Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
kray
53 abonnés
1 266 critiques
Suivre son activité
4,0
Publiée le 24 septembre 2011
Film culte s'il en est , 37 °2 marquait l'avènement d'une jeune actrice inconnue , béatrice dalle, qui devint suite à ce film une icone. Beineix , après certains films controversés tels diva , fût porté aux nues, mais ne confirma pas ce coup d'éclat .
Dans la série « sorti des cartons », sixième épisode : « 37°2 le matin ». Voilà encore un film des années 80 qui n’a pas trop vieilli. Le film révèle une Béatrice Dalle spontanée, pétillante et audacieuse. Jean-Hugues Anglade compose un personnage équilibré conscient des réalités de la vie. Deux êtres amoureux fous que tout sépare. Deux contraires aimantés dans une fusion charnelle volcanique. Voilà plus de vingt ans que je ne les avais pas vus. Depuis tout le monde a fait du chemin à commencer par Vincent Lindon, gendarme un peu barré. Il paraît qu’une version longue existe, il faut que je me la procure pour mieux apprécier la folie soudaine de Betty dans la version courte. Il faut bien reconnaître qu’il manque quelque chose pour accepter cette fin abrupte dont je ne me souvenais plus. C’est le seul film de Béatrice Dalle que j’encaisse. Car il me semble que « 37°2 le matin », elle le joue tous les jours. Si elle a dû se forcer pour jouer nue (ce que je comprends pour une débutante) il m’apparaît que Betty, agressive, imprévisible, rentre-dedans lui est naturel ! Et si l’émotion était là, elle l’était plus pour Zorg que pour Betty casse-pied... comme l’actrice !
Dans la version longue, Philippe Djian n'a pas été trahi Superbe film que j'ai dû regarder 5 fois déjà J'adore les histoires d'amour qui finissent mal et encore plus quand c'est la folie qui l'emporte
Il y a un air de Thelma et Louise. Il semblent un peu seuls contre tous. Mais il y a cette loufoquerie un peu étrange et au final un air aussi de Bagdad Café dans les décors et les personnages qui gravitent autour. Pas mal mais ça ne m'a pas trop attiré
Voyeurisme et psychopathie résume ce film. Un couple nous fais partager sexe et démence pendant 2h. film choc à l'époque me semble t-il... A voir, c'est original. ----Décembre 2015----
« 37°2 le matin » de Jean-Jacques Beineix, adapté du livre éponyme de Philippe Djian, est sorti en 1985 et est devenu le film culte d’une génération. Écrivain maudit mais résigné, Zorg (Jean-Hugues Anglade), la trentaine, vit de petits boulots sur les plages de l'Aude avec leurs superbes bungalows sur pilotis. Betty (Béatrice Dalle), 20 ans, sauvage créature impulsive et incontrôlable, débarque dans sa vie et ils vivront une histoire d'amour sensuelle et passionnée. Suite à une incartade de Betty, ils devront fuir à Paris (c’est la partie la moins intéressante du film) puis tiendront un magasin de pianos en Lozère… mais les crises de Betty vont se multiplier et Zorg effectuera alors son plus beau geste d’amour ! Zorg se remettra à écrire et son talent sera enfin reconnu. Un des premiers films parlant de la bipolarité. Un film un peu osé pour l’époque de par la sensualité de Béatrice Dalle dont c’est le premier film, avec une caméra superbe, une lumière et des plans splendides. A noter dans la distribution Gérard Darmon, Clémentine Célarié et un petit nouveau Vincent Lindon.
Considéré comme le film le plus réussi de J-J Beineix, ce film bénéficie surtout de la présence au générique d'une B. Dalle plus souvent à moitié nue qu'habillée ainsi qu'un J-H Anglade impeccable et très souvent lui aussi, en tenue d'Adam. Alors des acteurs à poil et des scènes de sexe suffisent ils pour faire un bon film ? La réponse est non bien sûr mais au moins, ça fait des "films cultes". Le scénario est primordial et ici, il est assez réussi. Nous montrant le quotidien de ces 2 paumés que sont Betty et Zorg, on va les suivre dans leurs aventures, entre 2 crises d'hystérie de B. Dalle. Une histoire d'amour fou, irraisonné, jusqu'au boutiste qui trouvera sa conclusion dans un final que l'on pourra trouver un peu grotesque voir difficile à avaler. Sinon, Anglade est impeccable, Dalle est très naturelle, Darmon est un vrai bonheur (mais son rôle disparaît un peu vite) et il y a bien sûr V. Lindon, dans un rôle assez original et décalé. Beineix confirme ses talents plastiques avec plusieurs plans purement esthétiques sur des paysages magnifiques. Le film vieillit bien, son rythme est agréable mais il ne m'a pas vraiment toucher. D'autres critiques sur
Daï daï daï daï daï ! 37°2 le matin est bouleversant. C'est un film qui remue en vous. Le drame évolue insensiblement : qui aurait cru à cette fin, qui pourtant n'est pas si fantastique ? Bon, évidemment, elle pourrait laisser à désirer, mais elle va quand même dans l'esprit du film, et cela ne retire rien à l'oeuvre. Ce film réussit à créer une certaine atmosphère, on s'y prend, on s'y attache,on se laisse porter par le jeu des acteurs, bref, il est touchant...
Un film incroyablement profond, qui joue avec nos sentiments de manière magistrale ... interprété par l'exceptionnel Jean Hugues Anglade qui m'impressionne toujours un peu plus a chaque film accompagné de la jolie et sensuelle Beatrice Dalle, un duo mythique qui apporte quelque chose de magique a ce film ... c'est si beau, mais aussi très difficile, un film qui passe a la perfection du chaud au froid, du bonheur au malheur, tout en conservant ce climat apaisant et envoutant ... Rien ne peux être reproché a ce film qui est certainement l'un des plus beau films français qui soit ... trois heures de pur bonheur que l'ont voit passer avec une facilité déconcertante, alors on regarde l'heure et on se dit ... quoi déjà ?! tellement magnifique, il nous emmené loin, puis finalement c'est trop court, je me serait bien volontiers projeté une heure de plus de ce chef d'œuvre ! Un film bouleversant !
Malgré de bons acteurs, je ne vois pas trop l'intérêt de ce film, ou comment assister aux roucoulades d'un couple qui exhibe leurs sexes devant la caméra, ni de leur vie de bohème. J'aurais pu croire que c'est dans le caractère étrange de Betty (Béatrice Dalle) ou dans le talent littéraire de Zorg (Jean-Luc Anglade), mais aucun des deux n'occupe le scénario au point d'en être le sujet principal; du coup on se demande vraiment ce qu'a voulu démontrer l'auteur. Bref ce film me parait très moyen.
Tiens, il aurait dû mettre avant de le projeter interdit au moins de 18. Ce n'est ni un film dramatique, ni un film romantique, c'est tout simplement un film porno . Il est aberrant de niaiserie, l'actrice joue une nymphomane hystérique, doublé d'une idiotie mais incroyable. Et l'homme dom Juan , succombant à tous ses caprices, même les plus dingues, ayant un tas de muscles mais rien dans le cerveau. Leur histoire est ennuyeuse, nulle, et le scénario l'est encore plus. Rien ne se passe, a part leur querelle amoureuse, c'est d'un ennui total. 0/20
quelle belle histoire d amour sulfureuse dans ce film on rit on pleure on sursaute on s enerve des passages un peu longs et inutiles a mon gout mais le reste est parfait film excellent des annees 80 ave un duo jean hugues anglade et beatrice dalle qui interprete a merveille leur role et qui vous enmenerons avec eux dans une histoire d amour explosive.