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    L'Oiseau au plumage de cristal
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    77 critiques spectateurs

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    Davidhem
    Davidhem

    108 abonnés 336 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 août 2007
    L'oiseau au plumage de cristal, premier film de Dario Argento et premier thriller horrifique constitue une des réussites majeures de sa future flamboyante filmographie et mérite d'être considérée comme l'une des références du genre. En effet, pour son premier essai à l'âge de trente ans, Dario Argento qui venait de co-signer avec Bernardo Bertolucci et Sergio Leone le scénario de il était une fois dans l'ouest réalise un film passionnant et maîtrisé de bout en bout dans lequel on prend plaisir à plonger sans vouloir en sortir. Le film relate l'histoire d'un écrivain témoin d'un meurtre et qui va aider la police à découvrir le mystérieux assassin. Le scénario est remarquablement bien ficelé, L'ambiance est angoissante, active et redoutablement efficace, les plans et les scènes s'enchaînent à un rythme effréné et obligent le spectateur à se concentrer sur l'écran à chaque instant car pas une seule seconde n'est inutile. Argento montre tous les éléments qu'utilise la police, on voit différents appareils servant à déterminer la taille de l'assassin grâce à des indices laissés sur le lieu du crime, à enregistrer les voix sur le téléphone, à permettre de distinguer plusieurs voix. Argento organise son film de façon très minutieuse et complète de telle sorte à ce qu'il ne figure aucun trou dans cette intrigue riche en pistes et en rebondissements. L'indice final est inattendu et on se rend compte dès ce final la passion d'Argento pour les animaux et celle de placer son personnage principal en situation délicate. Les acteurs inconnus pour la plupart jouent bien leur rôle dans cette histoire sombre et macabre. Un Argento majeur!
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 078 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 avril 2020
    Premier long-métrage de la carrière de la référence du giallo, Dario Argento, L'Oiseau au plumage de cristal n'est pas sans faire penser à une version test d'un de ses prochains films, l'excellent et palpitant Ténèbres. Le personnage principal, lui aussi romancier, assistera à un crime sans pouvoir rien y faire (là où le tueur de Ténèbres s'inspirera des romans du héros pour assassiner ses victimes) : bloqué entre deux portes fenêtres, il n'aura d'autres choix que celui de regarder, impuissant, la femme implorer son aide dans le sang, la souffrance et le cadre épuré des musées d'art contemporain.

    La scène, précise, préfigure déjà les futures tics du réalisateur : son montage, témoin d'un voyeurisme sans bornes (qui trouve paradoxalement ses limites dans la suggestion particulière d'Argento; il unira dès ici, avec une habileté unique, la mort au hors-champ), repasse les scènes de meurtre en boucle : au début, au milieu, à la fin. A la manière d'un Hitchcock sadique qui déciderait de faire ressurgir, par fragments éclatés, le meurtre de Janet Leigh sous la douche. Vision d'horreur, n'est-ce pas?

    En faisant cela, Argento prouve déjà, en 1970, que l'effroi du spectateur est moins conditionné par l'ultraviolence et le sanguinolent que par la maîtrise juste et malicieuse des codes du septième art (et du film de genre en particulier) : que valent les démons invisibles, les monstres assoiffés de sang numérique face au visage effrayé d'un Tony Musante se remémorant par bribes survenues sans prévenir l'abominable détresse rampante à ses pieds, implorante sans qu'il ne puisse rien faire d'autre qu'attendre que passe un badaud, et prévenir la police à la providence des promeneurs nocturnes?

    Il l'avait compris dès son premier film : l'un des pires sentiments pour l'homme, et qu'il faut reproduire dans le cinéma horrifique pour susciter chez lui le malaise propre à l'injustice, est celui de l'impuissance. C'est sur cette même impuissance qu'il décide de scotcher sa caméra, avec l'unique ordre de ne jamais la lâcher de (prise de) vue (élément narratif qu'il poussera à son paroxysme avec le meurtre de l'adolescente dans Ténèbres). Impuissance qu'il cite et recite par l'emploi des flashbacks de la nuit de l'agression; au maître de déposer les indices essentiels à la résolution de l'enquête, indices qu'on ratera à coups sûrs.

