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    Double Assassinat dans la rue Morgue
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    VERTIGO
    VERTIGO

    3 abonnés 146 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 décembre 2024
    Un classique du film d'Horreur des années 30 par Robert Florey avec Bella Lugosi, Syney Fox et Léon Ames d'après Edgard Poe adapté par Robert Florey qui a une longue carrière de réalisateur à Hollywood quelque fois avec de grands acteurs américains, souvent avec des films sombres à l lite de l'horreur, et il a été le scénariste du film Frankenstein.
    Il a aussi été envoyé spécial de Cinémagazine à Hollywood où il a écrit des reportages sur de nombreuses grandes vedette dont Chaplin, d'où il a écrit de nombreuses biographies.
    Ce film noir par sa lumière dans le paris de 1850 avec ses toits gris ou noir t des ciels et des rues de même couleur avec parfois du brouillard.
    Il aurait aussi pu tourner la série des Sherlock Holmes avec réussite ou polars bien noirs.
    Là il est dans l'Horreur à la limite du fantastique puisqu'on aborde l'origine de l'homme avec le singe.
    Il a aussi réalisé un certain nombre de films français en France donc mais Patrick Brion déplore l'impossibilité pour des questions de droits, de diffuser à la télévision la quasi-totalité des films de Robert Florey tournés en France.

    En regardant ce film on ne peut pas ne pas penser au film King Kong réalisé un an après en 1933 à cause du singe qui porte sa possible victime.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    201 abonnés 2 519 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 mars 2018
    Double Assassinat dans la rue Morgue est un classique assez sympathique à regarder.
    Bon le costume de singe est grossier et ne fait pas illusion une seule seconde … mais ça apporte un charme vintage au film (pour compenser le fait que ce n'est du coup pas le film d'horreur des plus inquiétants).
    L'enquête est plutôt intéressante et se tient bien sur une courte durée.
    Bela Lugosi est toujours impeccable en savant fou.
    Ça se regarde bien, ce n'est pas le classique le plus palpitant, mais c'est sympa.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 199 abonnés 4 182 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mars 2017
    Alors qu'ils viennent tous deux d'être éjectés du projet "Frankenstein", Bela Lugosi et Robert Florey obtiennent en lot de consolation l'adaptation d'un des plus célèbres romans d'Edgar Allan Poe : "Double assassinat dans la rue Morgue". Le film a bien sûr été surclassé par la magnificence du "Frankenstein" de James Whale avec Boris Karloff. Les deux hommes s'ils démontrent ici que Carl Leammle Jr. a fait le bon choix en les écartant de "Frankenstein" qui était le projet phare de l'Universal livrent tout de même un film sympathique tout à fait dans le ton des classiques de l'épouvante du studio. La mise en scène de Robert Florey (réalisateur français naturalisé américain venu à Hollywood en 1921 comme journaliste pour la revue Cinémagazine) est un peu trop statique et son casting composé de Sidney Fox et Leon Ames est assez quelconque mais la présence de Bela Lugosi, impressionnant en docteur fou aux cheveux bouclés avec son phrasé inimitable, constitue à elle seule une attraction suffisante pour trouver cette très libre adaptation de Poe réjouissante et par moment inquiétante. La présence du grand Karl Freund à la photographie apporte le cachet traditionnel des films de monstres du studio très inspiré de l'expressionnisme allemand. On notera que la chute finale avec le singe sur le toit portant sa dulcinée préfigure le "King Kong" de Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack qui sortira un an plus tard. Enfin il est amusant de remarquer que John Huston qui n'est alors qu'un scénariste obscur à Hollywood a écrit les dialogues additionnels du film. Beaucoup de particularités qui font de "Double assassinat dans la rue Morgue" un film attachant, comportant en sus quelques scènes saisissantes.
    dougray
    dougray

