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    37°2 le matin
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    guimu
    guimu

    17 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 août 2010
    la fraicheur de Béatrice Dalle, ne suffit pas à rehausser un film décrépi !
    Patjob
    Patjob

    35 abonnés 602 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 mai 2022
    Peut-être ce film fut à sa sortie "dans l'air du temps". Peut-être est-il représentatif de l'état d'esprit et des rêves d'une génération (enfin, d'une partie de cette génération), et de l'esthétique clinquante "à la mode" dans ces années-là. Il aurait alors une sorte de valeur de témoignage. Cela dit, ses défauts l'emportent largement sur ces qualités. Le premier plan annonce la couleur : il s'agit d'un très long plan, avec lent zoom avant, sur le couple qui fait l'amour : le type de plan racoleur qui n'a aucune utilité ni narrative (la voix off intervenant au bout d'une ou deux minutes aurait largement suffi) ni émotionnelle (on ne connait pas les personnages), ni esthétique (l'image est banale, voire laide). C'est la démarche générale du film, dont la caractéristique principale est l'outrance : outrance des situations, des comportements, et des propos. Outrance teintée de vulgarité (l'horrible scène du service de nos héros dans le restaurant de leurs amis), entre complaisance et provocation. Un film bien pénible dont je ne peux sauver que l'idée esthétique des scènes de peinture à Gruissan, quelques beaux accords de piano et quelques phrases du roman de Philippe Djian, qui laissent imaginer qu'il est bien meilleur que son adaptation.
    Thibault L
    Thibault L

    131 abonnés 1 267 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 juin 2007
    Un mélange de sexe et drame à la française qui ne mène nulle part.
    Lenalee23
    Lenalee23

    39 abonnés 369 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 juillet 2009
    Dans le style de l'été meurtrier, révèle Béatrice Dalle et Jean Hugues Anglades. Un film français pas mal à voir quand même.
    willycopresto
    willycopresto

    134 abonnés 1 354 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 juin 2017
    "37°2, le matin" (1986) Chérie 25 le 12.06.2017

    C'est probablement le côté sulfureux du film qui fit son succès en 1986 (3,6 millions d'entrées en salles): le cinéma n'en finissait alors pas de proposer des images de plus en plus audacieuses, "libérées" comme on les justifiait à une 'époque où la censure était ringardisée ! Il devenaitt interdit d'interdire ! Pour être encore plus autonome, Beineix avait même créé sa propre société de production : "Cargo Films"
    Coté exhibitionniste, cette histoire démarre très fort, un peu comme dans "le Mépris" avec Bardot où on pouvait se délecter des formes voluptueuses du corps de la star, tout en savourant la richesse intellectuelle des dialogues : "Et mon cul, tu l'aimes mon cul ?" "Et mes seins, tu les aimes mes seins ?" (...)
    Beineix lui va plus loin -l'époque n'est plus la même !- et nous offre d'entrée les galipettes sexuelles et audacieuses de Dalle (découverte dans tous les sens du terme) et Anglade. De longs ébats filmés de manière hypocritement soft pour ne pas tomber dans le X et cachant scrupuleusement tout coït. On est plus dans la gymnastique que dans l'érotisme bon teint L'orgasme visuel est loin mais à l'époque,de telles images étaient surprenantes et changeaient du zoom vers le plafond quand les images devenaient trop précises. .
    Tout au long du film du reste, la nudité est omniprésente : on voit même (trop) souvent Anglade la zigounette à l'air et on se demande ce que cette débauche de nudité ajoutait au scénario. Etait-ce bien utile où plus sûrement destiné à faire du blé ? Mais c'était payant au niveau du nombre d'entrées. !
    Quant à Dalle, on sent qu'elle n'est nullement complexée d'apparaître aussi souvent en tenue d'Eve, et qu'elle semble même éprouver du plaisir à se montrer "à poils," et à céder aux caprices voyeurs du réalisateur qui la manipule comme une marionnette. Aucune limite aux audaces. Encore que la Béatrice n'avait pas un caractère facile (sa vie non plus) et quand elle en voulait à Beineix ou que quelque chose la contrariait, tout ce qui lui tombait sous la main, elle le balançait vers son tortionnaire ! Anglade lui se tenait à l'abri ! Ce n'est du reste pas pour son intelligence ni ses talents de comédienne qu'elle avait été recrutée par Besnehard.
    Toujours vu sous l'angle provocation, tout le talent de Célarié apparaît d'un coup lorsqu'elle dévoile ses mamelles à l'écran Ce sera la seule raison de sa présence dans cette histoire dont le mari (pour rire) dit "qu'elle a toujours le feu au cul" ! Bref, cette prestation de Célarié ne figurera pas dans les annales les plus marquantes de sa filmographie : on a les films qu'on mérite.
    Et à part ça ? Pas grand-chose ! Beineix nous promène dans un récit abracadabrantesque dont il nous fait vivre ses propres fantasmes peut-être : des situations, des ambiances qu'il semble avoir picorées ça et là dans le roman de Djian :tantôt burlesques, touchantes, angoissantes, amicales, dramatiques pour en arriver au fil du temps à la folie furieuse de Dalle après sa grossesse nerveuse. Beineix s'amuse, délire, et nous on subit car ce (trop) long film s'éternise sur 140 mn dans sa version la plus pénible. Pour une fois, la musique vient se confondre agréablement avec les images : à la fin, la ritournelle en devient même aussi agaçante qu'une scie, mais peut-être est-ce voulu pour nous énerver et appuyer la démence progressive dans laquelle s'enfonce le récit.
    A la fin de cette histoire, on a l'impression d'être parti de n'importe où pour arriver nulle part, et une fois sorti de la projection, on respiregloutonnement à l'extérieur un grand bol d'air frais ! Notre température elle, n'aura pas varié un seul instant.
    Ce film est aujourd'hui complètement dépassé : ses outrances n'intéressent plus guère !
    willycopresto
    Marc H
    Marc H

