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    Le Festin de Babette
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    68 critiques spectateurs

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    azurtlse
    azurtlse

    3 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 juillet 2020
    Très bon acteurs, sur ce point aucun problème, par contre moi qui suis athée, j'avais l'impression d'avoir à faire à une secte!
    Quand au super repas préparé par Babette, aucun remerciements pour la cuisinière après qu'ils se soient gavés ou plutôt goinfrés, et on appelle ça un super film?! quand au scénario je le cherche encore...
    CH1218
    CH1218

    204 abonnés 2 895 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 décembre 2020
    Longue mise en place pour ce film de Gabriel Axel qui flaire bon l’authenticité, adapté d’une nouvelle de sa compatriote Karen Blixen. Au cœur d’un austère hameau danois, la cuisine de Babette (Stephane Audran) est source de communion, de partage et de plaisir. Le mien a été de (res)sentir à travers l’écran les mêmes émotions olfactives et gustatives de ces convives.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 février 2020
    Chef d'oeuvre du cinéma français, et l'un des rares cas où le film surpasse largement l’œuvre originale (une brève nouvelle de l'auteur danois Karen Blixen).

    Film historique d'une grande originalité (esthétique, scénaristique, philosophique même...), qui souffre de quelques petites lenteurs mais nous offre une très belle histoire, un drame humain original et subtil, interprété par l'excellente Stéphane Audran.
    Patjob
    Patjob

    34 abonnés 598 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 janvier 2019
    Voilà un film de facture bien classique sur un sujet pourtant très original.
    Si l’idée générale est intéressante, le film souffre d’un manque de crédibilité sur la situation décrite comme sur certains comportements des personnages, et de quelques effets trop appuyés.
    Cet hymne à l’art de cuisiner nous ouvre l’appétit, mais nous laisse sur notre faim.
    Bruno François-Boucher
    Bruno François-Boucher

    110 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 janvier 2019
    Le sujet (la réconciliation et la parole libérée par le partage d'un repas en offrande et le biais des saveurs du monde), le rythme des plans et de la mise en scène confèrent au film une dimension secrète et subtile digne d’une dentelle de Calais. L'utilisation de la lumière, du temps, des silences, du mouvement, de la musique, le soin apporté aux objets, à la description des aliments, les plans séquences, la gestuelle des acteurs sont purement cinématographiques. C'est très inspiré de Dreyer et d 'Ordet et les Oscars y ont été attentifs en lui décernant celui du meilleur film étranger. Il s'agit là d'un très beau film au sujet aussi universel que celui de la transmission et sur un point de départ aussi risqué que celui des communautés luthériennes. Il y a beaucoup de douceur et de compassion pour les êtres dans 'Le festin de Babette' comme l'atteste le discours du général à la fin du repas. Sans oublier l'humour omniprésent et le jeu extraordinaire de Stéphane Audran qui exprime justement tout avec son visage. Une oeuvre délicate empreinte de poésie et d'une grande richesse intérieure.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    122 abonnés 2 039 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 décembre 2018
    On n'en voudra qu'à peine au réalisateur d'avoir transposé le roman, se passant en Norvège, dans son Danemark natal. La langue est belle (ah le son du brød) et l'adaptation presque aussi littéraire. Avec en bonus un formidable casting qui est bien loin d'avoir été restreint aux visages, ou à la personnalité, ou à la prestance. Pourtant tous ont les trois à la fois ! Ça reste une création un peu trop extranationale pour Audran qui peine à exsuder son rôle, mais tout nous porte à croire que les hésitations initiales ont été compensées tant le naturel de son rôle est bien assis en conclusion du film.

