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    Au nom du père
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    248 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 mars 2020
    Chef-d'œuvre, excellent film, excellent acteur qu'est Daniel day lewis une histoire vrai très émouvante. A voir absolument.
    bobbyfun
    bobbyfun

    40 abonnés 1 250 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 février 2020
    Film viscéral, poignant, révoltant sur l'injustice au delà des idéaux. Day Lewis est d'une justesse émotionnelle incroyable.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 février 2020
    Au nom du Père est réellement UN FILM A VOIR!
    aucune once de regret(s) au contraire
    Daniel D.Lewis y est purement et simplement magistral ! Il ne joue pas, IL EST Gerry Conlon!!!
    Quant à Pete Postelwaite , il incarne le Père avec pudeur et respect...
    tellement vrai ,on est littéralement happé par l'écran!
    un pur moment de Cinéma ,mettez le en tête de liste :à VOIR et/ou REVOIR
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 2 000 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 janvier 2020
    Daniel Day-Lewis illumine de sa présence magnétique ce récit d'une iniquité judiciaire mais aussi d'une initiation dramatique aux relations familiales au sein d'un contexte politique brûlant. Grâce à une mise en scène sobrement efficace ainsi qu'à une direction d'acteurs précise, l'attention du spectateur reste captée jusqu'au bout d'un film qui ne peut laisser indifférent. Un cri déchirant de colérique frustration.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    120 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 novembre 2019
    Le titre fait attendre un film empreint de religion, surtout quand on sait que l’Irlande est très croyante. Mais le sujet de Sheridan, c’est que la patrie de Michael Collins était surtout très croyante en sa haine des Anglais.

    Le réalisateur dublinois, ça le connaît, l’ire de l’IRA qui se casse la tête sur celle, couronnée, des voisins, aussi ne sera-t-on pas étonné qu’il sût tirer des ruelles la plus parfaite matière révolutionnaire, se plaçant au niveau de valeurs aussi sûres que Bono, Sinéad O’Connor ou Daniel Day-Lewis qui sont les trois Irlandais d’élite attachés au projet (ce dernier a obtenu la citoyenneté irlandaise l’année de sortie du film). On avance presque trop vite dans la brillante & cryptique inimitié des nations sœurs ennemies, dont on aimerait pouvoir plus longuement se délecter.

    Film hyperirlandais & carcéral, Sheridan a tellement mis de sa personnalité dedans qu’on en oublie de l’étiquetter. Peut-être l’a-t-il fait à outrance : bercé par sa confiance en l’écriture, il s’est fait taper sur les doigts pour avoir trop fricoté avec l’histoire vraie, & c’est normal que ça gêne : on parle quand même de terrorisme & d’injustice historique. Toutefois, le spectateur sera indulgent, car si c’est là le coût pour un divertissement si bien dirigé sur tous les plans, il sera prêt à ne pas y accorder une confiance aveugle.

    Pour une fois, Day-Lewis l’acteur total ne sort pas tellement du lot, mais c’est parce que tous les rôles sont bien montés, pas tout à fait néanmoins comme leur temps de parole qui est le second témoin, après le rythme, d’une certaine compression du script – aussi, des acteurs comme Emma Thompson sont plus relégués qu’ils ne devraient l’être, ce qui éloigne l’œuvre de la pleine réussite judiciaire qu’on attend avec l’éclatement des verdicts.

    D’ailleurs, Au nom du père est particulièrement absorbant en ce qu’il est à la fois un film judiciaire & carcéral, deux genres bien distincts pour qui veut prendre la peine de les séparer, & qu’il s’adonne à la description plus qu’à l’immersion. Cela reviendrait au même si cela ne compensait pas avantageusement les raccourcis tout en faisant bénéficier l’écran de la plume de Sheridan, sensible à la construction progressive, pièce par pièce, d’une histoire qui aurait facilement pu devenir indigeste, entre tribunal, prison, drame familial & politique.

