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Un visiteur
2,5
Publiée le 8 mai 2007
(...) Ce sont dailleurs les scènes finales, presque muettes, très visuelles, qui sont les plus touchantes. Lorsque la belle est devenue la bête, quil faut la reconquérir. Le cinéaste puise aussi son inspiration des comptes africains, les mythes Vaudou, une nouvelle culture qui séclairait à nos continent.
« Le premier film de zombie au cinéma » dixit la jaquette de la nuit des morts vivants. Et bien, ils ont bien changée depuis. Ce film pas trop long (1 h 7) est très faible. Les zombies sont extérieurs à l’histoire. Le jeu des acteurs est minime, si on exepte le très très bon BELA LUGOSI, qui campe un méchant mémorable.Il aurait fallu que la qualité de l’image soit amériorer pour mieux l’apprécier. Pas vranchement indispensable. Sauf si vous vous interessez à Lugosi.
Il s'agit du premier film de zombies jamais réalisé. Pourtant, si ce film a posé les bases d'un genre, on ne va pas crier au chef-d'oeuvre pour autant. Il a beaucoup vieilli. En effet, les zombies en question ne sont que des gros bonshommes aux yeux exorbités et le jeu des acteurs est figé. Néanmoins, on trouve dans ce film des idées particulières et originales qui font le charme de ce film : le lieu fatal, ou encore le lieu de rencontre avec le maître vaudou, un moulin à sucre où les zombies travaillent.
White Zombie est un chef d'oeuvre du genre fantastique. Le premier film de zombie réalisé en 1932. Un scénario très bien pensé, malgré quelques facilité. La réalisation elle est juste magnifique. Un film qui ne laisse pas indifférent.
Premier film de zombie j'ai ete decu parce que le son n'etait pas bon et que les zombie n'attaque pas ici ce sont des morts vivant.Ce film est bien grace au genre qu'il a creer et bien des annees apres des films de zombie continue a se creer.
Premier film apparemment sur le thème du zombie, ce qui reste un fait remarquable même si l'on sait que la société Universal allait produire tout une série sur le bestiaire du fantastique. Il est évident à mes yeux que le décalage se fait même pour un spectateur averti devant cette production au charme suranné. Certes, Bela Lugosi apparaît toujours aussi truculent, ses gros plans répétés sur son regard hypnotique, son élégance toute aristocratique, ses intonations suaves sauvent en partie le film. Je regrette pour ma part que le " terreau haïtien" soit si peu exploité mise à part la scène initiale, (très réussie d'ailleurs) dans le moulin à fabriquer du sucre. Le couple semble irrémédiablement niais (est-ce la norme de l'époque ?), les dialogues peu poussés, et l'aspect magie noire insuffisamment exploitée. Alors oui, on sort de l'époque du muet et tout doit passer par une puissance suggestive. Mais l'atmosphère vaudou ne m'envoûte pas suffisamment. On préférera définitivement les films de Tod Browning dans le registre des suceurs de sang.