Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
L'Express
par Thierry Gandillot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jean-François Rauger
Courses-poursuites, quiproquos, flash-backs parodiques et scènes sentimentales constituent la trame d'un récit qui culmine dans un final trop long et curieusement sanglant.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
Les amateurs d'Abdoujaparov et du Liège-Bastogne-Liège pourront toujours lever une paupière lors du sprint final. (...) Postman Blues, c'est plutôt zéro pointé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Sauf à tenir, par principe, toutes les vessies japonaises pour des lanternes nécessairement éblouissantes, on est bien obligé d'annoncer à la population que Postman blues ne vaut pas lourd.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par François Gorin
(...) chaque blanc du scénario est masqué par des "coups de caméra" superflus. On s'ennuie à voir Sabu s'emmêler les pinceaux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Courses-poursuites, quiproquos, flash-backs parodiques et scènes sentimentales constituent la trame d'un récit qui culmine dans un final trop long et curieusement sanglant.
Les Inrockuptibles
Les amateurs d'Abdoujaparov et du Liège-Bastogne-Liège pourront toujours lever une paupière lors du sprint final. (...) Postman Blues, c'est plutôt zéro pointé.
Libération
Sauf à tenir, par principe, toutes les vessies japonaises pour des lanternes nécessairement éblouissantes, on est bien obligé d'annoncer à la population que Postman blues ne vaut pas lourd.
Télérama
(...) chaque blanc du scénario est masqué par des "coups de caméra" superflus. On s'ennuie à voir Sabu s'emmêler les pinceaux.