    Avec les souvenirs & la non-linéarité menée par voix off, tout va bien ; ça secoue un peu mais on tient la route. Surtout, le film se ressource dans des personnages qui disparaissent tard & apparaissent tard, de quoi opérer les glissements de genre en minimisant la peine que cela fait de ne pas pouvoir mesurer ce que représentent 15 années de prison.

    On est sur un meilleur film irlandais que carcéral & un meilleur film carcéral que judiciaire. Un dégradé qui est le résultat d’une écriture talentueuse mais par endroits trop résumée, & à peine aussi relevée que le promettent le thème & le casting. En revanche, il se place en quasi-référence dans l’histoire du cinéma irlandais & du cinéma historique, gonflé de plusieurs âmes d’artistes pas forcément bien emboîtées mais fortes de la volonté de bien faire.

    → https://septiemeartetdemi.com/
    Boubou
    Boubou

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 juillet 2019
    Pas aimer le brûlage d'étape , le temps est parfois trop long dans ce film et d' un coup tout s'accélère puis il se retrouve dehors .
    Fabien S.
    Fabien S.

    544 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mai 2019
    Un excellent film dramatique avec Daniel Day Lewis datant des années 1990 . Emma Thompson campe une brillante avocate.
    Biertan64
    Biertan64

    49 abonnés 1 431 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2019
    Comme à son habitude, Daniel Day-Lewis parvient à faire d'un film très classique dans son montage un film qui sort du lot.
    La première partie, à suivre le jeune Gerry Conlon est captivante, avec une peinture méticuleuse des années 70 de Belfast à Londres, l'IRA qui tient la rue, les pat'def"-cheveux longs et les poches vides car pas de travail.
    La seconde, en prison, comporte quelques longueurs et malgré cela j'ai eu du mal à réaliser que cela avait spoiler: duré 15 ans (jusqu'à la plaidoirie de l'avocate dans le procès en appel qui insiste sur les années perdues et volées
    ).
    "Au nom du père" est un très bon réquisitoire contre l'injustice pourtant le réalisateur a pris le parti de se tourner vers les victimes (Gerry et Giuseppe Conlon) sans trop insister sur le rôle des auteurs de cette injustice (police et justice anglaises) qui sont bien entendus mis en cause mais presque comme si cela n'était que secondaire. En cela le film me parait être plus factuel qu'engagé.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 146 abonnés 5 130 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 décembre 2018
    Un film engagé et fort sur la justice ou plutôt l’acharnement de la justice.
    Il y a une puissance dans le récit et c’est effectivement dû à la conviction de l’acteur et le rôle de cet homme qui défend son père avec courage.
    Ghighi19
    Ghighi19

    67 abonnés 1 869 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 mai 2018
    Revu hier soir et j'étais persuadé d'avoir mis une note et bien voilà c'est chose faite . Il y a des films immanquables et celui là en fait totalement parti . D'abord il y a le casting incroyable et après sa grande qualité est le point de vue quasi documentaire du traitement par le réalisateur . On ne quitte pas l'écran des 2 heures de la projection grâce à cette plongée dans une affaire atroce et vraie de fausse accusation . Un grand moment de cinéma .
     Kurosawa
    Kurosawa

    582 abonnés 1 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 mars 2018
    Celui qui voudrait regarder "Au nom du père" sans rien connaître de l'IRA et des Quatre de Guildford n'a aucune raison de s'inquiéter car le film lui expliquera tout. C'est à la fois louable de la part de Jim Sheridan de tenir par la main son spectateur dans le but de lui faire pleinement partager l'émotion d'un tel sujet et en même temps regrettable sur le plan cinématographique. Le schématisme des personnages, de l'action et de la mise en scène sont bien sûr les symptômes majeurs d'un académisme frappant, mais cet académisme n'en demeure pas moins habité. Si le film nous emporte et qu'il nous transmet lors d'un procès final une haine ravageuse, c'est parce qu'il est totalement engagé. La conscience de faire un film révoltant et brûlant se ressent à chaque minute, à travers un rythme soutenu, une musique puissante et une qualité d'interprétation étourdissante – Daniel Day-Lewis est extraordinaire dans sa façon de passer progressivement d'une innocence un peu bête à une véritable maturité, via la prise de conscience politique. En somme, il est difficile de nier le caractère démonstratif du film mais il est également impossible de rejeter l'impression d'urgence assez folle qui en ressort.
    elbandito
    elbandito

