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dullan
6 abonnés
34 critiques
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5,0
Publiée le 1 février 2008
Le wetern charniére entre le style John Ford incarné par un trés grand Henry Fonda(héro solitaire qui vit autour de ses armes, les méchants et sa nostalgie) et les western spaghetti incarné par un Térence Hill (loin de son pote Bud, vivant de rien avec humour et rapidité!!!). Dans l'histoire ce film est INCONTOURNABLE!!! Même la musique s'accorde et change en fonction des personnage...
Voici un western drôle, où les scènes admirablement construites s'enchainent dans une loufoquerie sans fin.Grace à une réalisation maitrisé (et secondée par Leone, c'est pas rien!), l'histoire de deux générations qui se croisent prend toute sa beauté et sa dimension forte. Des scènes somptueuses, avec un message fort, joués par des grands (Fonda,Hill...) rendent ce film grandiose, humain et incroyablement attachant. Certes, des effets comiques (les accélérés) peuvent être critiqués, mais c'est la le sens de ce film: prendre à contre-pied le western, et en faire un film drôle et passionant...Un grand moment!
Un chef-d'oeuvre, une bombe qui est certainement l'un des plus grand film de l'histoire du cinéma. Un IMMENSE terrence hill, une légende henry fonda un scénario magnifique le meilleur réalisateur western de l'histoire maître Leone, et une musique extraordinaire.
Ce n'est pas vraiment une comédie, pas vraiment sérieux... J'ai été le cul entre deux chaises et je n'ai au final pas vraiment aimé le film. Peut-être en le revoyant un jour en sachant à quoi m'attendre l'aimerais-je mieux, au vu des critiques entousiasmes?...
"Mon nom est Personne" est tout simplement mon film préféré. Voilà, c'est dit. Pourquoi ? Tout d'abord, même s'il n'a pas la même portée que les oeuvres de Sergio Leone ("Le bon, la brute, et le truand", ou encore "Il était une fois la révolution") il possède la même ambiance, d'ailleurs il a lui-même réalisé quelques scènes du film, et ça se sent ! Bien évidemment, l'inoubliable bande-son d'Ennio Morricone y est pour beaucoup ! Le thème principal de ce western spaghetti figure parmi mes musiques préférées. Ensuite, on retiendra l'interprétation magistrale de Terence Hill qui est, pour moi, l'un des plus grands rôle de tout l'histoire du cinéma (non, je n'exagère pas !). Toute émotion ne serait pas complète avec un Henry Fonda également au sommet de son art ! J'aime posséder dans ma ludothèque les DVD de mes films préférés, et je ne vous cacherai pas que j'ai éré aux anges lors de l'annonce du DVD de ce film qui rend un grand hommage à Tonino Valerii. Si vous aimez les westerns spaghettis ou les films un peu décalés, je crois que vous succomberez aux charmes... de Personne ?!
Western dont on constate tout de suite la présence du génie Sergio Leone. Un scénario un peu plus léger notamment à travers un personnage principal tout sourire et plein d'humour. ,même si l'on retrouve certains codes de ces oeuvres précédentes : personnages charismatiques, fascinants, pourtant discrets. On retrouve ne réalisation impeccable avec de fameuses alternances entre moments de musique intense et de confrontations silencieuses. Encore une fois du très bon cinéma et pour une fois, un vrai rôle dans un "vrai" film pour Terrence Hill
Terrible confrontation entre Terence Hill et Henry Fonda accompagné par le Maitre Ennio Morricone. Le dernier western spaghetti est un bon film mais pas un chef d'oeuvre comme ceux de Sergio Leone.
Entre hommage et parodie, ce film montre également la rencontre entre le western américain et le western-spaghetti. Réalisé par un ancien assistant de Sergio Leone: Tonino Valerii, ce western très sympathique contient des références à d'autres films du genre, la mise en scène n'est pas sans rappeller celle de Leone (producteur et créateur de l'idée de départ du film. Il paraît qu'il en aurait réalisé plusieurs séquences). Le duo formé par les excellents Terence Hill et Henry Fonda (qui joue ici un personnage à l'opposé du salopard qu'il incarnait dans Il était une fois dans l'Ouest) fonctionne à merveille. La musique d'Ennio Morricone est excellente. Mon nom est Personne est un excellent western très intéressant et très divertissant. J'ai pris énormément de plaisir à le revoir.