    Peut-être est-ce cela aussi qui nous fait passer à côté de la poésie ; les fils devant se tisser entre quelques scènes sont bien là, mais ils installent un côté vaguement jubilatoire qui ne paraît pas volontaire. Et cela de telle sorte que les révélations successives deviennent assez fades - c'est le comble pour un festin ! Mais heureusement, on a de quoi se mettre sous la dent entre la douce dérision de dévots qu'on a la douceur de ne pas moquer, et la bonté qu'on étale sur des protagonistes au charme incomparable. On associe religion et gourmandise, bonnes manières et frusterie, campagnes et généraux comme des pièces de puzzle finissant par obtenir une place de choix... de premier choix !

    septiemeartetdemi.com
    selenie
    selenie

    6 288 abonnés 6 192 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2018
    Ce qui peut paraitre surprenant, le cinéaste fait le choix d'atténuer dans son film la critique envers le rigorisme luthérien pour accentuer l'importance du dîner. Un dîner dont Karen Blixen ne donnait que les ingrédients occultant les recettes qui furent donc créées spécialement pour le film. Un dîner qui va devenir une messe épicurienne qui va réunir la petite communauté malgré les rancoeurs et les rivalités que des années en quasi autarcie ont nourri. Un festin qui donne en tous cas l'eau à la bouche, avec un menu devenu un classique internationalement connu, notamment grâce au succès du film qui obtiendra l'Oscar du meilleur film étranger.
    Site : Selenie
    Zeugax Ouvier
    Zeugax Ouvier

    18 abonnés 151 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mars 2018
    C'est l'anti cinéma hollywoodien, tout en simplicité dépouillement et en profondeur.
    Et quelle parabole magnifique !
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    157 abonnés 693 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 août 2017
    « Le Festin de Babette » s’inscrit dans la droite lignée d’« Ordet » de Carl Theodor Dreyer. Il en reprend l’esthétique soignée, le goût pour la fine exploration des sentiments humains et emprunte même des acteurs figurant dans les plus grands films de Dreyer (« Ordet » donc, ou « Jour de colère » par exemple). Certains des acteurs sont également des habitués d’Ingmar Bergman, et pour cause, Gabriel Axel se place aussi dans le sillage du cinéaste suédois. Il est une fois de plus question ici du rigorisme démesuré d’une petite communauté, quoique Gabriel Axel se montre plus bienveillant qu’un Bergman, se plaçant donc davantage en héritier de Dreyer. L’histoire, tirée d’une nouvelle de Karen Blixen, tient du conte : deux sœurs, véritables beautés dans leur jeunesse, courtisées sans qu’elles daignent consentir aux attentions de malheureux prétendants, se retrouvent dans leur vieillesse, vivant seules toutes les deux, à accueillir Babette, une jeune française (excellente Stéphane Audran) qui a fui la Commune. Celle-ci leur offre ses services en échange du gîte, et jour après jour leur fait à manger, en respectant l’ascétisme au menu de ces protestantes très pratiquantes. Quand un jour, Babette gagne au loto et hérite ainsi d’une importante somme d’argent. Elle décide alors d’offrir aux deux vieilles femmes et à leurs proches un dîner à la française, généreux et foisonnant, qui fera se délier les langues et retrouver un peu de joie de vivre à ces tristes sires. Personnage central lors du dîner, le général Lorens Löwenhielm, ancien prétendant éconduit de l’une des sœurs, que l’on avait découvert maladroit et falot dans sa jeunesse, se révèle ici, bien des années après, en étant le seul à oser prendre la parole et à vraiment savourer le repas et l’incroyable cadeau qui leur est fait. Il devient profondément humain, et lui qui semblait si frêle et insipide devient aimable et réjouissant au possible, comme transfiguré par l’âge et l’expérience de la vie. Bien sûr, son entrain dénote dans l’assemblée des dévots, tellement préoccupés par le « qu’en-dira-t-on » qu’ils n’arrivent pas à exprimer leur gratitude et à pleinement profiter du festin. Et pourtant, on sent que ce dîner leur fait beaucoup de bien. « Le Festin de Babette » est somme toute un film simple, mais profond. Véritable hymne à la cuisine française et à la générosité de ses chefs, mais aussi et plus simplement à la bonne chair et au plaisir simple (là encore) de la vie, mais aussi à l’amour et à l’amitié. Porté par d’excellents interprètes, Stéphane Audran (Babette) et Jarl Kulle (le général) en tête, c’est un petit chef-d’œuvre qui mériterait d’être plus connu ! A voir sans hésiter !
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    54 abonnés 1 159 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 août 2017
    Le film est adapté de la nouvelle éponyme de Karen Blixen et extraite de « Anecdotes du destin » (1958). Cela se passe au Danemark, dans la péninsule du Jutland, dans une communauté luthérienne. Les 2 filles du pasteur, bien que courtisées par un militaire et un chanteur français, Achille Papin, restent vieilles filles. Une française, Babette Hersant (Stéphane AUDRAN), fuyant la répression de la Commune (son mari et son enfant sont morts) en septembre 1871, vient proposer ses services de servante aux 2 sœurs, restées seules après la mort du pasteur, leur adresse ayant été donnée par le chanteur français éconduit. Elle y reste 14 ans. Elle apprend qu’elle a gagné au gros lot la somme de 10 000 F, jouant chaque année. Elle décide d’en faire profiter toute la communauté (12 personnes, à l’occasion des 100 ans qu’aurait eus le pasteur), en confectionnant un repas gastronomique dont elle va chercher les ingrédients en France : spoiler: soupe de tortue, blinis au caviar, cailles en sarcophage (au foie gras et aux truffes), salade d’endives aux noix, fromages, savarin, salade de fruits, le tout accompagné de Champagne Veuve Clicquot 1860 et d’un Clos Vougeot 1845. On découvre alors qu’elle était chef de cuisine au Café Anglais. Les (vieux) convives sont, au début, horrifiés par l’abondance et la qualité des mets (eux qui sont habitués à manger de la soupe avec de la mie de pain) et décident de ne faire aucun commentaire, ni compliments. Finalement, la séduction finit par opérer…
    La 1ère partie (jeunesse des 2 filles de pasteurs, jusqu’à l’arrivée de Babette) est un peu longue ; la 2nde partie (préparation et dîner) est la plus intéressante, même si la critique des luthériens, qui privilégient ce qui se passe après la mort, au détriment du présent, ignorant leurs corps et les plaisirs simples de la vie, empêtrés dans la petitesse de leur esprit par la jalousie et leurs regrets sur leur vie passée), reste relativement bienveillante. Le film a quand même obtenu l’Oscar du meilleur film en langue étrangère en 1988 [au détriment de « Au revoir les enfants » de Louis Malle (1987)].
    Backpacker
    Backpacker

