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NeoLain
4 971 abonnés
4 741 critiques
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0,5
Publiée le 21 septembre 2012
Un court métrage de Chris Wedge (L'Age de glace), un des pires que j'ai pu voir. Aucune folie, des gros plans hideux, couleur peu lumineuse et repoussante (sensation de poser mes yeux sur une tapisserie marron). Puis alors attention, il à reçu reçu l'oscar du meilleur court métrage 1998, ça laisse réfléchir quand même...
Premier film d'animation des (désormais célèbres) studios d'animation Blue Sky, à qui l'on doit depuis des films tels que L'Âge de glace 1, 2 & 3 (2002/2006/2009) et plus récemment Rio (2011). A la réalisation, on retrouve Chris Wedge, réalisateur du premier volet de la saga préhistorique et accessoirement, co-fondateur des studios d'animation Blue Sky en 1987. Bunny (1998) est un court-métrage de 7 minutes, sans aucun dialogue et à travers lequel on découvre un vieux lapin dans sa cuisine en train de faire un gâteau à la carotte. Étant le premier film du studio, la qualité esthétique de l'animation est encore loin d'être au point, mais son petit côté poétique nous retient en haleine jusqu'au dénouement final. Pour la petite anecdote, le film s'est vu décerner l'Oscar du Meilleur court-métrage en 1999 (une récompense non justifiée).
Bunny est un court-métrage qui a remporté un Oscar en 1998. Il est réalisé par le studio Blue Sky, qui nous a offert (ou plutôt vendu) la saga de l’Age de Glace. Si vous vous attendez à retrouver l’humour des films avec Scrat, vous faites mieux de ne pas voir ce court-métrage. En effet, Bunny a été réalisé avant l’Age de Glace, et ça n’a rien à voir avec l’univers décalé de l’ère glacière. Je ne conseillerais pas ce court aux enfants, car ils s’ennuieront du début à la fin. En effet, l’histoire est plutôt sombre et triste. D’ailleurs, rien que les couleurs laissent présager une ambiance morbide. Bunny est un drame d’animation, à des années-lumières de ce que Blue Sky fera dans le futur.
Très jolie réalisation de Chris Wedge. Ce format court fantastique nous délivre de superbes animations, de l'humour et beaucoup de poésie. À juste titre, Il a reçu le 1er prix de l'Academy Awards en 1999. Le pitch : Une lapine très âgée fait de la pâtisserie lorsqu'une guêpe vient semer le trouble dans sa cuisine.
Mouais, ce n'est pas top mais assez court pour rester intéressant. Pas drôle mais joli on va dire, je vous conseille de le visionner avec les commentaires de Chris Wedge, ça reste toujours sympa à voir. C'est vrai qu'un oscar était un démesuré, mais bon pourquoi pas, la technique est correct. La fin pompeuse, c'est bon on a compris que c'est son mari, pas la peine d'en faire des tonnes. Mais je vais être gentil car ça ne souffre pas de grand défauts.
Ce court métrage n'a, il faut bien l'avouer, rien d’exceptionnel. L'animation en 3D y est encore à ses balbutiements, et si elle était sûrement magnifique à l'époque, elle a aujourd'hui bien mal vieilli. L'histoire n'est pas non plus extraordinaire, car ni original ni drôle (c'est à peine si l'on sourit). Le personnage du lapin n'est pas des plus attachants et l’absence de musique pendant la première moitié du court-métrage est assez pesante. Malgré tout, la fin est très poétique et pleine de tendresse, la réalisation est soignée et le jeu de lumières, très beau "pour l'époque", apporte un aspect agréable. Il a en plus permis aux studios Blue Sky de se lancer, ce qui n'est pas rien. Ce court-métrage a donc sûrement gagné son Oscar en 1998 par l'originalité de son animation, mais, sans être exempt de défauts, il se laisse aujourd'hui regarder avec plaisir et curiosité.
Magnifique petit bijou de poésie et de philosophie. Réflexion sur la vieillesse, sur la solitude lorsque l'être cher est parti, sur la mort. C'est fait avec beaucoup de pudeur, sans humour tapageur juste avec sensibilité. Vu pour la première fois il y a plus de 15 ans, cette fable douce amère réémerge toujours dans mon esprit lorsque je suis touché par le décès d'un être cher. Et besoin de retourner la voir pour m'aider à faire mon deuil.