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    Et pour quelques dollars de plus
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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 août 2011
    Après Pour une poignée de dollars, la réunion de la "Sainte Trinité" fait encore des merveilles dans ce chef-d'oeuvre du western spaghetti. Sans doute l'un des meilleurs westerns italiens jamais tournés.
    Fred E
    Fred E

    10 abonnés 310 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 août 2012
    Ce second film de S. Leone sur la trilogie des dollars est aussi sympatique que le premier, mais il n'est pas autant abouti que le troisième, "le bon, la brute et le truand". La BO est quant à elle excellente, bravo à Ennio Morricone pour ses aires de musiques qu'on n'oublie pas.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 décembre 2012
    Le légendaire cow boy sans nom est de retour pour un western de haut niveau. On retiendra les paysages magnifiques du far west. Mythique.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    136 abonnés 2 238 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 août 2009
    UN INDIEN DANS LA VILLE. Sergio Leone continue de se perfectionner dans le western spaguetti.
    oranous
    oranous

    144 abonnés 1 097 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 décembre 2008
    Certainement le moins bon de la trilogie du dollar a mon sens. Il est très long. C’est celui qui prend le moins aux tripes, dans lequel il y a le moins de suspense. Même les scènes de duel ne scotchent pas. C’est dommage parce que sinon tout y est : duels a main armé, saloons a foison et attaque de banque. « Et pour quelques dollars de plus » aurait gagné en qualité s’il avait été raccourci.
    Hotinhere
    Hotinhere

    570 abonnés 4 995 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juin 2021
    Un western fascinant et jubilatoire, porté par la mise en scène flamboyante de Sergio Leone, servi par un casting superbe et magnifié par la BO envoûtante de d’Ennio Morricone. Du lourd !
    Alasky
    Alasky

    359 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 août 2021
    Casting ultra charismatique, mise en scène sensationnelle, plans d'une beauté grandiose et musique sublime pour ce western signé Sergio Leone, génie du Cinéma. Vraiment la lumière, les paysages et la musique, sont des personnages à part entière dans ce film !
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    136 abonnés 1 632 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 septembre 2024
    Dans ce second opus de la trilogie dite du dollar de Sergio Leone, on assiste à un jeu à trois bandes entre trois personnages aux ambitions et aux caractères très différents joués par Lee Van Cleef, Clint Eastwood et Gian Maria Volonte.
    Le colonel Douglas Mortimer collabore avec un autre chasseur de primes surnommé L’"Étranger" (l’Homme sans nom cher à Sergio Leone) pour capturer le sanguinaire Indio, un tueur fou, qui sème la terreur autour de lui. Ce dernier et ses hommes sont sur le point de piller la banque d’El Paso.
    Le poncho de Clint Eastwood, le regard de Lee Van Cleef, les trognes impossibles des méchants, les travellings leoniens, la musique d’Ennio Morricone, l’humour sardonique... Autant d’éléments entrés dans la légende et qui, des années après, procurent toujours le même plaisir. Ce film s’inscrit dans la marche du réalisateur italien vers toujours plus de sophistication et de précision dans sa mise en scène. On retrouve tous les éléments qui feront le succès de « Le bon la brute et le truand » ; la recette est la même, mais le plat sera alors succulent ; ici, il peaufine encore ses gammes. Illustrant une histoire ultra-classique, brassant des thèmes et situations déjà cent fois exploités avant lui (chasse à l’homme, attaque de banque, duels au soleil, vengeance), Sergio Leone fait reposer son western non pas sur son histoire, mais sur son style incroyable. Tout est une question d’ambiance, tout réside dans l’art de faire durer les silences, de charger chaque minute d’une épaisseur hors du commun, grâce au poids de la musique, au choix des gros plans, à l’étirement des scènes. Tout est une question d’audace également : la mise en scène de Leone semble tout se permettre : les mouvements de caméra aériens, les ruptures de ton les plus osées, l’alternance entre les plans larges filmant les grands espaces et les gros plans sur le visage de ses personnages, une goutte de sueur descendant sur leur front. Le résultat de cette alchimie est payant, à l’image de ce superbe duel final dans un village paysan, où les douces notes d’une comptine sont mêlées aux accents grandioses de l’orchestre de Morricone, conférant à la scène un relief et un suspense hors du commun. Là aussi, on retrouve le duel à trois dans un cercle ; dans le dernier opus de cette trilogie (« Le bon… »), il portera cette même scène à un niveau inégalé. Le western possède ainsi une dimension baroque, énorme, où le plus infime des instants semble durer une éternité, où les (anti)héros léoniens acquièrent une stature légendaire grâce à un simple regard. Chaque scène, même la plus triviale de toutes, est tournée avec soin, comme si c’était la dernière : on y sent un constant amour de cinéma, qui en devient émouvant et fait toute la grandeur de l’entreprise.
    Les personnages de tueurs ou d’innocents, très typés et sur-caractérisés (c’est intentionnel), sont croqués en quelques secondes par Leone, qui les immortalise à l’aide d’un simple détail visuel (le cigare et les habits du Manchot, le pistolet très particulier du colonel Mortimer, les cigarettes d’El Indio).
    Mais la moralité n’est pas vraiment l’affaire de Sergio Leone, qui nous plonge dans un univers dangereux où l’on ne distingue plus les héros des salauds, les justiciers des tueurs : la tromperie est affaire courante (voir la manière savoureuse dont le Manchot et Mortimer essaient mutuellement de se piéger, alors qu’ils sont associés) et chaque personnage possède une longueur d’avance sur tous les autres... ou du moins croit la posséder.
    L’humour noir leonien relativise tous les principes au sein d’un monde où rien n’a de valeur sinon l’argent et la mort, et où les hommes tombent comme des mouches dans un ultime ricanement. La petite musique de Leone, aidée par les mélodies immortelles d’Ennio Morricone, commençait ainsi à s’affirmer et s’imprimer durablement dans les esprits, avant une série de films (Le bon la brute et le truand, Il était une fois dans l’Ouest, Il était une fois en Amérique) au budget de plus en plus conséquent et à l’ambition de plus en plus démesurée. Du grand, du très grand cinéma
    TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM
    Claude DL
    Claude DL

