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    La Folie des grandeurs
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    347 critiques spectateurs

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    AV ciné
    AV ciné

    106 abonnés 630 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mai 2020
    Une comédie culte plutôt pas mal.
    L'histoire est satisfaisante et les talentueux Louis de Funès et Yves Montand sont convaincants, leur duo fonctionne bien.
    Alice Sapritch et Karin Schubert sont convenables et tous les autres acteurs sont corrects.
    Les décors sont appréciables et le palais est agréable et surtout très classe, le contexte historique est bien reproduit.
    Les costumes sont beaux et les objets et équipements de l'époque sont satisfaisants.
    L'ambiance est pas désagréable même si un peu ennuyante au bout d'un moment mais la bande originale est bien composée.
    Les gags et les répliques sont amusants dont certains sont devenus célèbres et les scènes cocasses sont bien pensées.
    Un film donc pas mauvais avec 2 grands acteurs très bon dans leur rôle où les péripéties rigolotes s'enchaînent.
    Fabien S.
    Fabien S.

    546 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mai 2020
    Un très bon film de Gérard Oury. Une très bonne comédie culte hilarante avec Louis de Funès et Yves Montand.
    Guitch
    Guitch

    68 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 avril 2020
    Très bon film avec un grand Louis de Funès qui joue encore une fois très bien. Film très comique, qui est de plus historique. Le scénario est intéressant et très original ce qui change à l'époque. Réalisation totalement réussie avec des situations hilarantes, des fous rires tout le long du film.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 24 avril 2020
    Un chef-d’œuvre. Intemporelle. Premonitoire . Exellente production
    . Les dialogues hilarants. 2020 les rois sont toujours la avec la même manière de faire fonctionner un système. Du très lourd. A voir d’urgence.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 149 abonnés 5 133 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 avril 2020
    C'est souvent assez foutraque et grand guignol et les seconds rôles sont plutôt moyens.
    Mais il y a cette folie au service d'une histoire totalement revisitée et très dynamique, le contexte historique excellent pour les décors et un duo comique assez réjouissant
    Michael
    Michael

    20 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 avril 2020
    Un classique de la comédie qui ne vieillit pas. Cette parodie du Ruy Blas de Victor Hugo a les répliques font mouche et sont toujours d actualité. Les acteurs s en donnent à cœur joie et le duo Montant De Funes fonctionne.
    Même si le duo fonctionne on peut quand même regretter que le film n à été tourné comme prévu avec Bourvil (décédé avant le tournage à la place de Montant) car ce nouveau reste malgré tout un cran en dessous du duo De funes Bourvil
    damien88170
    damien88170

    5 abonnés 261 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 avril 2020
    La folie des grandeurs ne prends pas une ride malgré déjà ces 50 ans d existence ! Des répliques qui sont toujours d'actualités! Des décors et des coutumes magnifiques ! Un Louis de Funès au mieux de sa forme ! Ça fait du bien ce genre de film! A voir et à revoir
    JM D.
    JM D.

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 avril 2020
    Inusable !
    Des dialogues qui font mouche !
    Des répliques si actuelles...
    On ne se lasse de cette adaptation libre du Ruy Blas de Victor Hugo.
    Arsenik67
    Arsenik67

    21 abonnés 798 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 mars 2022
    Un grand classique! Quelques lourdeurs mais surtout beaucoup de scènes cultes et une super paire De Funès / Montand.
    karpathakis y
    karpathakis y

    24 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 octobre 2019
    Majesté, "Elle ment, elle ment en allemand, thass hiss ay kolo sale konspirasione" "qu'est-ce que je vais devenir ? Je suis ministre, je ne sais rien faire !". La folie des grandeurs n'est pas le plus grand succès du box-office pour Gérard Oury, mais c'est un de mes preferé (avec Le Corniaud), il est truffé de repliques cultes. De Funes est si dynamique et Montand merveilleux... Il fallait que je note au moins un film de ce grand réalisateur. Remercions donc ce grand messieurs qu'était Oury, avec une note maximalle !!
    Max Rss
    Max Rss

    198 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 avril 2019
    Elle partait bien cette "Folie des grandeurs". Elle partait même très bien. Pendant un peu plus d'une demi heure, c'est vraiment le pied. Les gags s'enchaînent, aucun n'est forcé. Donc ça fait mouche à chaque fois. On a le droit à une plâtrée de répliques cultes (les très pauvres et les très riches, le bain ou le réveil de Salluste) et ça file à vive allure. Et le duo de Funès/Montand tourne à plein régime. Mais, il y a un gros problème. Oury était alors en surrégime La sanction tombe rapidement : le soufflet retombe... pour ne jamais se relever. Aussitôt que Don Salluste est démis des ses fonctions ministérielles, c'est fini. On tombe alors dans un espèce de coma cinématographique. Oury n'a plus rien à nous proposer. La fin est plus que poussive et ce n'est malheureusement pas le célèbre strip-tease d'Alice Sapritch qui vient la secouer. Et le rythme devient mollasson. Et que c'est médiocrement joué. Yves Montand, que l'on avait vu cabotin mais très enjoué dans "Le grand escogriffe" ou "Le diable par la queue" est ici très loin de son rendement habituel. Les seconds rôles sont insignifiants. A l'image des deux fantômes jouant le Roi et la Reine. Reste donc Louis de Funès qui se plie en quatre et qui empêche le film de virer à la catastrophe. Ça ne vaut pas, ou plus grand chose.
    samuel h
    samuel h

