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Votre avis sur Baywatch - Alerte à Malibu ?
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Film sympa et rythmé.
Ça tourne quand même beaucoup autour du physique et du sexe, et les blagues ne sont pas très fines. Cependant on sait à quoi s'attendre au vu des bandes annonces et des affiches.
Après il y a du rythme et de la bonne humeur ce qui rattrape les nombreux défauts.
Ça tourne quand même beaucoup autour du physique et du sexe, et les blagues ne sont pas très fines. Cependant on sait à quoi s'attendre au vu des bandes annonces et des affiches.
Après il y a du rythme et de la bonne humeur ce qui rattrape les nombreux défauts.
shindu77
La note est quelque peu surévalué mais il faudrait clairement prix prendre le film ou second voir même au troisième ou quatrième degré. Quelques petits moments drôles mais c’est quand même très potage dans l’absolu c’est un film léger, que ce soit dans son scénario dans les tenues portés et surtout par les femmes et comme l’air à travers la plage le soleil le vent. À voir une fois pour le côté nostalgie.
Un film léger et sympa. La musique est actuelle et bien choisie, Le casting aussi. On rigole, on pouffe devant le préjugé des scènes et des ralentis. Très sympa !
Les premières minutes annoncent le pire, les suivantes le confirment. Humour potache, enquête policière bidon et casting plutôt bien gaulé. Déjà que je ne regardais « Alerte à Malibu » que pour la généreuse plastique de ces actrices, son passage sur grand écran ne fait pas mieux.
Le parti-pris parodique était une option qui pouvait s'entendre. Mais voilà, tout vole excessivement bas et principalement sous la ceinture. L'appendice masculin et ses bijoux de famille tiennent en fait le premier rôle du film : cités à longueur de réplique, ils font l'objet en particulier de deux scènes affligeantes, dont une à la morgue qui me laisse encore pantois. Triste cinéma.
On pouvait espérer que la trame du film, avec un pseudo spoiler: traffic de drogue
nous aide à passer le temps. Mais il n'en est rien. Le scénario a visiblement été écrit par un môme de 7 ans, tout est sans queue (pour le coup, ici, on en aurait bien eu besoin) ni tête, d'une totale idiotie et on se fout royalement de l'enjeu. A ce niveau là, cela ne peut être que totalement assumé par la production, qui avait décidé dès le départ que tout ceci servirait de toile de fond (mais vraiment de fond) à des jolies filles (et elles le sont) et un humour trash.
Quand je vois que le film obtient une moyenne de 3, je suis profondément affligé. A priori, la comédie américaine, qui fut si brillante et si fine, a définitivement basculé dans l'humour régressif… Mais cela semble plaire au public, donc il faut croire que les studios américains ont raison. Et moi je n'ai plus qu'à ressortir mes DVD de Billy Wilder, Hawks et Capra pour me réconcilier avec la comédie américaine.
On pouvait espérer que la trame du film, avec un pseudo spoiler: traffic de drogue
nous aide à passer le temps. Mais il n'en est rien. Le scénario a visiblement été écrit par un môme de 7 ans, tout est sans queue (pour le coup, ici, on en aurait bien eu besoin) ni tête, d'une totale idiotie et on se fout royalement de l'enjeu. A ce niveau là, cela ne peut être que totalement assumé par la production, qui avait décidé dès le départ que tout ceci servirait de toile de fond (mais vraiment de fond) à des jolies filles (et elles le sont) et un humour trash.
Quand je vois que le film obtient une moyenne de 3, je suis profondément affligé. A priori, la comédie américaine, qui fut si brillante et si fine, a définitivement basculé dans l'humour régressif… Mais cela semble plaire au public, donc il faut croire que les studios américains ont raison. Et moi je n'ai plus qu'à ressortir mes DVD de Billy Wilder, Hawks et Capra pour me réconcilier avec la comédie américaine.