    63 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 octobre 2007
    peut etre le meilleur film de beineix, kitch, drole,romantique,dramatique...superbe en un mot.
    Claude DL
    Claude DL

    93 abonnés 1 691 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 juillet 2009
    Film malsain car portant au pinacle la laideur dans le descriptif du caractère destructeur de la passion amoureuse, avec un côté masturbatoire ou exhibitionniste, comme on veut, sur les scènes de sexe et de nudité. Je mets une étoile en raison de l'excellent jeu des acteurs, de la photo et de la musique, mais les acteurs, justement, affichent une vulgarité qu'on n'a pas envie de partager, d'autant que les jeux ne semblent pas de composition, en particulier pour Béatrice Dalle... Apogée du misérabilisme, tout cela inspire un dégoût certain, et ceux qui adorent ce film , je n'ai pas envie de les rencontrer.
    Yannickcinéphile
    Yannickcinéphile

    2 442 abonnés 4 466 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mai 2016
    Bon, ben je me suis attaqué à un film fleuve, 37.2 le matin dans sa version longue ! Franchement, bien que perfectible, Beineix s’en sort vraiment bien pour parvenir à faire passer un film aussi long, sans spectacle !
    Perfectible en effet, car, malgré ce qu’on peut dire l’histoire est inégale. L’émergence de la relation entre Dalle et Anglade est finalement trop ellipsée, alors qu’à mon sens c’est vraiment le point focal qui peut ensuite justifier leur passion fusionnelle. Et dans un film de 3 heures il aurait peut-être été plus judicieux de prendre un peu plus de temps. Je crois que la première partie du film est trop faible sur le plan de l’histoire. Par la suite malgré quelques baisses de rythme et quelques séquences un peu inutiles (si on peut faire une version courte avec presque une heure de moins c’est qu’il y a quand même un peu de surcharge), le métrage sait surprendre et ne manque pas de saveur. Il y a du relief, de l’émotion, de la sensualité, pour un film fort, qui reste accrocheur. La longueur du film donne plus de relief à la mélancolie de la fin.
    Le casting est emmené par le duo Dalle-Anglade épaulé d’une grosse galerie d’acteurs. Dalle est quand même pas mal excessive lors de certaines scènes. Même si son personnage veut cela, les sautes d’humeur paraissent trop artificielles. Malgré tout elle se débrouille bien dans l’ensemble, face à un Jean-Hugues Anglade très solide. Pour ma part c’est plutôt les seconds rôles qui m’ont moins convaincus. Beaucoup de personnages, pas toujours très utiles, et parfois pas très bien campés (je pense par exemple à Dominique Pinon). En fait à quelques moments le film semble s’orienter vers une teinte burlesque, décalée, pas franchement pertinents.
    Formellement en revanche peu de choses à dire. Porté par une bande son aussi variée que séduisante, 37.2 le matin bénéficie d’une très belle photographie, de décors nombreux et toujours judicieusement choisis, tandis que Beineix signe une mise en scène de très belle facture. Le métrage saura vraiment séduire, surtout dans sa première partie et dans sa partie lozérienne. Il en ressort une ambiance séduisante, même si étrangement, malgré ses arguments indéniables, le film ne respire pas autant que prévu. Peut-être aurait-il davantage fallu saisir cette perspective atmosphérique, la sueur pour ressentir le poids du soleil, le vent, les sons d’ambiance en fait.
    A noter que le film propose pas mal de scènes de nudité, donc c’est à savoir.
    Franchement 37.2 le matin est un film très long, sans doute trop, mais qui ne manque pas d’arguments. Il y a des lacunes assez regrettables, et, à vrai dire, il est certain qu’en plus de 3 heures c’est difficile de ne pas mettre des scènes un peu vaines, de ne pas avoir des acteurs en-dessous sur un casting pléthorique… J’hésite entre le 3.5 et le 4, mais, pour la réserve que j’ai émise en plus sur l’ambiance, je pencherai pour la première solution.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 713 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 avril 2021
    Le film du scénariste et réalisateur Jean-Jacques Beineix suit la triste vie de Betty et de son amant Zorg. Du début torride de leur relation jusqu'à la fin amère nous somme obligé de partager leur chagrin d'amour. Mais 37°2 le matin ne parvient pas à captiver. En fait il ne réussit qu'à repousser en raison de la laideur du personnage central. Betty est une femme tellement folle qu'on ne sait jamais qui et pourquoi elle va attaquer. Il est donc très difficile d'éprouver de la sympathie pour elle ou pour tout autre personnage peu inspirant. Les deux personnages passent par un assortiment d'événements aléatoires et idiots qui semblent totalement artificiels et ne mènent à rien et cela dure pendant 3 heures. En fin de compte ce n'est qu'un film prétentieux et rien d'autre...
    patcollet
    patcollet

