Mon compte
    La Bataille d'Alger
    Note moyenne
    4,2
    603 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur La Bataille d'Alger ?

    61 critiques spectateurs

    5
    21 critiques
    4
    29 critiques
    3
    9 critiques
    2
    1 critique
    1
    0 critique
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    khalidou31
    khalidou31

    2 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 septembre 2024
    Le meilleur film de guerre du monde, incroyable Histoire d’un peuple qui se bat pour son indépendance
    White Fingers
    White Fingers

    15 abonnés 1 237 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mai 2024
    Ce film, remarquablement dirigé par Gillo Pontecorvo et avec un seul acteur professionnel (Jean Martin), donne l'impression de regarder un documentaire. Il ne prend pas parti, mais expose simplement les horreurs et les actions des deux côtés, montrant à la fois les tactiques brutales des colonisateurs français et les réponses désespérées des insurgés algériens. Ce qui m'a le plus marqué, c'est la manière dont le film dépeint la montée en puissance de la violence, transformant des manifestations individuelles en une guerre totale et impitoyable. Les scènes de torture des prisonniers rebelles et les attentats dans des lieux publics sont particulièrement poignantes et reflètent la réalité troublante de cette période. Quelques années après la libération de la France occupée, les politiques et les militaires français nous montrent le revers de la médaille et leur formidable capacité à l’oubli ou au déni. Ils ne retiennent rien des leçons de l’histoire. La direction et la cinématographie sont sublimes, capturant l'intensité brute et la complexité émotionnelle des événements. « La Bataille d'Alger » est un film puissant qui ne sera jamais oublié une fois vu. Il offre une perspective neutre et profonde sur une guerre qui, malgré sa brutalité, a finalement conduit à l'indépendance algérienne. Ce film est une œuvre essentielle pour comprendre non seulement l'histoire spécifique de l'Algérie, mais aussi les impacts durables du colonialisme et les luttes pour la liberté nationale. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
    ClashDoherty
    ClashDoherty

    228 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mars 2023
    Interdit en France pendant de nombreuses années (jusque dans les années 2000, je crois), sauvagement critiqué à sa sortie, ce film, tourné en noir & blanc à la manière d'un documentaire (caméra à l'épaule, souvent, en raison de l'étroitesse des rues de la Casbah d'Alger) avec d'anciens membres du FLN et Yacef Saadi, un des leaders de la révolte, dans son propre rôle, est un document. Réalisé par celui avec qui le scandale arrivera au moins deux fois spoiler: (avec ce film et avec "Kapo", film de fiction sordide sur les camps de la mort se terminant sur un plan-séquence dégueulasse d'opportunisme, ou comment chercher à faire du techniquement beau avec une scène qui aurait nécessité une sobriété exemplaire)
    , l'italien Gillo Pontecorvo, "La Bataille d'Alger" est un film qui ne s'embarrasse pas de calmer les tensions qui existaient encore entre l'Algérie récemment indépendante et la France son ancien colonisateur. Qui ne s'embarrasse pas de brosser dans le sens du poil. Dans un sens, tant mieux, et dans un autre sens, tant pis, on aurait aimé un peu plus de neutralité, aucun des deux camps n'étant totalement blanc ou totalement noir.
    Ca a vieilli visuellement parlant (surtout que le noir & blanc est en gros grains) mais ça reste excellent et assez radical.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    89 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 février 2023
    Réalisé peu de temps après la fin de la guerre d’Algérie, La bataille d’Alger figure parmi les meilleurs films politiques de l’histoire du cinéma. Ce long-métrage en montrant à l’écran les exactions menées par les deux camps – le FLN d’une part et les forces de l’ordre puis l’armée française d’autre part – n’est certainement pas le film de propagande que certains ont cru percevoir. Une vision biaisée que certains cherchaient à imposer durant toute la décennie des années 1970. En effet, ce film réalisé en 1965 aborde un sujet éminemment sensible en France et ne connut une exploitation dans l’hexagone que cinq ans plus tard. Jusqu’au début des années 1980, nombre de ses projections en salles furent émaillées d’incidents. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com/festivals/c/fifp2023/#BA
    Criticman17
    Criticman17