Audrey L
Pas la purge annoncée par la presse. Sans rien attendre de ce film a priori très bas de pantalon, ce qu'il est (ne nous le cachons pas), il y a tout de même quelques séquences qui m'auront faite sourire, et l'action est bien présente pour contenter ce public qui, comme moi, n'est pourtant pas friand des blagues lourdes. Évidemment, il y a tout de même des gags "organes intimes" : le jeune homme qui se coince "l'appareil" dans un transat, les personnages qui font parler leur "boules" (plus vulgairement dit dans le film), etc... Mais il y a d'autres blagues qui sont sympathiques de temps en temps, moins lourdes que les productions comme Nos Pires Voisins, et rendent donc le film plus abordable pour tous (sauf tout-petits, cela va de soi). Dwayne Johnson est dans un rôle qui lui va vraiment bien, celui du maître-nageur que tout le monde apprécie et qui va enquêter sur une affaire mafieuse qui traîne sur sa plage... Zac Effron, le petit nouveau prétentieux qui a gagné deux médailles d'or (on le saura !) qui débarque sur la plage de Mitch, fait ouvertement des vagues... Zac Effron est correct, mais a tendance à s'enliser dans son jeu de jeune "foufou" au corps de tombeur, ce qui devient vite redondant dans sa filmographie... Mais, encore une fois, les gags sont moins bas de plafond que ce qui était annoncé, et il y a beaucoup d'action, avec en guest les anciens de la série Alerte à Malibu, et un petit rôle d'Oscar de The Office... Un bon moment, contre tout préjugé.
Alerte au ridicule. Dwayne Johnson se transforme en donneur de leçons dans ce remake de bas niveau. On rit peu et on s'ennuie beaucoup.
Un film très léger qui le sais, c'est un excellent point de départ. Avec ce qu'on pouvait craindre, je trouve que le scénario et les gages font dans la mesure. Il y a bien sur des blagues bien vues mais aussi des clichés et des stéréotypes sur les personnages détournées avec plein d'autodérision. Bref, un bon moment pour les zygomatiques avec un message aussi positif que les situations sont improbables.
Même au pinacle de son succès, je n’ai jamais vraiment suivi avec attention ‘Alerte à Malibu’, même si une lecture attentive de Playboy me permettait de connaître intimement une bonne partie de son casting. Je savais cependant que le concept même de la série - des super maître-nageurs qui résolvent des enquêtes, tabassent des requins et arrêtent de méchants trafiquants de drogue - interdisait qu’on la prenne au premier degré, peu importe la volonté de ses auteurs : de toute façon, quand Pamela ou Erika Eleniak commençaient à courir sur le sable en swimsuit rouge, on était supposé cesser de s’intéresser à quoi que ce soit d’autre. A l’image de ce qui avait été fait pour ‘21 Jump street’, les responsables du remake ont bien compris le mélange de souvenirs amusés et de ricanements rétrospectifs que suscite ‘Baywatch’ et ont donc convenu qu’il suffisait tout simplement de reprendre les intrigues et les rebondissements stupides de la série avec le même aplomb, mais agrémentée d’un sourire en coin qui prouverait que personne n’est dupe. Les critiques ont été très négatives, partout où le film est sorti : j’ai l’impression qu’elles proviennent de ceux qui imaginaient y retrouver de l’aventure, de l’exotisme, des palmiers, des planches de surf et des sauveteuses à gros poumons,...bref, de ceux pour qui ‘Baywatch’ représentait, envers et contre tout, quelque chose. Moi, j’espérais y retrouver des clichés navrants, des dialogues faussement cool, une Californie de pacotille et des blondasse idiotes...bref, un série stupide remixée en film à la con : j’ai donc été raisonnablement satisfait du résultat, qui sombre corps et âme dans un ridicule plutôt bien assumé sans que jamais on puisse prendre ces clichés, ces péripéties téléphonées et ces scènes d’action parodiques pour argent comptant. Bien sûr, on pourrait rétorquer que les blondasses ne sont pas si bêtes et que Dwayne Johnson tente malgré tout d’héroïser Mitch Buchannon...mais c’est tellement gros qu’il faudrait vraiment se forcer pour y croire. Dommage que l’humour méta soit ici plus pataud et plus insistant que dans ‘21 jump street’ justement : baptiser le personnage joué par Zac Efron de tous les noms de Boys Band possibles et imaginables, c’est marrant mais il aurait fallu limiter le running-gag à une ou deux occurrences. Et les remarques sur les clichés de la série (courses au ralenti, taux d’humidité cutanée parfait,...) sont une rupture implicite du quatrième mur pas vraiment indispensable si elle est répétée plus de deux fois….