    242 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 janvier 2016
    On oublie souvent que les studios Universal ne se sont pas cantonnés, à leurs débuts, aux seuls films de monstres légendaires tels que "Dracula", "Frankenstein", "Le loup-garou", "La Momie" ou encore "L’homme invisible". Les acteurs vedettes du studio étaient, également, conviés dans des productions au ton toujours horrifiques mais au méchant moins iconographique. Dans cette production plus "classique", on trouve de petits trésors méconnus tels que "Le Chat Noir" ou "Le Corbeau", deux adaptations très libres et très réussies des nouvelles du légendaire Edgar Allan Poe. C’est, donc, en toute logique que j’ai voulu découvrir le film qui, en 1932, a ouvert le ban de ces films aux monstres plus discrets, à savoir "Double Assassinat dans la rue Morgue", également adapté de l’œuvre de Poe et comptant, à son générique, l’hypnotisant Bela Lugosi en méchant Dr Mirakle. Et, malheureusement, le film n’a pas supporté les attaques du temps aussi bien que les deux autres productions précitées. Il faut dire que, outre une image particulièrement vieillotte et un rythme invraisemblablement mou, le film souffre d’un scénario plus que léger qui peine à susciter l’intérêt. Certes, il y a des meurtres, un assassin mystérieux, un savant fou, une demoiselle en détresse… soit les ingrédients de bon nombre des productions Universal. Mais, une fois n’est pas coutume, l’alchimie ne prend pas ici, notamment ne raison des défauts formels et de la vacuité de l’intrigue. Autre problème de taille : le singe ! Il faut faire preuve d’une sacré indulgence pour ne pas ouvrir de grands yeux éberlués devant ce costume de singe pas crédible une seule seconde et, pire encore, devant l’effet de mise en scène risible qui veut que les gros plans sur l’animal laissent apparaître un vrai singe alors que les plans larges (où apparaissent d’autres acteurs) montrent un acteur en costume. La différence entre les deux plans est saisissante et représente peut être, avec le recul, le seul intérêt du film. J’exagère tout de même puisque le film compte, dans ses rangs, le légendaire Bela Lugosi, tout juste starifié grâce à son interprétation de Dracula en 1931. Comme souvent, l’acteur se montre terriblement cabotin (ce qui n’est pas un défaut dans les films d’horreur de l’époque) et parvient, sans mal, à éclipser le reste du casting. La séquence où il s’aperçoit que le sang de sa victime est vicié démontre, d’ailleurs, une facette intéressante de son jeu d’acteur et rappelle que, à l’instar d’un Boris Karloff ou d’un Lon Chaney Jr., il a été plus que sous-estimé par la critique. Et il fallait bien que l’acteur en fasse des tonnes pour faire oublier l’écriture assez brouillonne de son personnage dont les motivations sont pour le moins obscures. Bref, sans Bela Lugosi, "Double Assassinat dans la rue Morgue" n’aurait pas le moindre intérêt. Grâce à lui, il reste une curiosité… tout de même mineure dans sa filmographie.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 3 mai 2014
    Typiquement le genre de film dans lequel on en ressort en se disant "ca aurait pu être tellement bien". Les amateurs de décors (comme moi) foncez! Le Paris de 1830 est juste incroyable, les plans sur le balcon de la jeune fille convoitée comptent surement parmis les plus beaux décors que j'ai eu l'occasion de voir, lumière et décor extérieurs parfaits (scène sur les toits), réalisation très maitrisé avec certains plans plutôt inventifs pour l'époque. Une vision onirique de Paris surement très proche de celle de Poe pour Paris, ville de mystère. Après pour parler du film ça devient plus mitigé : l'histoire n'a rien à voir avec la nouvelle originale mais ca ce n'est pas très grave. Donc l'histoire parle d'une histoire de scientifique fou Dr Mirackle qui cherche à croiser du sang de gorille avec celui de jeunes filles (jeune et belle évidement). L'histoire tourne autour de cette pseudo enquête mais on n'est pas assez proche de Dupin l'enquêteur, là ou dans la nouvelle on est interpellé via les yeux de son acolyte (à peine présent dans le film) par la capacité hors du commun de Dupin à avoir un esprit logique et une déduction incroyable, ici on le suit simplement conduire la police au méchant et sauver sa jeune demoiselle en détresse. Après oui c'est "librement adapté" mais bon passé à la trappe le génie de Dupin (façon Sherlock Holmes) c'est vraiment passé à coté de l'oeuvre. Ici il regarde juste deux minutes comme un couillon dans un microscope pour comprendre le plan machiavélique du méchant.
    Estonius
    Estonius

    3 462 abonnés 5 453 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 avril 2014
    Une photographie particulièrement soignée, des éclairages de folie (Karl Freund quand même !) L'action se passe à Paris sous le règne de Louis-Philippe (un Paris assez fantaisiste mais qui passe bien, avec une profusion de personnages en costumes) L'interprétation est correcte avec un Lugosi qui se retient et une Sidney Fox ravissante. Notons quelques prouesses techniques comme la scène de la balançoire, ou les plans séquences de la fin, une fin assez grandiose sur les toits de Paris avec la foule en contre plongée. Le dosage est parfait, il n'y a ni angoisse, ni suspense, ce n'était pas le but mais une pointe de sadisme (sinon qu'on nous explique pourquoi Lugosi attache sa victime à une crois de St André, alors qu'il aurait pu la ligoter sur un siège), et pas mal d'humour (la scène des faux polyglottes est très réussie).  Assurément il s'agit bien là de l'un des bijoux de la grande époque d'Universal Picture
    Azahi59
    Azahi59

