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VOSTTL
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2,5
Publiée le 21 septembre 2024
Vu il y a très longtemps et vu pour Tony Curtis… « Trapèze » discipline quadrilatère périlleuse et majeure du cirque ; « Triangle » à trois côtés amoureux ; et « Angles » différents pour voir ces acrobates acteurs Burt Lancaster (Mike) en tête, Tony Curtis (Tino) et Gina Lollobrigida (Lola) - même doublés - voltiger. Trois terminologies géométriques pour un film malheureusement très classique pour ne pas dire assez fade dans les rapports humains. J’aurais aimé que Mike aille au bout de sa machination pour écarter Lola, cela aurait donné plus de relief au récit. Au lieu de cela, Carol Reed le précipite dans une pathétique histoire d’amour à laquelle je n’ai pas du tout adhéré. Déjà, le fait que Rosa (Katy Jurado) spoiler: révèle à Mike que Lola est évidemment amoureuse de lui ne m’a pas du tout convaincu. Rien dans le film, me semble -t-il, permet de me le dire. Les mimiques faciales et répétées de Lola traduisaient ostensiblement la manipulation. Une mise en scène qui manquait de subtilité. Seules les prises de vues des acrobates perchés sur leurs trapèzes ou voltigeant d’un trapèze à l'autre valaient le coup d’oeil ; je rajouterai le rôle assez inhabituel de Gina Lollobrigida en peste arriviste intrigante. Maintenant, je ne connais pas toute sa filmographie...
C'est un film américain tourné en 1954 à Paris. Un film en couleur. On y voit un peu la vie parisienne à cette époque. Beaucoup de scènes sont tournées au cirque d'hiver. Il y a aussi deux grands acteurs américains et une grande actrice italienne. Un très bon film pour l'époque.
Eh bien, moi, j'ai adoré ce vieux film vu hier soir par hasard sur TCM ! l'histoire et passionnante et envoûtante, les scènes de voltige font battre votre coeur, les acteurs sont éblouissants de vérité, je me pose juste une question : Tony Curtis et Gina ont ils été obligés d'apprendre la voltige, ou est ce doublé ? dans le premier cas, comme dans le second, c'est vraiment sensationnel !
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1,0
Publiée le 16 juin 2021
Je ne suis même pas sûr d'avoir vraiment compris l'histoire de Trapèze. J'ai admiré les acrobaties qui étaient souvent très impressionnantes. Le conflit d'Orsini entre son amour pour Lollabrigida mais son désir d'être un grand trapéziste n'a jamais été vraiment développé et comme le personnage de Lollabrigida est si intrigant il est difficile de compatir à ses sentiments pour elle. Le désir de Lancaster d'avoir un acte pur une phrase qui est répétée à plusieurs reprises dans le film en opposition à la présence d'une femme qui semble étrange. Il y a des répliques qui venant d'autres acteurs dirigés différemment qui auraient pu suggérer une sorte d'attirance érotique de la part du personnage de Lancaster pour quelqu'un d'autre mais dans ce film il n'y a juste aucune allusion à cela non plus. Comme je l'ai dit j'ai apprécié les acrobaties mais l'histoire est trop étrange et les personnages m'ont laissé froid même si Lancaster est l'un de mes acteurs préférés...
L'HEROIQUE PARADE. Le trapèze ç'a apaise. La convexité de cette triangulaire amoureuse. Un cochon pendu et un saut carpé en vrille pour les beaux yeux de Gina. Un quadrilatère à 3 inconnus pour un meeting aérien léger(ement) décevant.
Si Burt Lancaster a sa doublure il effectue la grande majorité des séquences aériennes jusqu'au triple saut périlleux, le statut de la star ayant sans aucun doute permis ce risque. Le film reprend un canevas connu, toujours efficace comme dramaturgie, où le grain de sable a les charmes d'une femme sublime mais prête à tout pour parvenir à ses fins. Mais la vraie qualité du film réside avant tout dans le charme du Paris des années 50 quartier Cirque d'Hiver, puis également dans l'immersion fidèle au sein de cet univers avec la mise en avant du trapèze à une époque où il paraissait encore bien plus impressionnant. En prime des costumes et des décors fen adéquation avec des acteurs flamboyants. Le film est de toute beauté même s'il est doté aussi d'une certaine mélancolie. Site : Selenie
« Lola passe avant tout parce que je l’aime »… Alors Adieu le triplé car on ne peut avoir autre chose en tête pour réussir cet exploit. Le trio amoureux est un menace pour la réussite professionnelle et la distinction suprême. Un film intéressant sur les coulisses du cirque, sur le Paris des années 50 et également historiquement valable sur le cirque d’hiver, mais il faut attendre la fin pour être vraiment happé par la fausse rivalité, celle qui déclenche cette formidable dernière scène très tendue.