    80 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mai 2017
    Encore un film totalement surcoté, bien que visuellement intéressant et bien interprété. Dès les premières images on sent à quoi on va avoir à faire. L'ennui s'installe immédiatement jusqu'à la toute fin. Au point qu'on ne cesse d'attendre que ce repas soit enfin servi...et fini!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 9 avril 2019
    Merveilleux mais plat plutôt énervant.
    Très difficile à juger parce que, honnêtement, l'histoire est à coucher dehors.
    Les enjeux sont tellement faibles qu'on se demande si l'histoire mérite de passer à la postérité.

    Par contre, l'univers est béton, le non dit comme le phrasé sont bétons, la narration est énorme.

    Du cinéma de sainte nitouche où la nullité de l'histoire est aussi bien que l'univers proposé, ce qui paradoxalement rend l'ensemble cohérent et plutôt chouette.
    Eselce
    Eselce

    1 404 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 avril 2017
    Il y a des longueurs. Seules les 30 dernières minutes sont un véritable délice pour les yeux et les papilles : Babette prépare un festin pour 12 personnes et derrière l'écran, l'on ne peut qu'assister à l'extase d'un général et de son cocher dans les cuisines. Le reste du film ne laissant pas de réel souvenir mémorable. Concernant le jeu des acteurs et de la déco, rien à redire. Mais le film ne vaut le coup d'oeil que pour le repas final, d'où ma note.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 164 abonnés 5 164 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 mai 2016
    Le festin n'était pas comme ils le pensaient un "sabbat de sorcières" mais plutôt un révélateur de joie et de sentiments au coeur de cette petite communauté. Une grande douceur pénètre ce film dont l'issue heureuse est une source de bien-être et de félicité pour l'avenir et même l'au-delà. Très beau
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 mai 2016
    Un film véritablement épicurien qui prend son temps pour monter son histoire et aboutir sur un plaisir palpable.
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