    24 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 juin 2013
    Introduit dès le départ par une musique du lac des signes, hasard ou coïncidence quand on sait que cette même musique est celle de Dracula, mentionné sur l'affiche comme deuxième nom de Bela Lugosi, Double Assassinat dans la rue Morgue se montre comme une libre adaptation de Poe, phénomène assez rependu à cette époque, jouant sur une intrigue fantastique (le savant fou qui veut prouver l'humanité des singes) et expressionniste (par un jeu d'ombre omniprésent, des décors Parisiens en carton pâte ou encore les motifs géométriques des plans de Paris, parfois peu réalistes, mais tout de même séduisants).
    Cet expressionnisme, surtout marqué par la domination des ombres, se remarque dès les premières minutes avec l'apparition de Lugosi à l'entrée de la tente de foire. Puis, reprise, et plus appuyée lors de sa montée sur scène. Si Lugosi domine, c'est une fois de plus grâce à sa voix, son accent Hongrois. Cette voix dominatrice est d'ailleurs reprise pars le dialogue avec la réplique du mari qui ne se gène pas de faire remarquer ce fameux accent. Mais évidemment, il domine encore et toujours par le regard, appuyé par un effet de maquillage se voulant insistant sur les sourcils, donnant un aspect inquiétant mais non antipathique à notre futur savant fou.

    Pour revenir sur les dialogues, il est assez agréable de remarquer l’insistance sur le français, avec notamment un "mesdames et messieurs" qui a son impact.

    Une fois ceci présenté avec classe, côté mise en scène pour Robert Florey, ou côté personnage par Lugosi, on assiste à la présentation du "monstre" du film, le second ennemi de l'oeuvre, alliant mélange entre déguisement et prise de vue réelle, plutôt réussi, sauf lors des déplacements de celui ci, trop peu réalistes, mais néanmoins plus réussis qu'ils le seront 10 ans plus tard dans The Devil Bat.
    Florey nous présente ensuite une scène de meurtre, deux hommes se donnent mutuellement la mort. Celle ci est intéressante car l'horreur nous est presque finalement présentée que par cris, et non par images choquantes comme l'on pourrait croire. Puis, l'approche de Lugosi vers la jeune femme, étant l'avancée de celui ci vers la caméra, se terminant par la seule ombre de ce dernier, rappelant une fois de plus l’expressionnisme donc le film regorge. Si tout est présenté de façon grandiose, la labo du Dr Mirakle est d'un typique superbe, éprouvettes, tuyaux etc, là, chapeau.
    La suite de cette scène est l'une des plus belles, voyant un Lugosi en échec, réussissant une inversion des rôles, il nous montre sa détresse et en est presque touchant.

    Enfin, les costumes, comme des décors, sont soignés et réalistes. Les gardes, en costumes Napoléoniens, brandissant leurs chapeaux et leurs capes qui s'intègrent dans les ombres avec brio.
    Tout comme certains plans finalement. L'avantage de ces films anciens est que les innovations techniques sont toujours surprenantes. Il y en deux qui m'ont réellement marqué : la scène de la balançoire, incroyable quand on regarde de près la date du film, puis aussi, la montée de la caméra, qui passe du trottoir au toit sans coupure, et finalement si peu saccadé.

    La fin, quoi qu'un peu classique, se veut plutôt novatrice, à la King kong.
    Double Assassinat dans la rue Morgue est une réussite cinématographique, certes vieillie, quoi que très bien conservée comparée à d'autres films de la même période. Mention spéciale à un Bela Lugosi alors à son apogée, signant l'un de ses meilleurs rôles, finalement presque tous concentrés autour de ce début des années 30.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 329 abonnés 7 541 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 juillet 2012
    Double Assassinat dans la rue Morgue (1932) est librement adapté de la nouvelle éponyme d'Edgar Allan Poe (publiée en 1841). C'est la première adaptation cinématographique (on en compte 3 actuellement avec celles de 1954 & 1986), sans compter le téléfilm de 1973. D'une durée de (seulement) 63 minutes, le film nous entraîne dans une sombre histoire d'assassinats (des jeunes femmes sont retrouvées noyer alors qu'en réalité elles sont les victimes du docteur Mirakle, un psychopathe qui exhibe dans une foire un gorille en cage). Si cette adaptation n'a rien de transcendante (sur une durée aussi courte, il ne fallait pas s'attendre à des miracles), on pourra toujours se satisfaire de la présence de Bela Lugosi dans un rôle récurrent et des magnifiques décors nous replongeant dans le Paris du XIXème siècle. Ajoutez à ça, d'excellents jeux d'ombres et de lumières façon "expressionnisme allemand" (rien d'étonnant à cela puisque le chef opérateur n'est autre que Karl Freund, l'un des principaux collaborateurs de Fritz Lang et de Friedrich-Wilhelm Murnau).
    real-disciple
    real-disciple