    343 abonnés 964 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 février 2018
    Inspiré de l’histoire vraie dite des "quatre de Guildford", "In the name of the father" est un film intense, sublimé par la performance exceptionnelle du trop rare Daniel Day-Lewis. L’acteur y interprète un jeune homme injustement emprisonné quinze années durant dans un contexte politique de guerre civile en Irlande du Nord, alors qu’il est innocent. Gerry Conlon, jeune délinquant dans le Belfast des années soixante-dix, passe son temps à se saouler et faire la fête, à la grande consternation de son père, Giuseppe, imperturbable Pete Postlethwaite. Un jour, accusé d’être l’instigateur d’un attentat sanglant pour le compte de l’IRA, Gerry est emprisonné et condamné à la prison à vie, tout comme son père. Derrière les barreaux, Gerry va redécouvrir son père : son masque de faiblesse, son espoir et sa force intérieure inégalée. Avec l’aide d’une avocate dévouée, fabuleuse Emma Thompson dans l’un de ses meilleurs rôles, Gerry est déterminé à prouver son innocence, nettoyer le nom de son père injustement sali et faire éclater la vérité sur ce qui restera l’une des plus graves erreurs judiciaires du Royaume-Uni. Sans aucun doute l’œuvre la plus réussie de Jim Sheridan, qui permet de percevoir toute l’ambiguïté et la justesse de la relation père-fils dans un milieu carcéral dénué d’humanité.
    konika0
    konika0

    27 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 novembre 2017
    Rage et désespoir. Le plus grand succès de Sheridan est la combinaison de deux sous-genres cinématographiques : Le film de procès, qui retrace le déroulé d’une erreur judiciaire et le fin de prison, qui montre la survie du good guy dans l’univers carcéral. La grande réussite c’est de parvenir à exceller sur les deux tableaux. Le thème du conflit anglo-irlandais est cher au cœur de Sheridan. Il dira même que c’est son seul véritable engagement. Comme dans le reste de sa filmo, Sheridan en profite pour développer autour d’un thème qui l’obsède, les relations entre père et fils. Ici, le père symbolise la sagesse et la bonne morale tandis que le fils est la tête brûlée qui refuse de vivre les mêmes brimades que le paternel. Les deux personnages vont finalement définir deux stratégies face au contexte nord-irlandais. Sheridan n’épargne personne. Le gouvernement Britannique en prend pour son grade. L’IRA est présenté comme un mal justifié mais un mal quand même. La raison viendra d’un père affaibli que seule la mort pourra renforcer. Sur la forme, tout cela est assez classique mais on se prend véritablement pour l’enjeu politique et dramatique de cette histoire vraie. Day-Lewis est saisissant, tant en prisonnier insoumis qu’en jeune foufou des rues de Belfast. A voir et à revoir.
    Philippe R.
    Philippe R.

    3 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 octobre 2017
    Issu d'une histoire vraie ," Au nom du père " nous fait découvrir les erreurs judiciaires d'une Angleterre sur les dents, en pleine guerre terroriste avec IRA dans les années post 70 ,
    Il leurs fallait des coupables ; et ils les ont trouvé !
    Un film qui reste d'actualité, c'est sur, à voir pour les amateurs du genre !
    pierrre s.
    pierrre s.

    426 abonnés 3 304 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 août 2017
    Un film dur et puissant, renforcé par le fait qu'il traite d'une histoire vraie. Certains pourront reprocher un aspect "émotionnel" trop présent, mais en même temps, comment faire autrement ?..
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