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Le prédécesseur de "La Plateforme". Bon huis-clos, tendus pas toujours très subtil ni très bien joué. Mais ce film a marqué son époque et est quasiment devenu culte !
Roub E.
Je me souviens être aller le voir à l'époque et j'en avais garder un bon souvenir. En le revoyant presque 20 ans après c'est même mieux que cela. Pour signifier la qualité du film, j'ai été surpris de voir à quel point je me rappelais de ses différents ressorts même aussi longtemps après, et malgré le fait que je me souvienne des différents rebondissements la tension du film et son côté malin fonctionnent encore à merveille. Car c'est la grande réussite de Cube, un film fait avec des bouts de ficelle mais d'une inventivité et une créativité folle qui en fait un huis clos légèrement horrifique absolument génial. On est tout simplement baladé par un scénario qui nous fait nous interroger sur le pourquoi de la chose alors que seul la solution compte (le pourquoi ne donnerai d'ailleurs probablement rien). La seule chose que je lui reprocherais c'est du fait de son peu de moyen les acteurs ne sont pas tous très justes, mais en dehors de cela c'est un film remarquable une expérience à découvrir ou re découvrir.
C’est bien comme film d’horreur, la première chose que l’on se demande est de savoir ce qui se passe dans ce cube de claustrophobie, un concept intrigant avec ces couleurs changeantes, géométrie variable et rotation, le moteur du mécanisme. Pourquoi des gens apparemment sans histoires voir innocents se trouve dans cette galère horrifique qui les découpent en steak haché à chaque passage à niveau, une influence pour le génial « Saw 1». On ne saura pas pourquoi à l’issue de l’intrigue et à noter de l’incohérence, mais l’importance de ce film m’a donné de la frayeur pour ces personnages, les opinions expriment l’inquiétude, l’angoisse, l’anxiété et s’opposent à la volonté, ma sympathie pour ces histoires différentes et le métier qui leurs correspondent, ce n’est pas bête, c’est beau et touchant. La fin est tragique, certes, comme serait le cas pour ce genre de film, il y a toujours une lueur d’espoir malgré l’obscure clarté de l’inconnu qui attend le survivant, se creuser les méninges pour avancer, telle est l’énigme d’un labyrinthe.
Une SF trop désincarnée pour complétement faire adhérer le spectateur à cette enigme geométrique hostile. 12/20
Un passionnant thriller mathématique qui ne manque pas de suspense. On se laisse facilement prendre au jeu de la pièce piégée, où il n’est pas sûr d’en réchapper !
Thriller canadien saupoudré de science-fiction, Cube est un petit classique de la fin des années 90 dans lequel cinq personnes qui ne se connaissent pas se retrouvent prisonnières d’un immense cube composé de très nombreuses pièces de la même forme. Sans savoir ce qu’ils font là, ils vont devoir combiner leurs compétences respectives afin de trouver un moyen de sortir. On trouve un policier cherchant rassurer et diriger les troupes, un architecte ayant conçu l’extérieur du cube, une étudiante en mathématique ayant la mémoire des chiffres, une médecin psychologue et un professionnel de l’évasion. Pour ne pas que ce soit trop facile,
spoiler:
ce dernier en arrive vite à se faire asperger d’acide sur la figure, mais s’avère vite remplacé par
un autiste qu’ils rencontrent un peu plus tard. Les personnages portent tous un nom en référence à un pénitencier : Quentin pour San Quentin à Marin County, Holloway à Londres, Kazan en Russie, Rennes pour prison bretonne, Alderson pour l’Alderson Federal Prison Camp en Virginie, Leaven et Worth pour Leavenworth dans le Kansas.
Assez prenant, le film reste simple dans sa résolution d’énigmes autour des nombres et son repérage des pièges tranchants, comme la superbe démonstration qu’on a au tout début, spoiler: alors que la première victime se trouve scindé en morceaux.
La psychologie des personnages aurait pu être plus poussée mais leur relation tourne de plus en plus au vinaigre alors que chacun perd ses moyens à cause de la panique et du manque d’eau. Les conflits personnels prennent alors le dessus avec des attaques verbales de plus en plus gratuites et de la violence physique concernant le policier, qui devient de plus en plus tyrannique et prétentieux. Véritable métaphore du conditionnement des êtres humains dans la société, Cube dépeint à lui seul les vices humains dans la division au détriment de l’union comme le montrent certains dialogues tels que « Si l'on sépare bien les secteurs d'activité, la main gauche ignore ce que fait la main droite, et personne ne rencontre jamais le cerveau. », « Vous devez avoir en tête que ce que vous avez en face de vous. C'est ça le vrai défi, c'est réussir à vous sauver de vous-mêmes. » et « Il n'y a rien qui me donne envie d'aller dehors. Qu'est-ce qu'il y a dehors ? Une bêtise humaine illimitée. ». Un classique intéressant, mais qui aurait mérité une réflexion plus poussée, des scènes plus marquantes et des personnages plus charismatiques.
un autiste qu’ils rencontrent un peu plus tard. Les personnages portent tous un nom en référence à un pénitencier : Quentin pour San Quentin à Marin County, Holloway à Londres, Kazan en Russie, Rennes pour prison bretonne, Alderson pour l’Alderson Federal Prison Camp en Virginie, Leaven et Worth pour Leavenworth dans le Kansas.