    6 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 août 2009
    ATTENTION CHEF-D'OEUVRE.
    Un de mes films préférés, sinon MON film préféré.
    La musique, les images, les couleurs, le scénario, les acteurs, les rires, les fous rires, les émotions, les tristesses, les pleures.
    Oui, vous avez bien lu, c'est surement le seul film où j'ai eu un fou rire et où j'ai également pleuré pour de bon.
    Et en plus il est FRANCAIS.
    Merci JJ Beinex, B Dalle et JH Anglade.
    loulou451
    loulou451

    123 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 décembre 2012
    Sans doute le film le plus connu de Beinex, mais loin d'être le meilleur. A des années lumière de "La lune dans le caniveau" ou de "Diva". Reste un petit ovni dans la production cinématographique française qui, rarement, sait nous offrir un "road movie" aussi bien réussi. Malgré ses longueurs, le film garde un charme indéniable, porté par l'interprétation sublime de Jean-Hugues Anglade et de Béatrice Dalle. Dommage que le film n'évite pas tant de clichés du genre...
    Aimerico
    Aimerico

    20 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 mars 2017
    Sublime. Version longue merveilleuse. Beineix est un poète et les acteurs sont exceptionnels. Dalle et anglade mais aussi lindon darmon le commissaire l epicière . Besnehard aussi! Le génie du casting. Et j'adore les musiques du film. Des images sublimes.
    Starwealther
    Starwealther

    78 abonnés 1 231 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2012
    Un film culte qui le mérite. J'ai beaucoup aimé et tout cela me donne envie de lire les romans de Philippe Djian.
    Laurent H
    Laurent H

    47 abonnés 1 016 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 janvier 2011
    Un film dur qui frôle avec la folie . il est très beau. Admirablement joué
    Plume231
    Plume231

    3 934 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 décembre 2011
    Dans les premières minutes, Beineix se laisse aller dans son esthètisme qui permet de temps en temps une belle image mais qui est surtout à deux balles, et on se demande (à tort il est vrai !!!) si Béatrice Dalle dans son premier (et dernier !!!) grand rôle n'en fait pas des tonnes dans l'hystérie. Et le film en fait parfois un peu trop dans l'apoilisme. Mais au fur et à mesure que celui-ci avance et qu'on comprend que le personnage de Dalle est en fait en train de sombrer peu à peu dans la folie, on se laisse prendre. Le cinéaste oublie son esthètisme ou alors c'est le spectateur qui l'oublie grâce au côté "amour passionnel et destructeur" de l'oeuvre, peu commun dans le cinéma français. Le film finit même par trouver une pleine puissance dans la séquence dans l'hôpital, très éprouvante, et dans la dernière, celle avec le chat, très forte. Une oeuvre pas totalement maîtrisée, qui n'évite pas les longueurs, mais qui est indéniablement intéressante pour son histoire d'amour.
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