Ce qui est sur c'est que ce n'est pas un bon film. Cependant il faut avouer que le film n'avait pas pour but d'être intelligent, profond et bien écrit. Au contraire, il avait pour but d'être la caricature de la série en elle-même. C'est juste un condensé de testostérone et de connerie femme à grosse poitrine et avec très sexy. Et sur ce point de vue le film est bien évidemment un excellent film car il réussit bien ce qu'il fait. Mais même si on lui donne cette excuse, le film n'est pas fameux une fois mis en bouche. Bref, si vous ne le voyiez pas vous vous en remettrez!
Comédie fort sympathique par son côté décomplexé et ses références diverses.
C'est pas très fin (sans blague) mais pour un visionnage sans prise de tête ça fait le job.
C'est pas très fin (sans blague) mais pour un visionnage sans prise de tête ça fait le job.
Difficile de trouver plus cultissimement kitsch dans les années 90 que la série "Alerte à Malibu" ("Baywatch" pour les puristes). Entre le postulat de départ (le quotidien "agité" de sauveteurs sur une plage californienne), son générique tellement 90’s, sa galerie d’actrices plus canons les unes que les autres (à défaut d’être vraiment crédibles), ses courses au ralenti avec gros plans bien suggestifs, ses maillots de bain rouge (assorti à la bouée de sauvetage) ou encore ses scénarios abracadabrantesques, la série étant tellement improbable qu’elle est rapidement devenue indispensable et a marqué durablement la culture populaire. Une telle série ne pouvait, cependant, prétendre aux honneurs d’une adaptation ciné "premier degré"... sauf à friser le ridicule. Ainsi, comme l’inégal "Starsky et Hutch" et l’excellent "21 Jump Street" avant lui, "Baywatch" est une comédie policière, parodique mais pas trop, qui joue à fond la carte de l’autodérision. La recette est, désormais, connue mais fonctionne plutôt bien ici. Le réalisateur Seth Gordon (à qui on doit l’hilarant "Comment tuer son boss ? ") démontre, à nouveau, son talent en matière de rythme comique et n’économise pas ses efforts en matière de gags et de dialogues WTF. Gordon s’amuse avec les codes de la série et la met au goût du jour (ou plutôt du ton habituel des comédies US gentiment trash, façon "Very Bad Trip"). On moque, ainsi, tout ce qui a fait le succès
spoiler:
(CJ qui court au ralenti au grand étonnement de ses collègues, la police qui se plaint des enquêtes menées par les sauveteurs, les caméos de David Hasselhoff et Pamela Anderson…)
, on brocarde les personnages d’origine en les poussant assez loin spoiler: (Mitch en chef protecteur mais également vanneur et très soucieux de sa plastique, Brody en jeune prodige arrogant, CJ en bombe sexuelle objet de tous les fantasmes…)
, on place des fulgurances comiques inattendues (le running gag de Mitch qui refuse d’appeler Brody par son nom, les plans sur son aquarium, la réaction "communautariste" de Brody lorsqu’il se sent insulté par le flic…), on ne néglige pas le quota de séquences explosives dans des décors de rêve… Quant au casting, il fait la part belle aux gravures de mode n’hésitant pas à se moquer d’eux-même, à commencer par Dwayne Johnson et Zac Efron (qui ne cessent de confirmer, l’un comme l’autre, leur formidable talent comique) mais, également, l’amusant Jon Bass en "mec normal" en décalage avec le reste de la bande. Côté filles, l’hommage à "Alerte à Malibu" est parfait avec, notamment, les deux bombes atomiques que sont Alexandra Daddario et Kelly Rohrbach (j’ai moins été convaincu par Ilfenesh Hadera dont le rôle est plus effacé). Drôle, rythmé, sexy… c’est à se demander pourquoi le film s’est vautré lors de sa sortie et s’est fait démolir par les critiques. L’explication se trouve, peut-être, dans les trous d’airs de son scénario (qui n’est pas forcément la priorité du réalisateur) et, surtout, dans ses maladresses pourtant évitables. On a, ainsi, droit à de multiples blagues scatos (avec secrétions corporelles en tout genre et autres "parties intimes" coincées), parfois drôle mais dont la répétition donne l’impression que le film veut se vautrer dans un humour beauf (ce qui est très réducteur). Quant à spoiler: la scène de travestissement de Zach Efron
, elle est carrément gênante. Est-ce la raison pour laquelle le public s’est focalisé sur la vulgarité (assumée) de "Baywatch" ? Sans doute, En tout cas, pour ma part, j’ai trouvé que Seth Gordon avait réussi son pari. Je suis visiblement l’un des seuls…