Assez prenant, le film reste simple dans sa résolution d’énigmes autour des nombres et son repérage des pièges tranchants, comme la superbe démonstration qu’on a au tout début, spoiler: alors que la première victime se trouve scindé en morceaux.
La psychologie des personnages aurait pu être plus poussée mais leur relation tourne de plus en plus au vinaigre alors que chacun perd ses moyens à cause de la panique et du manque d’eau. Les conflits personnels prennent alors le dessus avec des attaques verbales de plus en plus gratuites et de la violence physique concernant le policier, qui devient de plus en plus tyrannique et prétentieux. Véritable métaphore du conditionnement des êtres humains dans la société, Cube dépeint à lui seul les vices humains dans la division au détriment de l’union comme le montrent certains dialogues tels que « Si l'on sépare bien les secteurs d'activité, la main gauche ignore ce que fait la main droite, et personne ne rencontre jamais le cerveau. », « Vous devez avoir en tête que ce que vous avez en face de vous. C'est ça le vrai défi, c'est réussir à vous sauver de vous-mêmes. » et « Il n'y a rien qui me donne envie d'aller dehors. Qu'est-ce qu'il y a dehors ? Une bêtise humaine illimitée. ». Un classique intéressant, mais qui aurait mérité une réflexion plus poussée, des scènes plus marquantes et des personnages plus charismatiques.
Malgré des acteurs crédibles, et un début prometteur, le film s'essouffle à une vitesse impressionnante, et perd du même coup tout son intérêt. Dommage, c'était un thème assez original mais pas bien exploré !
Un film qui vient d'une autre planète tellement il est différent de tout ce qu'on a pu voir en matière d'horreur !! La réalisation et le scénario sont très imaginatifs. Les personnages sont intéressants et l'intrigue est passionnante. Seul bémol pour moi le film n'est pas complètement achevé, en effet on se pose tout un tas de questions auxquelles on obtient aucunre réponse. Dommage !
Il est difficile de dire que ce premier long métrage de Vincenzo Natali n'est pas une réussite, on le sent dès la scène d'introduction, mais surtout cette réalisation qui, avec peut-être une pièce, nous fait imaginer qu'il y en a des milliers. Avec pas grand chose, ce film réussi à mélange plusieurs genres, si l'on y met du sien on peut même partir vers du fantastique. Il ne faut pas s'attendre à en prendre plein la vue par des prouesses techniques incroyables, non, ici on a des plans, des couleurs, du bruit et beaucoup d'imagination. La psychologie des personnages, voir comment l'homme peut réagir à différents facteurs de stress, la réalisation et la morale de cette histoire, tout ça m'a vraiment plu, cependant je n'ai pas non plus été transporté par quelque chose de magistral, c'est une expérience à voir car avec peu on peut faire énormément et le réalisateur nous le prouve avec Cube.
JeremGar
des personnes sont enfermés dans une sorte de "prison" faites de plusieurs pièces carrées. Pourquoi sont-ils enfermés?Comment en sortir?voilà les enigmes qui se degagent de ce film en plus de la question de la volonté des hommes de diriger un groupe. Les caractères s'affrontent, des tensions s'installent, des complots...un assez bon huit-clos nous est livré ici!
Génial huis clos fantastique. Minimaliste, etouffant, angoissant, surprenant.
A part le côté mystérieux induit par ce lieu insolite de huis clos qui donne l'envie de comprendre au début, il en reste pas grand chose à la fin. Aucune réponse n'est donné sur les tenants et aboutissement de ce cube. Il est juste le support d'un casse-tête dont le développement est très limité et circonscrit à quelques gymnastiques mathématiques, rien de plus. Il en va de même pour les personnages. Dans un huis clos, on pourrait s'attendre à des personnalités et des interactions riches, ce n'est vraiment pas le cas. Les personnages sont quasiment tous inutiles et unanimement creux.
Voilà un film d'épouvante/horreur/science-fiction comme je les aime ! On ne s'ennuie pas une seconde, on stresse en se demandant comment les protagonistes vont s'en sortir (ou s'ils vont s'en sortir), la musique ou, justement, l'absence de musique prend une grande part dans la tension croissante du film. La folie guette les protagonistes dans cette prison cubique remplie de pièges brutaux et mortels. Un film puissant, capable de nous rendre claustro... Mon meilleure film de science-fiction horrifique !!! ^^
Original et bien maitrisé par moment,malgré un jeu d'acteurs et des dialogues moyens,un thriller fantastique déroutant et scotchant quoique complexe.
Mouais ça se laisse regarder mais je m'attendais à beaucoup mieux... Ça traîne en longueur et il se passe pas grand chose... Très déçu
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