    3 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 novembre 2018
    Film lourd...
    Les exigences financières ont contraint la production à choisir des acteurs de différentes nationalités (allemand, espagnol, italien...). Conséquence : on sent que Louis de Funès ne dispose pas de son "entourage" habituel (à part Paul Preboist, Robert Le Béal, et Venantino Venantino) et que sa générosité de jeu n'est pas prolongée par ses partenaires.
    Il reste donc de ce film quelques moments de dialogue bien trouvés, mais tout cela je l'aurais apprécié tout autant (voire plus) sous forme écrite dans un livre, ou dans un très bon sketch de 10 minutes sur la précarité du pouvoir en place.
    Mafoipourquoipas
    Mafoipourquoipas

    12 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 octobre 2018
    2 étoiles - La folie des grandeurs

    Certes, il y a quelques bons moments dans ce film (notamment au début) ; mais il y a aussi (et surtout) un scénario qui est très mal ficelé ; et les simagrées gesticulantes de Louis de Funès sonnent bien creux dans cette platitude ambiante. Bref, film qui peut plaisamment distraire lors d'un temps de repassage.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 13 septembre 2018
    Il a beau avoir été diffusé à de nombreuses reprises à la télévision, je n’avais jamais vu « La folie des grandeurs ». De ce film, je ne connaissais que les quelques scènes cultes (« Il est l’or mon segnor… », « Les riches, c’est fait pour être très riche… »…) et puis c’est tout. Je ne connais même pas l’oeuvre de Victor Hugo, « Ruy Blas », dont ce long métrage s’inspire. J’ai donc profité d’un de ses passages à la télévision pour enfin le voir. J’ai bien aimé. Le scénario possède quelques longueurs, il y a toujours le côté burlesque que l’on retrouve dans les films avec De Funès mais dans l’ensemble, c’est un spectacle que j’ai trouvé très amusant et qui m’a fait passer un bon moment. Louis De Funès (Don Salluste) s’amuse dans ce registre où il excelle et où on aime le retrouver. Il incarne toujours le méchant que l’on adore aimer mais tire moins la couverture à lui je trouve cette fois-ci malgré sa forte présence. Il faut dire qu’en face, il y a un Yves Montand (Blaze) très charismatique. Fort heureusement d’ailleurs car le surjeu de ce dernier aurait pu tout gâcher même si là, cela amplifie le côté théâtral du film. Quand à Gérard Oury, il réalise une bonne performance. Il exploite avec beaucoup de réussite ses différents décors tout en nous faisant voyager dans une Espagne qui par moment prends des faux airs de westerns. Dommage que le rythme ne soit pas toujours au rendez-vous avec des creux même au niveau de l’humour. « La folie des grandeurs » a l’ambition de son titre mais malgré les moyens mis en oeuvre, il y a quand même un peu trop de maladresses pour en faire une de mes œuvres préférées. Cela reste néanmoins un classique que je pourrais revoir avec plaisir et dont certains passages continueront de me faire de l’effet.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    133 abonnés 1 625 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 septembre 2018
    Oury, le champion du film comique alliant burlesque et dialogues finement ciselés et sur mesure pour des comédiens qu’il connait à merveille, fait toujours recette auprès de la jeune génération. La mort de Bourvil, pressenti pour reformer le duo magique des films précédents avec De Funes, change les plans du réalisateur et de sa dialoguiste de fille. Avec l’arrivée de Montant, il faut réécrire le rôle ; et en fait, le malheur du décès de Bourvil se transforme en vent de fraicheur. Montant évite un 3ème film qui aurait pu avoir un goût de déjà-vu.
    Ophélie Weil écrit à propos de ce film : « Y avait-il des critiques sérieux pour défendre La Folie des grandeurs lors de sa sortie en 1971? Voyait-on dans cette comédie glorifiant l’humoriste numéro 1 en France, Louis de Funès, le symbole de la mort du cinéma, comme les critiques se lamentent aujourd’hui devant le cinéma français dit «populaire»? Gérard Oury n’a jamais eu très bonne presse, en son temps et après sa mort, à raison sans doute. Et pourtant rares sont les cinéastes qui surent comme lui ériger son œuvre au rang de mythe, dépassant l’effet de génération: de 7 à 77 ans, tout le monde aimait, aime et aimera La Grande Vadrouille, Les Aventures de Rabbi Jacob ou La Folie des grandeurs. Petite leçon de savoir-faire à destination des Thomas Langmann et consorts par le «cinéma de papa».
