Le but du film aurait été de trouver le problème .. ? ce film est nul. On s’ennuit très rapidement, des propos pseudo-gauchos, encore une vision négative des forces de l’ordre, tout ca pour finir sur des pétards et du psychédélique, la fin on l’attend même pas car il n’y a rien a attendre ! Aucune psychologie intéressante, des personnages creux, aucune scène marrante et des supers clichés. Romain Duris et Vincent Elbaz assurent une prestation particulièrement moyenne de deux parfaits débiles. A voir si vous voulez perdre 1h40 de votre vie inutilement. 1 étoile car seuls les films irregardables ont 0.5… D’ailleurs un élève de terminale qui connait pas la lutte des classes ca me semble ‘très impossible’, vu de nos jours l’engouement démesuré des profs pour venter les mérites de ce cher MARX, en 1975 ca devait être pire.
C'est réussi, excellent divertissement. Les acteurs sont bons et assez naturels (bon évidemment Duris en fait des tonnes comme d'hab, on lui pardonnera), pour les dialogues on évite à la fois les dialogues lénifiants et la pauvreté crasse, les deux pendants du genre. Oui évident le film n'est peut être pas d'une profondeur exceptionnel et alors! Il n'en distille pas moins des vérités qui en valent beaucoup d'autres.
Un film un peu brouillon et plutôt lent et sans véritable "puissance" des personnages. Néanmoins on commence déjà à sentir les ébauches que Klapisch met en place avec Duris, ce qui en fait un film intéressant à voir.
Superbe film dans lequel on arrive très facilement à se reconnaitre (quelque soit le personnage) et joué avec une subtilité désarmante de vérité. Il faut voir dans ce film le début de nombre d'acteurs plus que prometteurs. Joli casting!
Un film sur la jeunesse ou plutôt un groupe de jeunes, des potes. C'est drôle bien sûr, touchant, universel mais aussi emprunt de mélancolie et de tristesse profonde. Un film qui a bien, très bien vieilli et qui vieillira bien. Les acteurs sont justes. Et la bande-son excellente.
Un film intéressant sur la génération post-soixante-huitarde. Un scénario plutôt simple fait de retour en arrières mais avec des thèmes captivants et des acteurs (qui certes, sont très inégaux dans leurs jeux) qui permettent de valoriser les personnages. Excellente BO.
Le film qui a marqué une génération (la mienne) en parlant de la génération d'avant. Devenu culte. Quelques moments d'anthologie (les deux élèves arrivés en retard à leur cours de maths assuré par un hippie voient les autres élèves allongés en train de faire de la relaxation : "ah, on a contrôle aujourd'hui"). Et puis, Romain Duris et Vincent Elbaz... Le meilleur Klapisch à mon goût.
Si les années relatés par Klapisch semble un peu dépasser, elle n'en reste pour le moins plutôt passionnante et agréable. En effet, Klapish à sans doute voulu démontrer qu'à travers le temp qui passe, "Le Péril jeune" reste le même malgré les générations, la mode et les expressions qui l'accompagnent. Les risques et les préoccupations qui sont la drogue, l'alcool et le sexe ne changent pas. Les bons moments, les hontes et les inquiétudes que cette jeunesse éprouve sont évoqués avec précision et justesse en mêlant humour potache, réflexion et étude profonde des sentiments et comportements quelque peu spéciale de ces ados. Klapisch, instaure en parallélle une prise de conscience à ses personnages en les regroupant lors de l'âge adulte, ou ces derniers se remémorent avec émotion et recul, les souvenirs qu'il soit bon ou mauvais de leurs "années lycées". Entouré par un casting talentueux, où Romains Duris se distinguait dors et déja, l'oeuvre reste un bel exemple dans le genre par son ambiance et sa parfaite reconstitution des années 70s. Habile et sans clichés.
Il s'agit ici d'un film générationnel qui marque dès son premier visionnage. On retrouve tout le talent de Klapish pour montrer cette jeunesse, cette ville de Paris, l'amitié, l'amour et déjà une certaine poésie qui sera plus tard bien plus présente dans son œuvre. La reconstitution de l'époque des années 1970, avec sa jeunesse et ses revendications est très intéressante à voir et n'est pas dénuée de finesse. Ce film a déjà 20 ans et son action se déroule encore 20 ans auparavant et il y a pourtant certaines revendications de ces jeunes qui sont encore et toujours d'actualité. Toutefois, même si le réalisateur semble transmettre un message, le nihilisme des personnages et plus particulièrement du héros, Tomasi interprété par Romain Duris, montre que l'essentiel est ailleurs. Il ne s'agit pas du bac, pas de la révolution mais tout simplement d'être là pour ses amis. Ainsi, ce personnage évolue comme une ombre et son absence permet aux autres protagonistes d'arriver à maturité. Le péril jeune est un film sur la jeunesse, une jeunesse qui peut se montrer puérile, immature, commettre des erreurs mais elle conserve toutefois une certaine pureté, de part l'importance des liens qui existent en son sein.
Voir le périple jeune,c'est plongez immédiatement dans l'ambiance des années 70. Une BO remarquable et un Romain Duris à son plus haut niveau font du périple jeune un divertissement çà ne pas rater!
Un romain Duris en pleine forme, pour un personnage allumé, mais attachant à la fois. Des scènes psychédéliques, dans un monde froid que ces ados voudraient plus humain, plus à leur image.
Le retour à la réalité est brutale avec à chaque fois un retour dans la salle d'attente où ils attendent la naissance du petit, tout en se remémorant ces actes manqués ou ces actes qu'ils auraient voulu manquer.
Nostalgie, mais en même plein d'espoir de 5 jeunes dans le vent qui se cherchent, et se retrouveront qlqs années plus tard.
Humour, drame, remord, regret, joie : tout y est. Une histoire aussi bien année 70 que 90, qui nous plonge aussi dans notre époque : l'adolescence comme un éternel recommencement, puisque les ados d'hier seront les parents de demain.
Un film qui sent bon les 70's. Et aussi les 90's, d'une certaine façon. Klapisch a un réel don pour filmer la jeunesse et ce premier essai est un coup de maître qui a lancé la carrière de pas mal d'acteurs, dont Romain Duris.