L’histoire d’un trio amoureux entre Gina Lollobrigida, Burt Lancaster et Tony Curtis, qui a la particularité d’en situer l’action dans le monde fermé du cirque. Un (tout) petit plus qui n’influence nullement un contenu des plus classiques et attendus.
Cela faisait des années que je voulais voir ce film mais sans jamais avoir eu et sans jamais m'être donné l'occasion de le voir, jusqu'à maintenant... Et franchement beaucoup d'attente pour vraiment vraiment pas grand-chose, en fait... Burt Lancaster, en ancien trapéziste qu'il était, était le porteur et le producteur passionné de ce film. S'il n'est pas douteux un seul instant que le monsieur était un très bon trapéziste, d'ailleurs il le prouve lui-même dans la scène finale, un excellent acteur, pas particulièrement là c'est sûr mais franchement dans "Le Guépard" il est immense, on peut par contre douter ici de ses capacités de producteur sur ce coup en n'ayant pas laissé le moindre champ libre à Carol Reed, pas une seule trace de sa personnalité dans la réalisation, et surtout en ayant un scénario aussi incroyablement fade... Pas la peine de chercher une once d'étincelant chez le pourtant prestigieux trio d'acteurs principaux, ils ont des personnages sans la moindre profondeur et la moindre cohérence psychologique, et donc impossible de faire du bon avec cela... Mention spéciale à Gina Lollobrigida, dont le personnage de manipulatrice était supposé attirer un peu la sympathie du spectateur est vraiment vraiment raté. Pour ce qui est des personnages secondaires, c'est carrément alerte-enlèvement. Et autrement, autant les scènes de numéros de cirque sont pas trop inintéressantes, mais bon j'ai vu mieux ailleurs, autant les scènes en coulisse c'est la prévisibilité et l'absence totale d'originalité qui règnent Ajoutons sur le plan de la mise en scène des trous dans le rythme, et on peut dire que c'est l'ennui plus que le triple qui marque ici les esprits.
Du beau monde au balcon qui virevolte dans tous les sens. Chassé-croisé amoureux comme au bon vieux temps de grand-papa, peut faire rêver, limite d'âge maximale 13 ans tout de même ....
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4,0
Publiée le 12 avril 2011
Passionnant de bout en bout, le "Trapèze" du britannique Carol Reed concentre le sujet classique d'un drame à trois sur le trio d'acrobates interprètès par trois excellents comèdiens: Gina Lollobrigida, le fougueux Tony Curtis et surtout Burt Lancaster, athlète accompli, ce dernier faisant bènèficier en outre le film de son expèrience du cirque! Un passage de pouvoir entre deux hommes, l'un plus âgè qui rivalise avec le plus jeune en lui apprenant les techniques du mètier! Dans ce mèlodrame brillant sur le cirque, Reed èvite avec une grande intelligence les clichès au profit d'èlèments rèalistes et crèant une rèelle èmotion, aussi bien dans les sèquences de voltige que dans les scènes intimistes! Une oeuvre lyrique et baroque dans sa mise en scène...
Irréprochable,superbe,flamboyant lors de sa sortie et pour les spectateurs de ma génération il le reste.Mais que dire aujourd'hui d'un tel scénario que risque de trouver débile le spectateur de moins de 25 ans majoritaire en 2008.J'aimerais aussi avoir l'avis de notre Lollobrigida et des descendants de la famille Bouglione (totalement éreintés )car ce film restera un monument sur le trapèze volant des années 50.La mise en scène est somptueuse avec des plans intelligents et indémodables tels le lustre qui se balance ou l'accord du voltigeur et du porteur partant sur les mains presque pieds dessus pieds dessous dans une rue de Paris.Notre cirque d'hiver tient une grande place et les deux magnifiques héros font honneur au public parisien.Les couleurs sont flamboyantes comme la musique et le petit hôtel de passe a du en faire rêver plus d'un ou plus d'une...Ce coté poétique derrière une très,très vielle actrice ,étoile du passé,qui rapporte la canne du héros est exactement la séquence insignifiante que chaque metteur en scène aimerait tourner une fois dans sa vie car elle ne peut s'oublier.