Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Chronic'art.com
par Elysabeth François
Par le traitement de ses personnages (...), et la construction d'une atmosphère irréelle hantée par des signes psychanalytiques, le cinéaste idéalise un fait divers pour le sortir du concret, comme s'il n'y avait de beauté que dans les espaces fantasmatiques de nos consciences.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Evénement
par Maiä Bouteillet
(...) Sogo Ishii renoue ici, par un noir et blanc tourmenté dans un jeu de clair-obscur, avec la manière très picturale des grands maîtres du cinéma asiatique.
L'Obs
par Jean-Philippe Guérand
Par sa mise en scène minutieuse, son noir et blanc contrasté et sa facture rigoureuse, ce film intemporel s'inscrit dans la plus pure tradition du cinéma classique japonais. Une lumineuse curiosité à découvrir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par Françoise Maupin
(...) un objet à part, qui a sa logique propre, plus situé dans le registre de la poésie que dans celui du film de genre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Un film noir déconstruit et onirique : encore un artiste nippon inconnu qui nous donne une leçon de poésie filmique.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Hubert Niogret
(...) un fantastique sans effets, mais qui traduit cet espace indéfini et fragile où la perception du réel débouche vers quelque chose d'étrange, de mystérieux, d'attachant.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télérama
par François Gorin
(...) au bout du compte, rien n'est tout à fait révélé, et cela ne fait qu'ajouter au charme de ce film sinueux, sans cesse au bord du déraillement.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Jean Sébastien Chauvin
Le Labyrinthe des Rêves fait partie de ses "oeuvres plastiques" venues de nulle part, fonctionnant en circuit fermé. Elles séduisent en même temps qu'elles déçoivent, ne témoignant de rien d'autre que de leur univers propre.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Handicapé par son esthétisme appuyé, le film reste un original voyage somnambulique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe Azoury
L'écœurement est atteint aussi vite que son corollaire, l'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Chronic'art.com
Par le traitement de ses personnages (...), et la construction d'une atmosphère irréelle hantée par des signes psychanalytiques, le cinéaste idéalise un fait divers pour le sortir du concret, comme s'il n'y avait de beauté que dans les espaces fantasmatiques de nos consciences.
L'Evénement
(...) Sogo Ishii renoue ici, par un noir et blanc tourmenté dans un jeu de clair-obscur, avec la manière très picturale des grands maîtres du cinéma asiatique.
L'Obs
Par sa mise en scène minutieuse, son noir et blanc contrasté et sa facture rigoureuse, ce film intemporel s'inscrit dans la plus pure tradition du cinéma classique japonais. Une lumineuse curiosité à découvrir.
Le Figaroscope
(...) un objet à part, qui a sa logique propre, plus situé dans le registre de la poésie que dans celui du film de genre.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Un film noir déconstruit et onirique : encore un artiste nippon inconnu qui nous donne une leçon de poésie filmique.
Positif
(...) un fantastique sans effets, mais qui traduit cet espace indéfini et fragile où la perception du réel débouche vers quelque chose d'étrange, de mystérieux, d'attachant.
Télérama
(...) au bout du compte, rien n'est tout à fait révélé, et cela ne fait qu'ajouter au charme de ce film sinueux, sans cesse au bord du déraillement.
Cahiers du Cinéma
Le Labyrinthe des Rêves fait partie de ses "oeuvres plastiques" venues de nulle part, fonctionnant en circuit fermé. Elles séduisent en même temps qu'elles déçoivent, ne témoignant de rien d'autre que de leur univers propre.
Le Monde
Handicapé par son esthétisme appuyé, le film reste un original voyage somnambulique.
Libération
L'écœurement est atteint aussi vite que son corollaire, l'ennui.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com