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Antoinem
2 abonnés
36 critiques
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3,5
Publiée le 27 mai 2023
Alien 4 ! Comment celui-ci peut il se différencier de ces prédécesseurs ? Heureusement, il se rapproche plus de la version de David Fincher que de James Cameron. Un vrai film de SF des années 90, réussis dans le décor et le rythme global de l'intrigue. Un petit bémol pour le côté humain sûr puissant de Sigourney Weather. Après 4 films, on commence un peu à se lasser de ces scénario malgré tout similaire à chaque fois, et on confirme la supériorité du film de Ridley Scott par rapport à ces suivants.
Très reconnaissable visuellement, l'empreinte de Jean-Pierre Jeunet est indubitable! De même il développe la thématique centrale de la saga tout en insistant sur les manipulations génétiques fantasmées par la compagnie. Cependant, outre le peu d'innovations narratives, l'intrigue pâtit d'incohérences dans l'évolution des aliens et de failles dans le récit. Où la transformation en tétralogie ne fait guère de sens...
je suis d accord pour dire que jean pierre jeunet réussi son pari. déjà le scénario est cohérent l idee du clonage est bonne et l exploitation de la bête a des fins militaires voit enfin le jour... depuis le premier. les décors sont bien , le casting hétéroclite venant de tous horizons est très intéressants. le merite pour moi revient à jeunet qui réalise un film pleins d idees , de scènes et d actions originales celles sous l eaus par exemple , la salle des expériences, l accouchement.... certains dialogues et répliques sont aussi bien léchés. le film est vraiment vivant et l action y est bonne sauf certains effets numériques qui vieilissent tellement mal. un final ingénieux même si le bébé alien génétiquement modifié n est pas très convaincant , il permet de clôturer le chapitre de helen ripley
Malgre une bonne distribution, cette suite realise par jean pierre jeunet est le moins bon de la serie. Assez poussif qui se ressent dans la tension du scenario qui nous amene parfois a nous ennuyer.
Des 4 premiers films "Alien", celui çi est à mon sens de loin le moins réussi. Malgré quelques effets gores toujours réussis, le film dans son ensemble ne fait plus vraiment peur, remplacé par des personnages parfois intéréssants mais qui passent leur temps à s'envoyer des vannes. Le style Jeunet correspond moins bien à un James Cameron ou même à un David Fincher. Cela reste un divertissement qui se laisse regarder mais qui me semble moins intéressant que les autres.
Je ne ferais pas le jeu des comparaisons avec les autres Aliens trouvant cela dérisoire tant les 3 films derriére le maître étalon ont su se renouveller avec le talent propre uà chaque réalisateur , ce qui est assez rare pour le souligner ! Le huitiéme passager conservant l'effet dantesque de la surprise tout de même . Mais bon prendre en charge un 4 éme épisode au risque de se planter , tel était le défi que JP Jeunet a su relever en y insufflant des doses d'humour ( dans un Alien ) redonnant ainsi du souffle à la saga mais aussi par un regard acéré sur la nature humaine qui fait presque passer les Aliens pour l'antidote contre notre espèce ! Un joli zoo en folie que cet USM Auriga , vaisseau laboratoire où les plus débridées expériences en génétique ouvrent sur l'autre cauchemar ; pas celui des Aliens mais bien celui de notre propre espèce . L'influence Gillian est la bienvenue ( l'armée des 12 singes ) tant elle apporte sur l'esthétique par moment ( la cellule circulaire où y est retenue Ripley ) que la satire . Jeunet n'a pas à rougir tant l'œuvre qu il nous délivre transpire la passion de son Art !
Je n'ai pas trop accroché a ce volet car la décision de faire revenir Ellen Ripley ne m'enchante guère. Au niveau de la réalisation elle au poil. Les personnages je ne les aime pas. Ils sont tous détestable pour moi. Le film regorge de bonnes idées malgré tout. Tout n'est pas a jeté dedans. Ce qui m'attriste c'est de perdre l'aspect horreur et juste devenir un film d'action qui est moins bon dans cet aspect que le 2. je lui met un 12/20
2023: Un film ambitieux et dynamique. D'excellentes idées qui renouvellent la saga. Le grand defaut: la qualité des effets visuels concernant les vue extérieures des vaisseaux spéciaux, qui paraissent hors d'âge, comparé aux autres opus, un comble pour un film de 1997... Parcontre, cela est contre-balancé par de splendides plans d'aliens, esthétiquement sublimes. Comme chaque opus, il apporte sa propre singularité, ce qui fait la richesse de cette saga en constante évolution. Encore un excellent divertissement. La version cinéma, cette fois-ci, est plus judicieuse que la version 2003 (ce qui n'est pas le cas des 3 précédents opus).
18 ans ont passé depuis le premier opus. 18 ans où les effets spéciaux ont fait des progrès considérables. Et c'est, je crois, ce qu'on peut retenir du film. C'est bien fait. Quant au scénario, c'était clairement pas la priorité.
Une saga qui flirte avec l'horrifique ce quatrième opus poursuit l'idée avec des mélanges d'horreur et de sordide pour les amateurs de ces genres. Peu recommandable même si c'est pas trop mal fait et se laisse suivre.