    93 abonnés 1 691 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juillet 2022
    Ce film marque le vrai début de Sergio Leone dans la réalisation de « spaghetti westerns », avec la façon de filmer qu’on reverra dans le chef d’oeuvre « Il était une fois dans l’ouest » : gros plans sur des mines patibulaires bronzées et luisantes, flingueries mémorables…Par contre, ici, j’ai trouvé le scénario un poil léger, rien à voir avec la tragédie grecque de « Il était une fois dans l’ouest », et l’humour est un peu trop absent, celui qu’on appréciait dans « Le bon, la brute et le truand ». Les acteurs sont très bons, Lee Van Cleef en particulier en fumeur de pipe impassible. Quelques longueurs.
    Michael78420
    Michael78420

    46 abonnés 1 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 août 2022
    Sergio Leone, Ennio Morricone, Clint Eastwood : ces trois noms-là dans un western suffisent à accepter de regarder ce monument du cinéma italien. Oui, italien, pas américain, aussi étrange que cela puisse paraitre. Tourné en partie à Cinecittà et en partie en Espagne, les paysages ressemblent à ceux de l'ouest des États-Unis mais sont bien européens. Les chevauchées, les échanges de regards, juste ce qu'il faut de dialogues et cette musique qui colle à l'action, quelles merveilles ! Au niveau des répliques, bien que rares (le script doit tenir en vingt pages), j'ai adoré celle du Manchot infiltré chez ceux qu'il s'apprête à berner : "Moi chaque fois que je dois me battre, je me couche de bonne heure." Simple, efficace, sans chichis. Un must !
    Starwealther
    Starwealther