    Pour contrer l'impuissance, il lui reste la raison du crime : trouver un mobile aux meurtres rendra les sueurs froides plus acceptables. On pourrait même se prendre au jeu, et commencer à deviner qui en est l'auteur. Ce serait le sous-estimer : malicieux, Argento multiplie les fausses pistes avec une maîtrise surprenante, conduisant le spectateur vers une finalité qu'il a du mal à saisir; cela jusqu'au dénouement final surprenant mais manquant de punch, et bâclé par un deus ex machina honteux sorti d'une manche de magicien.


    En omettant la fin, qu'on pourrait ranger du côté des fautes dues à son statut de cinéaste débutant, L'Oiseau au plumage de cristal présente déjà, outre son esthétique, son sens si particulier de la photographie : classieuse, classique aussi, elle est faite de lumières discrètes et d'ombres profondes, ses jeux de clair obscur se raccommodant avec brio sur des tons d'un terne éclatant. C'est la nuit qu'elle brille le mieux, Argento étant doué pour mettre en image les villes italiennes en pleine activité nocturne.

    Tellement qu'il s'amuse avec les codes du genre : là où le crime se devait d'être discret, dissimulé dans la pénombre, il l'affiche au grand jour en grands intérieurs illuminés, ou dans le reflet lumineux et bleuté d'un miroir de salle de bain. En s'immisçant aux yeux de tous dans la vie de ses victimes, il décuple le sentiment d'impuissance abordé plus haut : le spectateur, condamné à voir sans pouvoir agir, se reconnaît dans la frustration des personnages et ne peut que se pencher, comme eux, sur les indices laissés par les nouveaux crimes qu'il n'a pas pu empêcher.

    Argento, dans tout cela, construit son style en vue de son prochain thriller, Le Chat à neuf queues, qui servira plus à confirmer sa patte qu'à le faire s'envoler librement.
    Roub E.
    Roub E.

    939 abonnés 4 977 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2023
    Un pur Giallo signé Dario Argento maître du genre avec tous les éléments nécessaires: des exécutions sanglantes, un meurtrier mystérieux, une ambiance un peu flottante à la limite du surnaturel. Ça n est clairement pas mon film préféré du réalisateur italien. J ai trouvé la mise en scène plus sage et moins inspirée que dans ses meilleurs films, que le suspens ne prenait pas vraiment et que la révélation finale tombait un peu à plat. Dommage car pour le coup la distribution est plutôt bonne ce qui n est pas toujours le cas dans son cinéma. Le maître a fait beaucoup mieux mais cet oiseau au plumage de cristal peut être une bonne porte d entrée dans le genre.
    Alasky
    Alasky

    345 abonnés 3 359 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juillet 2024
    Excellent giallo signé Dario Argento et qui plus est son tout premier film, incroyable, quand on voit la minutie, la mise en scène et la sublime BO pour couronner le tout. Ambiance très oppressante de bout en bout pour ce thriller/film d'épouvante, trop surjoué certes, mais divertissant.
    bobmorane63
    bobmorane63

    184 abonnés 1 955 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 décembre 2022
    Un thriller horrifique glaçant et intrigant que nous offre le cinéaste Dario Argento en 1968 !!
    Le seul film que j'avais vu du réalisateur Italien était "Phénoména" qui date de 1984 avec Jennifer Connelly que j'avais vu dans mon enfance qui m'avait traumatisé à l'époque. "L'oiseau au plumage de cristal" a plus une allure d'un polar, mème si à certains moments on tremble, mais on est captivé par l'enquète du tueur en série que mène un homme ordinaire qui aide la police après une agression du tueur qu'il a vu en reflet sur une dame. Ce sérial killer tue des femmes, on se pose des questions sur son identité de malade mental dérangé et on est dans les années 60 avec le tueur du "Zodiac" aux Etats-Unis, le monde qui change et Dario Argento nous livre sa vision ayant une métaphore artistique qui va faire son cinéma. La mise en scène nous met dans l'ambiance avec une magnifique lumière et la musique d'Ennio Morricone qui titille du suspense au long métrage. Les acteurs Italiens sont excellents, surtout l'acteur principal et une surprise vous attend au dénouement final. Du bon cinéma.
    Charlotte28
    Charlotte28