    5 abonnés 235 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 novembre 2021
    Un film qui est un mélange de documentaire et de fiction sur cette période de l'Histoire qui aboutit à la naissance d'un état l'Algérie. Alors à qui la faute ou plutôt comment est-on en arrivé là? Ce film témoigne de la violence qu'il y a eu des deux côtés entre la France et le peuple algérien. On a dû mal à comprendre la stratégie militaire employée par l'armée française qui n'a pas l'effet escompté. L'armée française crée par ces manœuvres et cette réaction agressive face à la violence des attentats du FLN une escalade de brutalité et une opposition du peuple algérien aux propos de dissuasion de l'armée française sur le FLN. Le film a la force de montrer des plans très poignant de la Casbah et on a l'impression que ce quartier d'Alger vit et observe le cours de l'histoire.
    Il y a des films qui traverse le temps et qui servent au travail de mémoire pour ne pas oublier comme la Casbah qui a observé, vécue cette bataille d'Alger et qui en garde des séquelles. Ce film est utile est il permet d'informer, de se souvenir et de mieux comprendre la difficulté qu'il peut y avoir entre la France et l'Algérie. La solution reste le temps pour apaiser et ne pas raviver les anciennes blessures et amorcer un processus de réconciliation qui sera long mais indispensable vu la proximité géographique, sociale, culturelle. L'histoire au pluriels de nos deux états France et Algérie devront faire cet effort pour réparer cette relation et de nouveau créer du lien pour former un pont solide entre l'Algérie et la France.
    Pascal
    Pascal

    159 abonnés 1 649 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 octobre 2021
    J'ai vu ce film déjà quatre ou cinq fois au cours du temps et je profite de sa ressortie en salle dans une version remasterisee. Couronné du lion d'or à Venise en 1966, "la bataille d'alger " est précédé d'une forte réputation complètement méritée. Le temps n'a pas amoindri la force de ce film réalisé il y a plus d'un demi siècle. Filmé à la manière des meilleurs films de Francesco Rosi, Pontecorvo nous relate à la manière d'un documentaire les épisodes de la bataille d'Alger pendant la guerre d'Algérie. Autant dire tout de suite que les français et la France n'ont pas le beau rôle ici. Le rôle majeur de combattants du FLN dans le scénario explique cela, mais toute subjectivité n'est pas forcément une erreur. Il n'en reste pas moins vrai que le film présente de telles qualités que sa vision me parait indispensable.
    Olivier Barlet
    Olivier Barlet

    294 abonnés 394 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 octobre 2021
    On retrouve là l'ambiguïté fondamentale d’une révolution qui se fait dans la violence en utilisant les mêmes moyens que son ennemi et qui a du mal ensuite à se départir de ce que les méthodes de ce combat ont inscrit en elle. Il montre les femmes perpétrer trois attentats à la bombe simultanés dans des cafés fréquentés par des Français en réponse aux attentats organisés dans la Kasbah avec l’aide d’éléments fascisants de la police française. Pontecorvo ne recule devant aucun effet pour mobiliser (manipuler) le spectateur. Il joue l’efficacité : musique, action, rythme, violence, ficelles du film de guerre et de l’enquête policière, suspens etc. contribuent à créer une tension sans qu’aucun camp ne sorte grandi de l’affaire, chacun employant les mêmes méthodes.
    Roub E.
    Roub E.

    949 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 juillet 2021
    Une plongée dans la guerre qui ne disait pas son nom. La bataille d’Alger c’est un film mi document mi fiction sur les événements et mouvements qui ont conduis à l’indépendance algérienne. Tortures, attentats, ces sujets encore sensibles aujourd’hui sont déjà traités dans ce film qui s’avère passionnant. Il montre aussi bien le côté inéluctable de l’indépendance et du coup le grand gâchis qu’a été l’entêtement français dans cette décolonisation manquée. Dommage que tous les acteurs ne soient pas au niveau et que cela nuise à l’immersion dans le récit, car sur beaucoup d’autres points de vue c’est remarquable.
    Steve Spielberg
    Steve Spielberg

    14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 juin 2021
    Chef d’œuvre du genre. Tellement bluffant qu’on en oublie presque qu’il s’agit d’un film et non d’un documentaire... à voir absolument une fois dans sa vie.
    Ricco92
    Ricco92