    78 abonnés 1 231 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 mai 2021
    Sergio Leone pour son deuxième opus de la trilogie du dollar maîtrise son sujet de bout en bout. Pas un seul moment d'ennui à subir pendant les deux heures de film. Que du fun, du plaisir, du purement jouissif. Beaucoup de scènes sont très comiques notamment l'affrontement entre Clint Eastwood et Lee Van Cleef pour une partie de tir sur chapeaux ou encore ces deux mêmes hommes qui se regardent à la longue vue et aux jumelles depuis une chambre de 2 hôtels l'un en face de l'autre. Les deux acteurs ont une classe dingue. Clint Eastwood avec son cigare mordu entre les molaires et Lee Van Cleef avec sa pipe sont très charismatiques. Franchement, il n'y a pas à tortiller, "Et pour quelques dollars de plus" est un chef d'oeuvre du western spaghetti, oeuvre presque parfaite sublimée par la musique enchanteresse du maestro Ennio Moriconne
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 mai 2018
    Fort du succès inattendu de "Pour une poignée de dollars", Sergio Leone donne une suite à son premier western pour compléter ce qui deviendra la fameuse trilogie des dollars. S'il est désormais célèbre en Italie, il n'a pas recueilli grand chose des recettes financières engendrées par le film en raison du procès en plagiat intenté par Akira Kurosawa (le film était largement inspiré de "Yojimbo") et de l'attitude qui en découla de la Jolly Production refusant de verser au réalisateur son salaire et son pourcentage sur les bénéfices. En quête de revanche et désormais son propre producteur, il demande à Luciano Vincenzoni, scénariste de "La Grande Guerre" de Mario Monicelli (1959) et de "Signore & Signori" de Pietro Germi (1965) de lui concocter une histoire autour des chasseurs de primes qui ont contribué comme les indiens et les outlaws à forger la légende de l'Ouest. Clint Eastwood dénommé cette fois le manchot est un mercenaire froid et cynique qui s'associera à un colonel en retraite (Lee Van Cleef) devenu lui aussi chasseur de primes pour mettre fin aux agissements d'Indio (Gian Maria Volonté), un bandit sanguinaire et de sa bande. Sergio Leone qui aime prendre son temps pour déployer ses effets, présente durant un long prologue les trois protagonistes. Le budget cette fois-ci plus confortable quoiqu'encore relativement modeste permet à Leone de se rapprocher encore davantage du réalisme qu'il juge indispensable pour asseoir sa crédibilité et ne pas donner prise à ceux qui déjà critiquent la boursouflure et le redondance d'une mise en scène qui par la stylisation qu'elle en fait, érige la violence en principe. On comprendra un peu plus tard que le réalisateur voulait tout simplement sortir de l'image simpliste et tronquée de la conquête de l'Ouest véhiculée par les westerns hollywoodiens jusqu'au mitan des années 1950. Chacun des trois protagonistes désormais parfaitement typé et facilement identifiable par son propre thème musical, Leone peut s'en donner à cœur joie dans sa recherche esthétique aujourd'hui largement reprise y compris dans d'autres genres que le western. Les scènes d'anthologie où le suspense et l'expression virile côtoient le ridicule pathétique se multiplient à l'envi pour surprendre un spectateur jusqu'alors plutot habitué aux canons traditionnels du western. L'expression "western spaghetti" peut donc prendre forme, plutôt moqueuse voire dédaigneuse en Europe et parfaitement respectueuse venant d'Outre Atlantique où l'on est plutôt ébahi devant tant d'audace et de vérisme. Leone déplorera officiellement que de nombreux réalisateurs de son pays aient repris ses effets jusqu'à la caricature. Il dira en parlant du western spaghetti : " On m'avait désigné comme le père du genre! Je n'avais eu que des enfants tarés. Aucun ne pouvait être légitime. De quoi être écœuré..." . Ce deuxième volet sans aucun doute le plus réussi laisse toutefois entrevoir un goût prononcé de Leone pour l'emphase que son tempérament pantagruélique a bien du mal à contenir. "Le bon, la brute et le truand" long de près de trois heures en apportera la confirmation. Remarquablement construit tant au niveau narratif à partir de la démarche opposée des deux mercenaires que du casting parfaitement complémentaire où Lee Van Cleef profite avec bonheur du retrait de dernière minute de Lee Marvin pour imposer son profil de rapace, "Et pour quelques dollars de plus..." constitue l'apothéose d'une démarche iconoclaste et novatrice que sans doute seul un cousin germain des Risi, Germi et Monicelli pouvait mener à bien. Le plat était succulent mais pouvait aussi s'avérer rapidement bourratif en cas d'abus. Quand on connait la propension irrépressible de l'industrie cinématographique transalpine pour rapidement essorer une recette miracle, on ne peut s'étonner de l'indigestion qui frappera le public seulement six ans plus tard . Prudent, Clint Eastwood aussitôt après "Le bon, la brute et le truand" aura compris qu'il lui fallait rentrer à Hollywood pour reprendre les leçons de celui qui l'avait tiré de l'ornière afin de les appliquer à une forme d'épure qui lui correspondait mieux.
    Shawn777
    Shawn777