, on brocarde les personnages d’origine en les poussant assez loin spoiler: (Mitch en chef protecteur mais également vanneur et très soucieux de sa plastique, Brody en jeune prodige arrogant, CJ en bombe sexuelle objet de tous les fantasmes…)
, on place des fulgurances comiques inattendues (le running gag de Mitch qui refuse d’appeler Brody par son nom, les plans sur son aquarium, la réaction "communautariste" de Brody lorsqu’il se sent insulté par le flic…), on ne néglige pas le quota de séquences explosives dans des décors de rêve… Quant au casting, il fait la part belle aux gravures de mode n’hésitant pas à se moquer d’eux-même, à commencer par Dwayne Johnson et Zac Efron (qui ne cessent de confirmer, l’un comme l’autre, leur formidable talent comique) mais, également, l’amusant Jon Bass en "mec normal" en décalage avec le reste de la bande. Côté filles, l’hommage à "Alerte à Malibu" est parfait avec, notamment, les deux bombes atomiques que sont Alexandra Daddario et Kelly Rohrbach (j’ai moins été convaincu par Ilfenesh Hadera dont le rôle est plus effacé). Drôle, rythmé, sexy… c’est à se demander pourquoi le film s’est vautré lors de sa sortie et s’est fait démolir par les critiques. L’explication se trouve, peut-être, dans les trous d’airs de son scénario (qui n’est pas forcément la priorité du réalisateur) et, surtout, dans ses maladresses pourtant évitables. On a, ainsi, droit à de multiples blagues scatos (avec secrétions corporelles en tout genre et autres "parties intimes" coincées), parfois drôle mais dont la répétition donne l’impression que le film veut se vautrer dans un humour beauf (ce qui est très réducteur). Quant à spoiler: la scène de travestissement de Zach Efron
, elle est carrément gênante. Est-ce la raison pour laquelle le public s’est focalisé sur la vulgarité (assumée) de "Baywatch" ? Sans doute, En tout cas, pour ma part, j’ai trouvé que Seth Gordon avait réussi son pari. Je suis visiblement l’un des seuls…
Cinememories
L’adaptation de la série éponyme a de quoi suscité de l’intérêt, notamment lorsque le casting présente un potentiel de premier ordre pour une parodie. De plus, le réalisateur ne laisse pas indifférent et donc l’expérience de Seth Gordon au profit de cette comédie rythmée aurait de quoi motiver après ses précédentes réalisations, « Comment Tuer Son Boss ? » et « Arnaque à la Carte ». Evidemment, le film proposera très peu de choses, voire rien de tout cela. Les remplaçants de David Hasselhoff et de Pamela Anderson ont pensé bien faire, mais les maladresses s’enchainent et le divertissement boit la tasse.
Constamment contrebalancé entre le rétro et la pop culture actuelle, la vie sur la plage fait l’objet d’une enquête façon scooby-gang, bien trop prévisible sans pour autant en apprécier les découvertes. Pourtant, il y a matière à développer un aspect plus héroïque dans le sauvetage sur mer. C’est peu commun au cinéma et on regrette de ne pas en voir plus, car les pompiers de la plage ce sont bien Mitch Buchannon (Dwayne Johnson) et sa fanfare. Au passage, la qualité esthétique n’est qu’une tromperie, au même titre de chaque défilé que les personnages font à chaque apparition. C’est totalement gratuit et sans intérêt. Ils mettent leur vie en danger pour sauver des inconnus, mais non. On préfère tisser un pseudo fil rouge mal mené où on essaye de lui donner un corps du genre policier, sans vraiment le vouloir.
C.J. Parker (Kelly Rohrbach) et Summer Quinn (Alexandra Daddario) ne sont présentes que pour justifier l’arrière-plan et pour remplir un cahier des charges, trop simpliste. On ne s’arrête pas pour les prouesses du jeu d’acteur, il n’y a pas le temps de traiter cela. Mais avec l’arrivée de la recrue égoïste et ambitieuse qu’est Matt Brody (Zac Efron), il y a de quoi rompre avec la routine et la continuité de la série. Et une fois encore, les pectoraux prennent l’ascendant sur la raison et le fait de se vider l’esprit en regardant ce film justifie à lui seul la principale motivation d’un scénario niais et bourré de vulgarités à outrance. On aura beau l’acclamer pour ses bonnes intentions, mais l’œuvre ne se donne même pas la peine de démonter son discours machiste… Doit-on donc s’arrêter au constat d’une mauvaise débauche, au parfum huilé des formes de chacun des secouristes ? A cogiter.