    224 abonnés 2 149 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2021
    Pour comprendre le fonctionnement des guerres révolutionnaires, l’armée américaine projette régulièrement un film ne provenant pas du Nouveau Monde et traitant d’un conflit auquel ils n'ont pas participé. Il s’agit du Lion d’or de la Mostra de Venise 1966 : La Bataille d’Alger. Le film de Gillo Pontecorvo possède une description extrêmement réaliste des "événements" d’Algérie. On a presque l’impression d’assister à un documentaire tellement l’ensemble est crédible. Les acteurs sont criants de vérité (à l’exception étrangement du seul acteur professionnel, Jean Martin, qui semble parfois réciter son texte). L’ensemble est porté par une musique composée à la fois par Ennio Morricone et Gillo Pontecorvo où l’on reconnaît fortement la patte du premier. Hélas, la forme documentaire de l’ensemble joue un peu contre le film puisque l’absence de véritable protagoniste principal empêche toute réelle implication du spectateur et l’accumulation des séquences d’attentats crée un effet un peu redondant. Ces deux aspects peuvent ainsi donner au spectateur l’impression de longueur et que le film aurait pu être nettement raccourci. Néanmoins, le réalisme de La Bataille d’Alger rend le film de Gillo Pontecorvo très intéressant d’un point de vue historique plus que cinématographique.
    jroux86
    jroux86

    7 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 juin 2024
    Il aura fallu attendre 1966 et un cinéaste italien, Gillo Pontecorvo, pour que le cinéma livre son œuvre la plus puissante sur la guerre d’Algérie, mélange de lyrisme révolutionnaire et de rigueur historique qui continue de servir aujourd’hui le nécessaire travail mémoriel. Et d’entrée de film, le décor est planté : celui-ci s’ouvre sur un détenu du FLN encore tremblant, "réconforté" par des militaires français alors que s’achève une séance de torture que l’on devine éprouvante. Rapidement, celui-ci est sommé de dévoiler l’endroit où se cache Ali la Pointe, dernier chef du FLN à échapper à l’armée française alors que la bataille d’Alger touche à sa fin. S’ensuit une séquence qui s’avère être le dénouement du film : les soldats français débarquent en nombre dans les rues de la casbah afin de débusquer le rebelle. Gros plans sur les visages d’hommes et de femmes traqués.

    Puis c’est un retour en arrière : nous sommes en 1954, année qui marque le début d’une guerre qui ne dit pas encore son nom. En voix off, la lecture du tout premier communiqué du FLN sur des images de la casbah. Tout à coup, une course-poursuite entre un policier et un musulman (il s’agit d’Ali la Pointe jeune, pas encore un combattant) qui va se terminer en bagarre avec des européens d’Algérie. Le cadrage précis sur les visages et le montage dynamique installent d’emblée le parti pris anticolonial et illustre parfaitement la violence qui couve entre les communautés. Mais Pontecorvo ne s’arrête pas là. En filmant en très gros plan le visage d’Ali, tel un Christ au regard empli de colère que n’aurait pas renié Pasolini, en évoquant les détails de son passé par la voix off d’un policier (analphabétisme, maison de redressement, prison…), il montre aussi les effets de la violence du système colonial. Il faut ajouter à cela la superbe musique d’Ennio Morricone, apportant de l’ampleur à cette introduction à la signification limpide. Le contexte est planté, on sait maintenant quel camp a choisi Pontecorvo, le film peut commencer. Remarquable.

    Malgré ce parti pris, l’image donnée de l’armée française n’est jamais caricaturale. Le personnage du colonel Mathieu, inspiré probablement de Marcel Bigeard, en est la parfaite illustration. A son apparition au mitan du film, alors que la foule pied-noire l’acclame, celui-ci est présenté comme un héros militaire tandis que son passé de résistant est rappelé par la voix off. C’est un meneur d’homme intelligent et fin tacticien. Il semble pourtant davantage agir en administrateur qu’en chef de guerre revanchard (rappelons que la France a perdu l’Indochine peu de temps auparavant). Quand il met la main sur le chef du réseau (joué par Yacef Saadi, ancien combattant du FLN et auteur du livre dont est inspiré le film), il éprouve davantage la satisfaction du travail bien fait que le plaisir du chasseur ayant capturé sa proie. Le personnage reste finalement assez opaque derrière ses lunettes de soleil. C’est bien lui qui ordonne l’usage de la torture (l’unique moyen selon lui de démanteler le réseau du FLN) et qui trouve comment se jouer des codes de la guerre pour la légitimer (la grève des travailleurs algériens). Mais il se montre aussi empathique à l’égard de l’ennemi et ne cache pas son admiration pour les chefs du FLN.