    598 abonnés 3 488 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 août 2022
    J'avoue que je suis assez surpris par ce second opus de la trilogie du dollar, une nouvelle fois réalisé par Sergio Leone évidemment et sorti en 1965, car, malgré son excellente réputation, j'avoue que je ne suis pas fan des westerns. D'ailleurs, n'ayant pas vraiment apprécié le premier et le trouvant notamment très long, je redoutais ce deuxième volet qui dure plus de deux heures. Mais finalement, je dois avouer que, mis à part quelques temps morts, je n'ai pas vu passer ces deux heures ! J'ai en effet été tout de suite pris dans l'ambiance, contrairement au premier volet de la trilogie qui peinait beaucoup à avancer mais surtout à captiver son spectateur. Comme je l'ai dit plus haut, je ne suis pas fan de western mais je suis aussi complètement néophyte dans le genre, n'ayant vu que quelques films par-ci, par-là. Et pourtant, j'ai tout de suite reconnu les codes du genre qui surviennent dès le début du film, notamment avec le regard perçant du colonel et la peur qu'il inspire aux autres personnages. Puis il faut dire que ce personnage est très classe, c'est d'ailleurs mon préféré du film ! Mais bref, pour en revenir à l'intrigue, le film nous présente l'histoire de deux chasseurs de prime qui tentent d'infiltrer une bande de bandits. Afin de nous présenter les personnages, le film adopte un schéma très simple mais très efficace. Nous suivons tout d'abord le colonel qui tue un bandit recherché puis le fameux homme sans nom qui fait de même dans la séquence suivante. Les deux personnages se rencontrent ensuite dans une sorte d'affrontement dans lequel chacun peut montrer à l'autre ses compétences. C'est un schéma qui est donc très efficace car les personnages ont une manière différente de travailler, de procéder, de tirer etc. et ces deux séquences permettent ainsi au spectateur d'appréhender chaque personnage pour ensuite savourer leur rencontre dans une troisième séquence. Et c'est ensuite que démarre l'histoire principale avec l'infiltration etc. Et j'avoue que même si j'ai préféré ce film au premier, j'ai tout de même trouvé certaines scènes ou mêmes dialogues un peu longs. Néanmoins, j'avoue avoir passé un très bon moment devant les scènes de duel etc. dont la réalisation est d'ailleurs impeccable. Concernant les acteurs, nous retiendrons donc Clint Eastwood et Gian Maria Volonté qui jouent très bien mais surtout Lee Van Cleef qui perce réellement l'écran avec son charisme. "Et pour quelques dollars de plus" est donc un film que je ne regarderai pas toutes les semaines mais qui m'a tout de même fait passer un bon moment et dont je reconnais les qualités évidentes, même si ce n'est pas mon genre de prédilection.
    tisma
    tisma

    298 abonnés 2 016 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 août 2022
    Sergio Leone nous sort un second opus incroyablement bien réalisé ! On ressent la détermination et la tension des personnages ! C'est fort et percutant, on passe un très bon moment !
    Vrakar
    Vrakar

    42 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 février 2014
    Un cran en-dessous de "Il Etait Une Fois Dans l'Ouest" et de "Le Bon, La Brute et Le Truand", "Et Pour Quelques Dollars de Plus" est pourtant bien armé, rien qu'avec le duo impressionnant Eastwood-Van Cleef. Il manque juste le petit coup de folie supplémentaire, la petite touche de subtilité qui fait la différence et un chef des bandits plus charismatique. Toutefois, les scènes d'anthologie sont nombreuses, en particulier la rencontre entre les 2 chasseurs de primes; et la B.O de Morricone est réussie. Un grand classique des 'western à la Sergio Leone'.
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