« Baywatch : Alerte à Malibu » a emprunté une direction inattendue et mal accueilli par son manque de consistance. C’est plat du début à la fin et les scénaristes ne peuvent rattraper ce manque de risque. Miser sur une parodie absurde, décalée et assumée aurait couvert bien des défaillances dans le propos, mais le film passe à côté de cette éventuelle alternative qui n’aurait pas fait grimacer un public ouvert. En échange la série B domine, tout comme la justesse qu’on lui associe et qu’on déplore. Salé de bout en bout, le récit se piège tout seul dans la fournaise de ses personnages, trop clichés pour bien les apprécier.
Constamment contrebalancé entre le rétro et la pop culture actuelle, la vie sur la plage fait l’objet d’une enquête façon scooby-gang, bien trop prévisible sans pour autant en apprécier les découvertes. Pourtant, il y a matière à développer un aspect plus héroïque dans le sauvetage sur mer. C’est peu commun au cinéma et on regrette de ne pas en voir plus, car les pompiers de la plage ce sont bien Mitch Buchannon (Dwayne Johnson) et sa fanfare. Au passage, la qualité esthétique n’est qu’une tromperie, au même titre de chaque défilé que les personnages font à chaque apparition. C’est totalement gratuit et sans intérêt. Ils mettent leur vie en danger pour sauver des inconnus, mais non. On préfère tisser un pseudo fil rouge mal mené où on essaye de lui donner un corps du genre policier, sans vraiment le vouloir.
C.J. Parker (Kelly Rohrbach) et Summer Quinn (Alexandra Daddario) ne sont présentes que pour justifier l’arrière-plan et pour remplir un cahier des charges, trop simpliste. On ne s’arrête pas pour les prouesses du jeu d’acteur, il n’y a pas le temps de traiter cela. Mais avec l’arrivée de la recrue égoïste et ambitieuse qu’est Matt Brody (Zac Efron), il y a de quoi rompre avec la routine et la continuité de la série. Et une fois encore, les pectoraux prennent l’ascendant sur la raison et le fait de se vider l’esprit en regardant ce film justifie à lui seul la principale motivation d’un scénario niais et bourré de vulgarités à outrance. On aura beau l’acclamer pour ses bonnes intentions, mais l’œuvre ne se donne même pas la peine de démonter son discours machiste… Doit-on donc s’arrêter au constat d’une mauvaise débauche, au parfum huilé des formes de chacun des secouristes ? A cogiter.
« Baywatch : Alerte à Malibu » a emprunté une direction inattendue et mal accueilli par son manque de consistance. C’est plat du début à la fin et les scénaristes ne peuvent rattraper ce manque de risque. Miser sur une parodie absurde, décalée et assumée aurait couvert bien des défaillances dans le propos, mais le film passe à côté de cette éventuelle alternative qui n’aurait pas fait grimacer un public ouvert. En échange la série B domine, tout comme la justesse qu’on lui associe et qu’on déplore. Salé de bout en bout, le récit se piège tout seul dans la fournaise de ses personnages, trop clichés pour bien les apprécier.
J'ai adoré ce film.
Premièrement, les plans sont impressionants, la plage est bien mise en valeur.
Deuxièmement, le casting est exellent, Zac Efron metrisent parfaitement son rôle de bad boys prétentieux, ainsi que Dwayne dans son rôle de maitre sauveteur.
Troisièmement, la bande sonore est super, les musiques sont rythmées.
Quatrièmement, le film est plein de rebondissements, surtout quand la méchante flirte avec Dwayne.
Premièrement, les plans sont impressionants, la plage est bien mise en valeur.
Deuxièmement, le casting est exellent, Zac Efron metrisent parfaitement son rôle de bad boys prétentieux, ainsi que Dwayne dans son rôle de maitre sauveteur.
Troisièmement, la bande sonore est super, les musiques sont rythmées.
Quatrièmement, le film est plein de rebondissements, surtout quand la méchante flirte avec Dwayne.
Certes pas le film le plus fin et profond de l'année, mais qu'est ce que je me suis marré! A voir au moins une fois si votre niveau d'exigence en la matière n'est pas trop serré!
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