Manifestement aussi à l'aise dans ses déplacements dans les coursives des astronefs que dans leurs compartiments inondés, le très célèbre xénomorphe montre une fois encore toute son adaptabilité face aux défis qui lui sont posés par des équipages plus ou moins désorientés qui ne cessent de se trouver sur sa route. Dans l'opus 4 de la série, Alien: la Résurrection (Alien: Resurrection, Jean-Pierre Jeunet, 1997), le lieutenant Ripley (ou plutôt son clone) et son équipage tentent – comme ils en ont l'habitude désormais – de fuir ce prédateur ultime tout en cherchant le meilleur moyen pour le détruire. Une fois n'est pas coutume, Ripley et ses compagnons viennent de plonger dans la partie inférieure inondée du vaisseau spatial Auriga en détresse pour rejoindre un ascenseur qui devrait leur permettre de gagner un pont supérieur. Tout en nageant, en se retournant de temps à autre pour scruter leurs arrières, inquiets, ils progressent au milieu des restes de ce qui fut une cuisine: assiettes, plateaux, mobilier renversé, tout cela git sur le sol ou flotte dans ce milieu liquide coloré de bleu, que réverbère à peine la lumière de quelques néons encore miraculeusement allumés. Mais leurs regards se figent soudainement en voyant, surgissant de la semi-obscurité aqueuse, deux aliens se diriger vers eux, lancés comme des torpilles, les membres bien alignés contre leurs corps, propulsés par leurs queues puissantes.
Voir la suite de ma chronique à partir d'un photogramme du film: http://etoilesdetoiles.blogspot.com/2021/12/le-xenomorphe-chez-jean-pierre-jeunet.html
Dernier Alien, et celui de trop à mon sens. Même si l'idée est intéressante de revoir Ripley 200 ans après les évènements du 3ème opus, clonée par une équipe de généticien afin de pouvoir récupérer le xénomorphe qui était au sein d'elle dans Alien3. Dans la station scientifique, une équipe de mercenaire, apportant une certaine cargaison, va se retrouver sous la menace d'un danger immense. Le temps sera alors compté pour sauver leur vie. Je passe les passages morbides et à la limite du film d'horreur. Le rythme est inégal, le scénario souvent incohérent et la mise en scène est farfelue, ce film est peu agréable à suivre. Bref : pour les fans principalement mais on est loin de la résurrection des 2 premiers chefs d'oeuvre !
Quatrième opus de la saga, Alien La Résurrection est également le moins bon. L'histoire nous amènes deux -cents ans après le suicide d'Ellen Ripley qui va renaître de ses cendres grâce à des scientifiques militaires qui vont la cloner. La suite est facile à deviner puisque l'équipage va être une nouvelle fois confronté aux aliens. Autant dire que ce scénario est assez fade, heureusement c'est l'épisode le moins long avec son heure quarante-cinq au compteur. Malgré l'ensemble plutôt bien rythmé, cela n’empêche pas de s'ennuyer ferme tout du long. Cette énième mouture n'a rien à raconter et devient limite parodique, en étant complètement à côté de la plaque au niveau de son ambiance. La faute à son ton pas du tout en accord avec cet univers crée qui n'évolue pas depuis trois films. On y croit plus, surtout que les personnages complètements creux n'aident pas à rendre cette intrigue intéressante. Ces derniers sont en plus interprétés par un casting peu brillant. La performance de Sigourney Weaver est surement sa moins bonne de la franchise et ce n'est pas Winona Ryder, Ron Perlman n'y Dominique Pinon qui relèvent le niveau. L'alchimie ne prend pas entre tous ces individus, leurs relations ne véhiculent absolument rien si ce n'est du ridicule à cause des dialogues médiocres sortant de leurs bouches. Hélas, le long-métrage ne se rattrape pas sur sa forme. En effet la mise en scène de Jean-Pierre Jeunet en fait beaucoup trop et manque de cohérence. Malgré des effets-spéciaux globalement bons, il ne se dégage rien esthétiquement, surtout que les décors se ressemblent tous. Il en est de même pour la b.o. signée John Frizzell assez insignifiante. Reste une fin sans saveur, à l'image de tout ce récit, venant enfin mettre un terme à Alien La Résurrection, qui clairement est le film de trop pour la franchise dont les précédentes suites n'étaient déjà pas indispensables.
Et c’est parti pour le 4ème opus… Mais pourquoi un 4ème opus alors qu’au terme du 3, Ripley se fait littéralement cramer. Il suffit juste de faire un bond dans le temps de près de 200 ans, pour découvrir l’histoire et se dire qu’en fait ce n’est pas l’opus de trop. Autant le 2 et le 3 exploitaient les mêmes ficelles que le premier ; ici, grâce à l’ingéniosité scénaristique (ou le tour de passe-passe diront les pisses froids), l’attrait renait de ses cendres à l’image de Ripley. Et faire de Ripley une femme mi humaine mi alien et la mère des aliens donnent vraiment un nouveau souffle à une série cantonnée sur les opus 2 et 3 à l’action pure. Le casting plus hétéroclite et moins bodybuildé apporte la finesse et l’humour qu’autorise les dialogues. Et puis, ce n’est pas négligeable et ce grâce aux désistements en chaine ; c’est le réalisateur roannais d’Amélie Poulain aux manettes. Jean-Pierre Jeunet apporte sa touche personnelle surtout que les studios US lui ont permis d’amener son chef opérateur et Pitof aux effets spéciaux. Une belle réussite qui font du 1 et du 4, les meilleurs « Alien » encadrant deux autres films plus anecdotiques. TOUT-UN-CINEMA.BLOGSPOT.COM