    120 abonnés 1 982 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 octobre 2024
    Se retrouvent les attributs du cinéma de Dario Argento: une mise en scène tourbillonnante, riche, se jouant du spectateur pour mieux le surprendre par le twist final d'un scénario qui lance diverses pistes dans une enquête où faux-semblants, personnages fantasques et lieux décalés se joignent afin de construire une atmosphère singulière, inquiétante, brumeuse. Efficace, original, reconnaissable!
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 169 abonnés 4 165 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juin 2016
    Film qui inaugure le giallo italien dont Argento sera unanimement reconnu comme étant le maître du genre. Un jeune écrivain américain assiste un soir à une tentative d’assassinat en passant devant une galerie de peinture. L’assassin s’enfuit. Retenu dans une Italie indéterminée (Argento situe rarement ses films avec précision géographiquement) comme témoin, il fera l’objet avec sa fiancée de diverses tentatives d’assassinats. Il mène donc son enquête.
    Film astucieux où Argento sait créer une ambiance glacée et quelque peu irréelle à la limite du fantastique, genre qu’il abordera peu d’années après. La musique joue un grand rôle notamment la comptine chantée par des voies murmurées qui donne cette sensation d’irréalité citée plus haut, faisant penser que tout ceci n’est qu’un rêve ou plutôt un cauchemar. Les meurtres sont nombreux et il s’agit en réalité d’une « serial killeuse », fait plutôt rare à l'époque pour être souligné. Argento choisit de « styliser » à l’extrême les scènes de meurtres, en faisant avec le temps la marque de fabrique du genre. spoiler: L’intrigue sera démêlée grâce au cri d’un oiseau, pensionnaire d’un zoo, entendu dans une cassette enregistrée qui permettra de localiser les meurtriers, d’où le titre du film
    . Argento a retenu quelques leçons d’Hitchcock mais on est encore loin du maître et de ses meilleures productions.
    Redzing
    Redzing

    1 100 abonnés 4 451 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juin 2023
    Premier film signé Dario Argento, et déjà du tout bon ! Il faut avouer que le bonhomme n'était pas vraiment un inconnu dans le milieu du cinéma. Né de deux parents artistes, expérience de critique, et co-scénariste sur le monument "C'era une volta il West" : il démarre sa carrière de réalisateur avec un bon pédigrée.
    Il offre ici une mise en scène très maîtrisée, qui posera les bases de son univers, et confortera celui du giallo en général. Il reprend quelques éléments des films de Mario Bava (par exemple, la figure du tueur en imperméable, également vu dans "Sei donne per l'assassino"). Mais Dario Argento développe surtout son propre style.
    De nombreux jeux d'ombres, dans les ruelles de Rome ou les logements mal éclairés. Une colorimétrie qui frise par moment le cauchemardesque. Un montage riche, appuyé par des décors oppressants et une réalisation aussi baroque qu'inventive. Dont des tueries violentes pour l'époque, où se mêlent lames éclatantes et, occasionnellement, vues à la première personne.
    Et si l'intrigue policière apparait un peu lente au vu des standards actuels, plusieurs scènes bien tendues à souhait fonctionnent sans mal. La BO anxiogène d'Ennio Morricone aidant. Ou le protagoniste attachant, un auteur en mal d'inspiration happé malgré lui dans une histoire de meurtres. Incarné par un convaincant Tony Musante (qui a un faux air d'Eric Bana, version années 2000 !).
    D'autant que le film propose quelques audaces scénaristique. Jouant sur la notion de perception déformée ou incomplète des événements par les sens humains (une thématique qui reviendra dans plusieurs film d'Argento), ou celle de voyeurisme.
    "L'uccello dalle piume di cristallo" sera surpassé par d'autres oeuvres de Dario Argento (notamment "Profondo Rosso"), mais il demeure pour moi supérieur aux deux autres films de la trilogie animalière... et à l'immense majorité des giallo...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 mai 2014
    Je découvre ce film aujourd'hui et je dois dire que je me suis fait baladé par cette histoire de tueur aux gants noirs. Dario Argento a écrit un scénario machiavélique, multipliant les fausses pistes, les meurtres, les indices et les coupables possibles avec une très grande maîtrise. Comme souvent, la réponse à l'énigme se trouve dans les premières scènes... Une excellente surprise, servie par d'excellents plans, cadrages et décors, mais surtout par une musique "orgasmique" d'Ennio Morricone.
    konika0
    konika0

