peu d’attention. Le début est assez lent, mais ça devient mieux après. La fin est frustrante, car on ne sait pas ce qui adviendra des personnages dans l’histoire. Je déteste les fins ouvertes (je rigole, mais c’est vraiment frustrant). Un bon court-métrage qui nous montre déjà le talent de Guillaume Canet.