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SpecOmega
10 abonnés
338 critiques
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4,5
Publiée le 23 août 2011
Un excellent western spaghetti. Des scènes cultes (dont l'histoire du petit oiseau), de l'humour, des bagarres, des répliques qui fusent et une musique énorme. Les acteurs sont plus que bons, le scénario est génial : le vieux cowboy redresseur de torts cherche la retraite et rencontre un jeune freluquet, fan, qui veut le voir entrer dans les livres d'histoire en le faisant affronter la Horde Sauvage (références à Sam Peckinpah). L'incompréhension du départ fait place au final à l'amitié. Se revoit sans aucun problème.
Un western comme je les aime, qui sous prétexte de ne pas se prendre au sérieux se permet tout un tas de choses singulières qui offrent au film une dimension à la fois grandiose et ironique. Le bleu des yeux de Terence Hill marque mais pas seulement, la personnalité de ce Personne qu'il revendique est attachante, intrépide et futée. Je ne connaissais pas Henry Fonda, mais j'ai découvert un acteur calme, tout en regard. Sous couvert d'une bande-son excellente, ce Western est tout bonnement jouissif!
Ce film, pleins d'humour et de bon sentiments, peut etre pris comme un passage de grade: henry Fonda, grand acteur du temps du grand hollywood passe le flambeau au jeune Terence Hill pour les roles d'acteurs dans des westerns. Il faut bien admettre que le western du temps de john wayne et autres n'est plus aussi présent aujourd'hui.
Une superbe musique, comme à l'habitude d'Ennio Morricone.
Production de Sergio Leone. Mon nom est personne est un hommage aux westerns spaghetti. Une comédie qui reprend les codes du genre et les mélange avec du burlesque. Les acteurs ont moins de gueule mais l'histoire pleine de clin d'oeil est toujours dans le style épique et toujours accompagnée de belle musique de Morricone. Un bon moment, mais c'est sur ça ne remplace pas le terrible " le Bon, la Brute et le Truand".
J'ai moins accroché à ce western qu'aux autres, ayant certainement inconsciemment développé des exigences en m'étant trop habitué à la perfection des autres oeuvres du maître du western spaghetti. Henry Fonda est toujours aussi charismatique mais Terence Hill m'a moins convaincu. La bande son, toujours concoctée par Ennio Moricone est toujours aussi exceptionnelle.
Pas le meilleur western, mais pas le pire non plus. Le duo Terence Hill/Henry Fonda rappelle les comédies Spencer/Hill mais fait mouche dans une réalisation typiquement léonienne : rythme haletant, caméra toujours virtuose, photographie impériale. Se rajoute une touche de narration pas désagréable. Tonino Valerii engage (comme par hasard !) Leone au scénario et Morricone à la musique. Ce dernier fait des ravages quand il adapte Wagner ! Une bonne comédie qui rappelle que l'Ouest est une légende (encore) vivante...
sans doutes le meilleurs western jamais crée a mon humble avis. tout est la pour faire un excellent film, des acteurs qui jouent a la perfection, une photographie sublime et sans oublier l'ultime point positif, qui fait de se film un vrai chef-d'oeuvre, son ambiance qui n'a, pour ma part, jamais été inégalé dans aucun autre film, orchestrée par une musique d'Ennio Morricone magnifique qui vous prend au tripes tout le long du film (spécialement la musique spécifique à la horde sauvage). dernière raison de voir se film, l'excellent jeu d'acteur de Terence Hill qui joue le rôle de Personne à la perfection...
Terrible confrontation entre Terence Hill et Henry Fonda accompagné par le Maitre Ennio Morricone. Le dernier western spaghetti est un bon film mais pas un chef d'oeuvre comme ceux de Sergio Leone.
jack beauregard est un héros viellissant de l'ouest et compte bien prendre sa retraite et partir en europe. Mais Terence Hill qui affirme se nomer personne ne l'entend pas comme ça. il compte bien voir son heros affronter a lui seul la horde sauvage
La mise en scène, bien qu'elle ressemble à celle de Leone, n'en atteint jamais la maîtrise, mais ce défaut est compensé par un scénario bien plus riche que chez les films du précurseur des westerns spaghettis. Tout l'intérêt du film se situe dans le combat que se livre Henry Fonda et Terrence Hill, le premier symbolisant le western classique et le deuxième, le western spaghetti. Ainsi, les deux entités filmiques représentées à l'écran, s'opposent, s'admirent, se mesurent l'une à l'autre. On ne peut s'empêcher d'éprouver un petit plaisir coupable lorsque Hill envoie à la mort Fonda, une petite boutade de la part de Valeri qui indique par là le déclin de la période classique complétement terrassée par le succès populaire du western spaghetti.