    26 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 juillet 2020
    Dans les placards italiens.
    On l’oublie souvent mais le cinéma italien a été un vivier du cinéma bis et un vrai laboratoire. Avec peu de moyens et pas mal d’ingéniosité, il a su créer un univers propre entre réalisme et onirisme. Souvent, je parle de mon amour pour le cinéma de de Palma en oubliant qu’il partage avec Argento et d’autres (Lenzi peut-être aussi) un héritage commun. L’Oiseau au Plumage de Cristal est le premier long métrage d’Argento. On y trouve toutes les qualités du giallo, genre purement italien très influencé par le cinéma anglo-américain. L’histoire est celle d’un type qui est témoin d’une tentative de meurtre. Pas tout à fait de plein gré, il va se retrouver à mener l’enquête et donc à se mettre en danger. Un pitch simple donc, classique même. Mais l’intérêt est avant tout sur le terrain visuel. Entre la première scène de violence qui questionne le regard du spectateur et joue sur sa perception en manipulant le son et toutes les références au jeux de regards, on nous place chez Hitchcock et chez Michael Powell (critique du Voyeur à venir). La photo en clair-obscur, la construction des plans, le jeu sur les formes de l’archi, le contraste des décors … c’est un ravissement de tous les instants et on pardonnera alors une interprétation un peu faiblarde. Contrairement aux usages, Argento ne va pas vouloir trop en faire dans ce premier film et il ne paraît pas surchargé d’intentions. Des pistes de travail, il y en a mais elles seront développées dans les films suivants jusqu’à l’épure. En bref, un très bon thriller au rythme surprenant qui mérite que l’on n’attache pas trop d’importance aux premières images.
    cylon86
    cylon86

    2 495 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 janvier 2014
    Première réalisation de Dario Argento, "L'oiseau au plumage de cristal" reprend les caractéristiques du giallo initié par Mario Bava et annonce déjà les nombreuses récurrences de l'univers de son réalisateur. Ici, on suit un écrivain américain qui assiste à une tentative de meurtre et qui mène une enquête pour retrouver le tueur qui continue de sévir dans la ville. Déjà, on trouve le sens de l'esthétisme d'Argento avec sa mise en scène truffée de bonnes idées, la présence de l'art dans le film et ses meurtres en gros plan. Le tout souligné par une partition d'Ennio Morricone, le film, sans être encore les chefs-d’œuvre qui viendront plus tard est une réussite certaine.
    Shawn777
    Shawn777

