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Votre avis sur La Guerre dans le haut pays ?
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Avec la précision scénaristique qu'offre le choix d'un moment spécifique de l'Histoire pour faire le film, pas besoin de grand-chose de plus pour rendre l'oeuvre attrayante. Et pourtant, ce "pas grand-chose", il y est, et très largement. Entre la performance de Marion Cotillard et la fulgurante beauté des dialogues, difficile de ne pas se réjouir de revivre le passé, même un épisode sombre. Il serait également facile de faire revivre au spectateur l'horreur des combats, mais la réalisation préfère se concentrer sur leur bêtise, sans aucune exagération dans la mort. L'horreur, elle est plutôt dans la fin qui comprend une scène atroce et fascinante. Une reconstitution vraiment fidèle. Du moins, peut-on l'espérer.
Ça se passe dans l'année 1798, dans les Montagnes du pays de Vaud (Suisse) où se trouvent des révolutionnaires et des antirévolutionnaires. Au milieu de tout cela, une histoire d'amour entre deux jeunes gens dont les pères sont de bords opposés. Une histoire d'amour qui prend trop d'importance par rapport au sujet.
De belles séquences où la photographie prend toute sa valeur : neige et montagne.
La réalisation est très honnête, mais il n'y a pas d'excès stylistique.
L'intrigue, un peu niaise, est dans le genre Roméo et Juliette.
Beau rôle de François Morel, et de Laurent Terzieff en illuminé.
La partie amoureuse et vraiment la partie la plus faible du film, avec des dialogues genre photo-roman. Il y a un faible intérêt historique, et la reconstitution d'une époque est assez simpliste. Le scénario, bien que tiré d'un grand livre, est assez primaire.
Thème de l'intolérance. Même à la fin, l'émotion semble factice.
De belles séquences où la photographie prend toute sa valeur : neige et montagne.
La réalisation est très honnête, mais il n'y a pas d'excès stylistique.
L'intrigue, un peu niaise, est dans le genre Roméo et Juliette.
Beau rôle de François Morel, et de Laurent Terzieff en illuminé.
La partie amoureuse et vraiment la partie la plus faible du film, avec des dialogues genre photo-roman. Il y a un faible intérêt historique, et la reconstitution d'une époque est assez simpliste. Le scénario, bien que tiré d'un grand livre, est assez primaire.
Thème de l'intolérance. Même à la fin, l'émotion semble factice.
La beauté des décors naturels sublimés par la lumière que peut offrir les paysages enneigés, cette fresque historique est un résumé efficace de l'indépendance du pays de Vaud avec une intensité et un rythme très contemporains...
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