    Pontecorvo évite donc le piège de la caricature en faisant de celui-ci un personnage très romanesque, ce qui renforce considérablement le propos anticolonialiste du film. Cela fait par exemple reposer la question de la torture moins sur la décision d’un seul que sur le système colonial dans son entier, comme la conséquence tragique et inéluctable dans un tel contexte de révolte. Le colonel Mathieu le rappelle lui-même lors d’une conférence de presse où il renvoie dos à dos journalistes et commentateurs en énonçant la question centrale : "La France doit-elle rester en Algérie ? Si vous répondez encore oui, vous devez en accepter toutes les conséquences nécessaires". D’un point de vue scénaristique, en plus de l’extrême rigueur historique, on est là dans un travail d’écriture remarquablement subtil et précis. Si on ajoute à cela une mise en scène "sur le vif" caméra à l’épaule, d’inspiration néoréaliste, qui fait s’emboîter intelligemment les différents points de vue, on a un film qui, porté par le sens de l’histoire, atteint une intensité dramatique rare, comme dans ces scènes de révolte vibrantes qui auront lieu deux ans plus tard, à la surprise générale, et lors desquelles le drapeau vert et blanc se répandra irrésistiblement dans les rues d’Alger. Alors que la bataille d’Alger a été remportée (du moins militairement) par les français, le peuple musulman crie alors sa liberté sous les balles, bien certain de la marche de son destin.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    103 abonnés 1 830 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 octobre 2020
    Lion d’or à la Mostra de Venise en 1966, La bataille d’Alger est un film historique bouleversant autant qu’un film qui a lui-même fait l’histoire. Tournée quelques années seulement après l’indépendance de l’Algérie, au cœur de la Casbah d’Alger, cette œuvre-culte reconstitue avec une certaine fidélité la bataille d’Alger, comme son titre l’indique, qui eut lieu en 1957 et opposa le FLN à l’armée française, chargée de « pacifier » la zone. Le long-métrage raconte avec finesse et intelligence la stratégie des deux camps pour parvenir à ses fins, montrant sans détour l’usage de la violence chez les uns et chez les autres – et l’utilisation de la torture du côté français. L’œuvre pose en cela la question de la légitimité de l’usage de la violence pour se libérer d’une forme d’oppression, et selon le camp pour lequel on combat – certaines séquences de militants ouvrant le feu sur des terrasses de bars et de cafés sont troublantes à voir dans le contexte actuel, et prennent littéralement aux tripes. Bénéficiant d’une mise en scène magistrale, ce film qui ambitionne de raconter la naissance d’une nation fut censuré pendant longtemps en France car prenant clairement le parti du FLN. Et pourtant, il parvient à trouver un équilibre constant dans les raisons qui poussent l’une et l’autre des deux parties à agir selon son but – personne n’est dépeint comme totalement bon ou totalement abject. Un chef-d’œuvre.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    87 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mai 2020
    Film sur les prémices de la guerre d'Algérie qui a été interdit en France pendant 40 ans ! On comprend d'ailleurs en le visionnant que ce film a du déranger la France gaulliste et anti-FLN tant il dépeint un portrait néfaste de l'armée française sur ses missions militaires en Algérie. Ce qui choc aussi dans ce film c'est cette distance avec les événements. C' est une fiction au bord du documentaire. Cet effet de style volontaire apporte au film une vérité toute particulière au propos. Il n'en demeure pas moins que le film comporte nombreuses scènes intenses et une action super maîtrisée. Très bon film et film utile pour l' histoire.
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 2 001 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 septembre 2019
    Une reconstitution minutieuse des événements qui conduisirent à l'indépendance de l'Algérie grâce à une alternance de points de vue et de choix narratifs. Le parti-pris de ne pas sous-titrer les dialogues arabes m'a d'abord interloquée mais j'ai compris la volonté du réalisateur de nous montrer véritablement les deux camps ainsi que leurs divers moyens de lutte, sans didactisme ni moralisme, permettant au spectateur de se questionner et d'analyser à son gré. Néanmoins l'incompréhension d'une partie des dialogues - même si on en saisit l'intention - ainsi que l'aspect documentaire ne permettent pas un intérêt autre qu'intellectuel. Reste un témoignage historique passionnant.
    que du cinéma
    que du cinéma

    4 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2019
    Film de guerre qui retrace avec brio les attentats d'Alger. Film avec une ambiance noir, et de très bon protagoniste.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top