    574 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 décembre 2020
    Ce premier film réalisé par Dario Argento et sorti en 1970 est vraiment très bon ! C'est une nouvelle fois une très bonne surprise donc, alors que je n'en attendais rien de particulier, même si je commence à réellement apprécier de plus en plus le réalisateur. C'est donc l'histoire ici d'un écrivain qui assiste un soir à une tentative de meurtre dans une galerie d'art. Il va ensuite aider la police à trouver le coupable. Le film est adapté du roman "Le Ballet du désir" de Frederic Brown mais ne l'ayant pas lu, je ne pourrai pas dire si le film en est fidèle ou non. Enfin bref, on retrouve ici les principaux thèmes de prédilection du réalisateur, notamment lorsqu'il sera dans sa période très marquée giallo. Par ailleurs, même si ce film rentre dans les cases du giallo, je le vois plus personnellement comme un "simple" film policier que comme un véritable giallo, genre que le réalisateur ne cessera de perfectionner au fil des années (enfin, n'oublions pas non plus que Mario Bava est passé par là bien avant, notamment avec l'excellent "6 femmes pour l'assassin"). Bref, si l'enquête se révèle être au début plutôt lambda, elle devient en réalité de plus en plus passionnante même si elle est quelque part un peu prévisible pour les spectateurs connaissant les codes et ficèles qu'utilisent bien souvent le réalisateur. Le twist ne m'a en effet personnellement pas surpris, même si je reconnais qu'il est très bon, car je m'attendais à ce qu'Argento nous sorte un truc comme ça. Par ailleurs, même dans son premier film, le réalisateur affiche d'ores et déjà son goût de mettre en avant certaines minorités, notamment les homosexuels, et également un certain côté féministe, notions que le réalisateur ne cessera d'utiliser tout au long de sa carrière. En dehors de ça, la mise en scène est excellente, on repère aussi dès son premier film certaines manies qui deviendrons presque sa marque de fabrique, comme filmer les armes et beaucoup d'objets que manipulent le tueur en très gros plan. La scène dans la galerie d'art est quant à elle très belle, Argento utilise à merveille ce décor, et on y retrouve par ailleurs son goût prononcé pour l'art et le fait de vouloir en caser dans pratiquement tous ses films, presque par soucis de légitimité. Ainsi, on remarquera ici que le "meurtre" le plus emblématique a lieu dans une galerie d'arts, que l'intrigue tourne autour d'une peinture et enfin que le héros est écrivain. En ce qui concerne les acteurs, nous retiendrons surtout Tony Musante et Suzy Kendall qui jouent très bien. "L'Oiseau au plumage de cristal" est donc dans l'ensemble un très bon film !
    maxime ...
    maxime ...

    235 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 avril 2016
    Sceptique au début, presque conquis au final ... Dario Argento pond un Thriller fortement influencé par Alfred Hitchcock, il embrasse les codes tout en lui insufflant son style particulier. Le faux rythme du début m'a quelque peu déstabilisé dans ces premières minutes, l'intrigue et l’œil de son réalisateur ont fini par me séduire au fur et à mesure pour ne plus me lâcher. Un visuel très beau, le cinéma italien regorge de talent en la matière, ce long métrage de déroge pas à la règle. Premier film que je découvre de ce cinéaste, j'ai hâte de poursuivre l'aventure tant celui-ci m'a plu.
    DarkParadise
    DarkParadise

    122 abonnés 1 032 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 décembre 2011
    J'adore! "L'oiseau au plumage de cristal" est un thriller vraiment captivant. Première réalisation du grand Dario Argento (réalisateur que j'apprécie énormément), c'est avec ce film que celui-ci fonde les bases du genre "Giallo". C'est tellement agréable à regarder, à suivre l'intrigue et ce suspens omniprésent. C'est un film peu sanglant, mais si intelligent! Les acteurs, bien qu'il ne soit pas des plus convaicants, s'en sortent néanmoins avec les honneurs. Le scénario est intelligent, riche en rebondissement et un très bon mystère. Et bien entendu, il ne faut pas négliger la très belle musique du grand Ennio Morricone en guise de bande originale! Bref, pour tous les fans du genre, et surtout pour les fans des giallo, ce film est inévitable.
    julcine
    julcine

    23 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juillet 2010
    Voici le premier chef d'oeuvre de celui qui deviendra par la suite le maître du giallo, le grand Dario Argento... On retrouve l'esprit du cinéma italien des 70's dans la pure tradition. Tueur ganté, meurtres à l'arme blanche, scène d'ouverture, faux coupable qui mène l'enquête pour se déculpabiliser, et surprenante scène finale... Tout est réuni ici pour du très bon spectacle!
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