On pourra regretter tant qu'on veut l'absence de Leone aux manettes, "Mon Nom Est Personne" reste une très honnête série B, dont le discours est bien plus amère que l'étiquette comique du film ne pourrait le laisser croire. Les références sont légions (spécialement "La Horde Sauvage" dont il reprend presque mot pour mot certains éléments) mais sans lourdeur. Au-delà de la mort de l'Ouest, on pourra y voir un état des lieux du cinéma italien après son "âge d'or". Un film le sourire en coin et la larme à l'oeil.
On sent la main du maitre derrière cette oeuvre. Forcément lorsque Sergio Leone se mêle à la production d'un western, le résultat ne peut qu'être excellent ! Terence Hill est irresistible dans son rôle de cabotineur volontaire et Henry Fonda, comme toujours excellent ! La musique, signée Ennio Morricone, est sublime. Un excellent western qui joue allègrement sur le terrain de la comédie voire de la parodie.
Dommage que le grand Sergio Leone n'ait pas réalisé lui même ce film qui aurait encore pris plus d'ampleur,il n'en reste pas moins une oeuvre à part. Cet adieu nostalgique au western s'accompagne de clins d'oeil malicieux,de bons et francs éclats de rire,de moments remplis d'émotion,d'une amitié virile pleine de noblesse et d'une réflexion en profondeur sur des sujets tels que la gloire,le temps qui passe,l'arrivée d'un nouveau monde. Henry Fonda passe du salaud intégral d'Il était une fois dans l'ouest au vertueux Jack Beauregard sans peur et sans reproche avec une facilité qui impressionne;Terence Hill qui trouve là son plus beau rôle nous montre ce que sa carrière aurait pu être avec un choix plus judicieux de ses films. Il ne faut pas oublier la musique d'Ennio Morricone qui donne toute la beauté au film aussi bien dans les scènes burlesques que dans les scènes intimistes. Sergio Leone a eu l'élégance de passer le relais à un de ces adjoints qui a finalement réalisè un superbe film.
Une très bonne parodie des westerns spaghetti mais sachant respecter le genre. Même Ennio Morricone parodie Wagner avec sa musique. Beaucoup de westerns lui sont supérieurs mais on passe un excellent moment.
Le chant du cygne, l'oraison funèbre ou le chant mortuaire du western spaghetti. Mon nom est Personne est ce qu'on pourrait qualifier un enterrement de première classe de tout un genre. Sergio Leone est un peu sidéré de voir le genre qu'il a inventé, etre parodié par Terence Hill dans Trinita. Il décide alors de riposter en confrontant un de "ses" personnages incarné par Henry Fonda avec un personnage du renouveau du western italien incarné par Terence Hill. Fonda représente le western traditionnel, la sagesse qui annonce la fin du genre. Un homme de l'ouest qui sent que les temps sont en train de changer et décide de le quitter pour ne pas y laisser sa peau. Hill représente celui qui a grandi en l'admirant ainsi que les temps qui changent. Ce film est une symbolique de deux heures sur le western spaghetti qui touche à sa fin où les claques remplacent les revolvers. Il ne s'agit pas d'une résistance du western "old school" mais une conclusion, une sortie exemplaire avec la tete haute. L'ancien passe le flambeau au plus jeune et la lettre de fin de Beauregard à Personne n'en est que plus symbolique. Les mythes sont dépassés et devenus obsolètes, à l'image de Jack Beauregard chaussant ses lunettes pour accomplir son dernier exploit digne de l'admiration que lui porte...Personne. Une page du cinéma se tourne, comme les pages tournées littéralement durant l'affrontement final contre La Horde Sauvage. Une confrontation de deux conceptions semblables et du meme genre de film. Leone veut apporter sa contribution à ce tournant du western spaghetti. Il s'agit d'une synthèse des westerns. Meme la magnifique partition de Morricone semble etre une synthèse de toutes ses précédentes compositions. Des dialogues et répliques sublimes et inoubliables font de cette confrontation générationnelle, un monument du western qui tire sa révérence. La réalisation de Tonino Valerii atteint un lyrisme, une émotion et une grandeur uniques au genre. Chef d'oeuvre, oeuvre testamentaire.
Epoustouflant de bout en bout, on peux remarquer l'empreinte de Sergio Léone, la musique n'en parlons pas c'est toujours le maître incontesté du genre. Pour ce qui est des interprètes, c'est 2 géants différents dans les styles mais qui se sont bien retrouvés ; je me rappelle encore du rôle que Fonda a tenu dans Douze hommes en colère,pour moi c'est la même situation que doit affronter Fonda face au jury que face a la horde sauvage.