    Envolées de violons et grattements d’une guitare ennio-morriconesque: la musique du générique de La Folie des grandeurs, composition géniale de Michel Polnareff, donne le ton à la parodie : alors que le western spaghetti fait des siennes de l’autre côté des Alpes et même outre-Atlantique et engendre déjà nombre de copies, Gérard Oury se fend, lui, de son western choucroute. Le décor choisi, une Espagne de l’âge de pacotille – où l’on parle français, espagnol, allemand au choix – permet de donner à plein dans la comédie d’aventures, qui connaît alors de riches heures en France (on pense notamment aux films de De Broca ou de Rappeneau). Il y a des vilains très vilains, des gentils amoureux très gentils, des précieuses ridicules et même des justiciers basanés aux airs de Zorro.
    L’Espagne de Gérard Oury ressemble à un tableau de Goya revu et corrigé par Andy Warhol. Les clichés détournés s’accumulent − les montagnes d’or de ce pays supposément richissime, les terrifiantes robes des dames de la Cour impossibles à manœuvrer dans l’encadrement d’une porte, les Grands du royaume − véritablement grands − portant des collerettes à empêcher de tourner la tête, les sérénades au balcon, le flamenco, les corridas: rien ne manque à l’appel… C’est l’Espagne d’Épinal, enrichie de foisonnantes références à la littérature française : Alexandre Dumas, évidemment (grâce au très clairvoyant «un pour tous, chacun pour soi»), mais surtout Victor Hugo, remercié au générique, quoique «toute ressemblance avec les personnages d’un célèbre drame ne serait que fâcheuse coïncidence». La Folie des grandeurs, bien sûr, c’est Ruy Blas version comique, l’histoire d’un «ver de terre amoureux d’une étoile», d’un valet qui convoite sa reine, aidé en cela par les machinations d’un noble machiavélique. Qu’il était bon le temps où le terme «populaire» n’avait pas encore été détaché de la littérature classique !
    La première grandeur de cette folie réside dans des dialogues d’une incommensurable saveur, époque bénie où Danièle Thompson, fille de son père Oury, n’avait pas encore des velléités de réalisatrice. Nombre de répliques, en sus de leur drôlerie, convoient un véritable message: dans Les Aventures de Rabbi Jacob, la famille Oury décapitait l’antisémitisme à coups de dialogues bien sentis ; dans La Folie des grandeurs, c’est au tour des riches oisifs de payer leur tribut. Dans l’un comme l’autre film, de Funès endosse avec un plaisir masochiste le costume du pur salaud : il faut le voir dire, avec l’aplomb de celui qui entend avoir raison, que «les pauvres, c’est fait pour être très pauvres, et les riches, très riches» ! Voici bien la vraie trouvaille des films d’Oury : faire du méchant le véritable héros, celui qu’on aime détester, en utilisant le génie comique de de Funès, pile hystérique en roue libre aux inventions de jeu extraordinaires : onomatopées incompréhensibles, diction théâtrale (le célébrissime «Elle ment en allemand» ou le «Das ist eine kolossale Konspirazione»), visage de fouine et pas de conspirateur. Il fallait bien un monsieur Louis pour parvenir au sommet de la gloire avec un physique aussi peu avantageux et des personnages profondément détestables. Le principe du duo mal assorti manipulateur/manipulé – que Francis Veber est bien loin d’avoir inventé – fonctionne d’autant mieux ici qu’il n’est pas une pâle copie du célèbre couple de Funès/Bourvil : avec son charme latino, Yves Montand apporte à son personnage la crédibilité du héros vengeur, celui qui se défoulera en lieu et place du spectateur sur le vilain de l’histoire.
    On doit la seconde grandeur de cette folie, et pas des moindres, à l’intelligence cinématographique de Gérard Oury (si, si). Le film ne peut en aucun cas, comme nombre de comédies contemporaines type Bienvenue chez les Ch’tis, être résumé à un concentré de bons sketchs. Le comique ne réside pas seulement dans la saveur des répliques ou la maestria des interprètes. Le décor comme l’espace et les «effets spéciaux» sont toujours utilisés à bon escient au sein d’une rythmique infernale : voir ainsi la transformation du chapeau imbibé d’eau de Don Salluste en couvre-chef napoléonien (la symbolique n’est pas innocente), ou la séquence très réussie du «balai» qui permet au valet de jouer de son patron comme d’une marionnette par plafond interposé. Certes, La Folie des grandeurs n’a pas vieilli d’une ride, et le strip-tease d’Alice Sapritch séduira encore les générations à venir. Mais en presque quarante ans, le film a fait plus encore, en gagnant ses lettres de noblesse auprès des cinéphiles : un pari que Gérard Oury n’aurait sans doute jamais osé relever. »
    tout-un-cinema.blogspot.com
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