De la propagande 1925 venue d’URSS, un cinéma qui fut son instrument de musique opéra renommé mondialement célèbre, une civilisation entière remarquable, d’abord classique, puis intéressante, enfin captivante.
Cette réalisation chef-d’œuvre est mise en scène dans tous ses états, l’âme politique se ressent dans ce film en noir et blanc muet, c’était l’époque du Léninisme, Stalinisme, Trotskisme, des rivalités entre chers camarades au sein du Parti communiste soviet.
Le cinéma se laisse emporter en laissant place à l’histoire se passant en 1905, l’empire russe appartient au Tsar, un ancien régime sur le point d’être révolu, société de seigneur, système hiérarchie féodale archaïque, en plus d’être répressif envers son peuple laborieux, misérable, tyrannisé, amenés-les sur le plateau de la révolte.
Nous montrer comment le bolchevisme en est arrivé au pouvoir à écrire l’histoire russe, en mettant en scène sa dramaturgie vers la révolution anti-tsariste, un film comme un cas d'école pour professeurs, à bord de ce cuirassé Potemkine, de simples soldats aux officiers échelons de l’armée tsariste.
La distinction des grades se voit en représentation cliché, les supérieurs font du zèle et se mettent en avant, rappellent leurs subordonnés à fermer les yeux, en mangeant de la viande avariée infestée de larves, non des vers.
Le comble avec certifié par d’expert qualifié scientifique douteux, la mutinerie commencera, le soutien populaire est enthousiaste furieusement, une réalisation qui y participe avec enthousiasme au décor politique effervescente.
Pose ces images soviétiques choisies précautionneusement basées sur une histoire vraie, regardons un bouquin d’histoire archivé, la romance tournée quelque part à Odessa, se transforme en bain de sang pendant la première tentative révolutionnaire.
Les forces armées monarchistes injustement braquent sur une foule pacifique protestataire, impuissante devient mouvement en panique face à la force militaire aveugle du tsarisme pure et dur, un ordre exécuté.
Père, mère et enfant piétiné, dévalent l’escalier descendant à sauver ce qu’on peut, la morale de l’Union Soviétique demanda justice du pourquoi, s’adressant ainsi au Tsar de toute les Russie, seul responsable de la fondation républicaine socialiste bolchevique octobre 1917.
Ce tableau sacrifice n’ayant plus rien à perdre, dans l’émotion que nous joue pendant une heure de temps qui défile passionnément instructive, impressionnant inspiration de procédé, une modernisation du cinéma, la voix radio 📻retentit son mutisme.