    85 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 octobre 2011
    Murders in the rue Morgue est intéressant de part son style expressionniste (ombres, architecture) et la prestation inquiétante du génial Bela Lugosi. Il y a aussi quelques bonnes scènes, comme la présentation du singe ou l'enlèvement de la première femme. Le reste n'est pas très jouissif, beaucoup de longueurs, des scènes inutiles et celles avec le singe sont mal faites, on voit bien que c'est un homme dans le costume. Il faut par contre le voir pour l'art expressionnisme allemand dont on s'est influencé.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 octobre 2011
    Pfiou, comme c'est triste. La construction du scénario est affligeante, le montage est à pleurer, les personnages sont ridicules... Bref, c'est bourré de maladresses dignes des films d'Ed Wood.
    cylon86
    cylon86

    2 544 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 août 2011
    Adapté librement d'une nouvelle d'Edgar Allan Poe, ce film souffre d'un cruel manque de rythme et a évidemment pris un coup de vieux qui ajoute cependant à son charme. L'histoire est farfelue mais permet à Robert Florey de filmer un Paris tout en ombres et lumières avec talent. Et toujours aussi cabot, Bela Lugosi est très bon en mystérieux médecin.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    765 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 août 2011
    Pas vraiment une adaptation fidèle de la nouvelle d'Edgar Poe, mais grâce à une belle réalisation, à un Bela Lugosi assez captivant dans le rôle du Dr Mirakle et à des décors fort bien conçus, on passe un moment somme toute agréable.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 juin 2011
    Entre une "pimbêche" nombriliste (Sydney Fox), un clerc-de-notaire, un vieil avocat aux combines multiples, une mère maquerelle et entraîneuse défendant surtout les riches, quelques bourgeois, et beaucoup d'autres, Bela/Dr Miracle, peu soupconné du fait de sa position sociale, continue son étrange mission de scientifique dans un rôle cependant moins comique et un peu plus grave que dans les productions Ed Wood. En fait inspiré d'Edgar Poe, un indispensable gothique ayant byzarrement assez peu vieilli, aux décors parisiens et ténébreux dûs au chef-op Karl Freund.
    Plume231
    Plume231

    3 928 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 mai 2011
    J'ai critiqué très fortement précédemment l'interprétation de Bela Lugosi dans "Le Corbeau" où il cabotinait beaucoup trop dans le rôle d'un cinglé. Dans ce film-là, il incarne toujours un cinglé mais d'une manière beaucoup plus nuancée qui le rend plus terrifiant par sa crédibilité. C'est même avec celui du "Fils de Frankenstein" son plus grand rôle. Alors j'ai peu de souvenir du livre d'Edgar Allan Poe que j'ai lu vers l'âge de 8 ans (oui, il y a très longtemps. On chassait encore le mammouth à cette époque!!!) donc mes souvenirs ont dépassé depuis longtemps la date limite de consommation. Toujours est-il que Robert Florey filme un Paris XIXème siècle intéressant, irréel par son côté éclairage dans des décors carton-pâte, nocturne, assez sinistre, se montre parfois très habile techniquement grâce à la photo de Karl Freund. Les raccords entre un "singe humain" et un vrai singe sont peu convaincants par contre certaines séquences valent le coup d'oeil comme celles où l'ignoble savant torture une prostituée ou l'apparition du cadavre pendu dans la cheminée. Intéressant à regarder même à deux heures du matin (et je sais de quoi je parle!!!).
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 26 mars 2011
    Un film qui a bien sure du mal à effrayé aujourd’hui, mais qui a aussi du mal à faire croire qu’il ait put effrayer et pourtant, dans les années trente ce film fut classé dans la catégorie épouvante. Ce que l’on peut voir d’épouvant(able) aujourd’hui c’est les effets spéciaux sur le singe (tantôt un vraie primate, d’autre fois un homme déguisé). Mais ces effets risibles donnent aussi au film un ensemble vieillot qui n’est pas si désagréable. Et puis surtout, il y a le grand Bela Lugosi, que dire à part citer son nom, il est tout simplement magnifique.
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