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5 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
« Chat noir, chat blanc » emporte le morceau à l’énergie, dans un flot de rires, de tendresse et de larmes qui balaie tous les scrupules. Les inrocks, 30 septembre 98
Libération
par Olivier Séguret
(…) il y a, dans « Chat noir, chat blanc », quelque chose de l’indiscutable génie, un bonheur cinématographique qui crève les yeux. Libération,30 septembre 98
Le Monde
par S. Bd.
« Chat noir, chat blanc, à l’opposé de toute tendance, est sans doute, à ce jour, la synthèse la plus achevée de l’utopie telle que Kusturica l’envisage. Le Monde, 1 octobre 98
Positif
par Philippe Rouyer
Kusturica, qui a su se débarasser de ses vieux démons en préservant à son cinéma tout son éclat, signe sans doute ici son premier film de la maturité. Positif 452, octobre 98
Télérama
par Vincent Rémy
Une farce optimise et truculente. Télérama, 30 septembre 98
Les Inrockuptibles
« Chat noir, chat blanc » emporte le morceau à l’énergie, dans un flot de rires, de tendresse et de larmes qui balaie tous les scrupules. Les inrocks, 30 septembre 98
Libération
(…) il y a, dans « Chat noir, chat blanc », quelque chose de l’indiscutable génie, un bonheur cinématographique qui crève les yeux. Libération,30 septembre 98
Le Monde
« Chat noir, chat blanc, à l’opposé de toute tendance, est sans doute, à ce jour, la synthèse la plus achevée de l’utopie telle que Kusturica l’envisage. Le Monde, 1 octobre 98
Positif
Kusturica, qui a su se débarasser de ses vieux démons en préservant à son cinéma tout son éclat, signe sans doute ici son premier film de la maturité. Positif 452, octobre 98
Télérama
Une farce optimise et truculente. Télérama, 30 septembre 98