Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cplanet.com
par Laurence Vielle
(...) pour un second long métrage, le réalisateur italien s'en sort bien. Il réussit même le pari de composer un film où, en version originale, se mêlent l'italien, le roumain, le bulgare, le français et… le serbo-croate !
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
C'était un étrange pari de faire un film sur des sosies tant le sujet paraît d'emblée ennuyeux par l'épaisseur du toc qu'il trimbale. Mais ici, ce toc là vaut de l'or, il cache toute la misère du monde et toutes les difficultés de vivre.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Ciné Live
par Iris Mazzacurati
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Arnaud Malherbe
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaro Magazine
par C;F.
Les campagnes yougoslaves sont désertes et froides, mais l'humanité et l'intensité des personnages leur insufflent une vague de chaleur et d'espérance. Espoir à l'Est.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Les Inrockuptibles
par Oliver Père
Malgré quelques effets visuels de trop, on garde longtemps le souvenir d'un film intense et rageur qui doit beaucoup à la beauté de ses deux interprètes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Repérages
par Sandrine Fillipetti
Bien sûr, certaines maladresses mériteraient d'être revues et corrigées. Reste que le film d'Armando Manni s'élève nettement au-dessus de la moyenne et réussit la performance de maintenir un intérêt intact du début jusqu'à sa toute fin.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Aden
par Philippe Piazzo
(...) une valse de pantins qui sert une rhétorique grossière (...), et ne fait de la poésie qu'un atour dérisoire.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Dommage que Manni (photographe d'origine) s'embarrasse de clichés qui l'empêchent de restituer avec force cette histoire d'exilés.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
Ce qui est si désagréable dans le film, ce n'est pas seulement sa paresse, son absence d'invention, sa manière lâche de suivre ses personnages (...), c'est surtout sa complaisance indécente sur les choses et les êtres filmés.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Malgré le titre, rien de glamour dans ce film sombre où la peinture des pays de l'Est baigne dans le fatalisme. Parfois un peu trop : ce mélo plombé finit par tomber dans le réalisme poétique le plus artificiel. La vraie vie est ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le film d´Armando Manni n´évite aucun cliché de ces Infortunes de la vertu contemporaines et outrageusement attendues.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Philippe Rouyer
Armando Manni s'échine à rappeler qu'il a été un photographe en vogue. Mais on se lasse très vite des plans esthétisants et récurrents de sa Maryline en robe rouge sur une plage fantasmatique.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Christophe Narbonne
Manni, dont la modeste ambition est de créer «un cinéma sans frontières, capable d'insuffler une nouvelle vie au cinéma italien», est loin du compte. Passeurs de rêves, du Kurde Hiner Saleem, en était par exemple plus proche.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Aurélien Férenczi
La haine ne connaît pas de frontières ? La putasserie cinématographique non plus.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par J-Ph.Tessé
Rien n'échappe au regard misérabiliste du réalisateur, qui fait du malheur qu'il décrit son fond de commerce, n'étant jamais à une image sordide près.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Cplanet.com
(...) pour un second long métrage, le réalisateur italien s'en sort bien. Il réussit même le pari de composer un film où, en version originale, se mêlent l'italien, le roumain, le bulgare, le français et… le serbo-croate !
Fluctuat.net
C'était un étrange pari de faire un film sur des sosies tant le sujet paraît d'emblée ennuyeux par l'épaisseur du toc qu'il trimbale. Mais ici, ce toc là vaut de l'or, il cache toute la misère du monde et toutes les difficultés de vivre.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro Magazine
Les campagnes yougoslaves sont désertes et froides, mais l'humanité et l'intensité des personnages leur insufflent une vague de chaleur et d'espérance. Espoir à l'Est.
Les Inrockuptibles
Malgré quelques effets visuels de trop, on garde longtemps le souvenir d'un film intense et rageur qui doit beaucoup à la beauté de ses deux interprètes.
Repérages
Bien sûr, certaines maladresses mériteraient d'être revues et corrigées. Reste que le film d'Armando Manni s'élève nettement au-dessus de la moyenne et réussit la performance de maintenir un intérêt intact du début jusqu'à sa toute fin.
Aden
(...) une valse de pantins qui sert une rhétorique grossière (...), et ne fait de la poésie qu'un atour dérisoire.
Cahiers du Cinéma
Dommage que Manni (photographe d'origine) s'embarrasse de clichés qui l'empêchent de restituer avec force cette histoire d'exilés.
Chronic'art.com
Ce qui est si désagréable dans le film, ce n'est pas seulement sa paresse, son absence d'invention, sa manière lâche de suivre ses personnages (...), c'est surtout sa complaisance indécente sur les choses et les êtres filmés.
L'Humanité
Malgré le titre, rien de glamour dans ce film sombre où la peinture des pays de l'Est baigne dans le fatalisme. Parfois un peu trop : ce mélo plombé finit par tomber dans le réalisme poétique le plus artificiel. La vraie vie est ailleurs.
Le Monde
Le film d´Armando Manni n´évite aucun cliché de ces Infortunes de la vertu contemporaines et outrageusement attendues.
Positif
Armando Manni s'échine à rappeler qu'il a été un photographe en vogue. Mais on se lasse très vite des plans esthétisants et récurrents de sa Maryline en robe rouge sur une plage fantasmatique.
Première
Manni, dont la modeste ambition est de créer «un cinéma sans frontières, capable d'insuffler une nouvelle vie au cinéma italien», est loin du compte. Passeurs de rêves, du Kurde Hiner Saleem, en était par exemple plus proche.
Télérama
La haine ne connaît pas de frontières ? La putasserie cinématographique non plus.
Urbuz
Rien n'échappe au regard misérabiliste du réalisateur, qui fait du malheur qu'il décrit son fond de commerce, n'étant jamais à une image sordide près.