Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
5,0
Publiée le 28 mars 2008
à voir et à revoir les jours de pluie, parce que cela fait du bien à l'âme un film comme cela!!! on le garde précieusement dans sa DVDthèque , parce que certaines phrases deviennent cultes (tu perds tes bas!!!, on fait pas kibouste ici etc....) des anecdotes que l'on se peut remettre dans notre vie de 2008 sans une ride !!!
Le cinéma de mon enfance ! Avec Robert Enrico, le cinoche d'Yves Robert est celui qui me rend le plus nostalgique et si proche des acteurs. La clique à Brasseur, Rochefort, Bedos and Co, leur insouciance de vivre, leurs blagues de potaches, ca me fait des frissons de bonheur dans le dos ! Il y avait un ton, une ambiance vraiment spéciale à cette époque, définitivement disparue, ahlala, ou sont mes cachets et ma cane, fait frais trouvez pas ? ;)
(VIDEO) Pas tout à fait le degré 0 du cinéma, non - les dialogues de Jean-Loup Dabadie relèvent indubitablement le niveau ! Et puis quelques comédiens... Mais c'est quand même presque le pire du pire de ce qui peut arriver au cinéma.
Aussi bon que le premier. On reprend les mêmes et on recommence. Certaines scènes sont inoubliables comme celle de la maison qui tremble ou celle avec la R6. Bref une comédie française culte !
Une suite tonique et toujours spirituelle par ses bons mots, ses amitiés et M. Villalonga qui en fait des tonnes. Parfois subtil, parfois moins. Un portrait du quotidien qui nous parle.
Une suite plus mélancolique mais toujours aussi savoureuse et pleine de tendresse, avec toujours les dialogues irrésistibles de Dabadie et un quatuor de comédiens aussi complice qu'attachant
J'ai trouvé cette dernière partie du diptyque meilleure que la première. Pleine de rebondissements, d'humour, d'amitié. Beau petit film français des années 70 avec un casting toujours efficace et investi.
Suite du bon "Un éléphant ça trompe énormément", on retrouve avec plaisir son excellent quatuor interprété par des acteurs formidables. Si le scénario est toujours bien construit, les dialogues bien écrits, quelques scènes sont drôles - dont celle de la partie de tennis devenue légendaire -, le film connait pas mal de baisses de rythme. Pour moi, s'il reste sympathique, il est un peu moins bon que son prédécesseur.
"Nous irons tous au Paradis" fait partie des rares comédies dont la suite parvient à être aussi drôle que le précédent film.
S'ils utilisent les mêmes ressorts comiques, on ne tourne pour autant pas en rond grâce à une inversion des rôles. Cette fois le personnage principal ne tente pas de tromper, il soupçonne de l'être.
Un pitch succulent qui permet de transformer Etienne Dorsay en inspecteur Gadget ou en Panthère Rose, au choix, tentant de se camoufler derrière son trench pour mener une enquête avec les pieds.
Évidemment, les personnages ont un capital sympathie hérité du premier film et a priori intact. Les nouveaux venus sont d'ailleurs de bons ajouts, notamment le personnage incarné par Josiane Balasko.
C'est drôle, c'est bien exécuté et on passe un bon moment. Le contrat est rempli.
Voilà une suite réussie à « Un éléphant ça trompe énormément ». On retrouve le même quatuor à l’amitié impérissable où cette fois-ci la dame en robe rouge a été remplacée par un monsieur en veste écossaise. Avec les mêmes interprètes, le spectateur se replonge avec délectation dans les aventures (extra) conjugales et affectueuses dans une mise en scène toujours aussi dynamique. Le plaisir s’est prolongé avec succès.
Un peu en dessous du premier volet, on retrouve ici avec plaisir cette bande de potes aux aventures amoureuses et professionnelles rocambolesques. Mention spéciale pour Etienne Dorsay (Jean Rochefort), qui devient ici une sorte d'Inspecteur gadget teinté de La Panthère Rose. L'acteur est aussi de service à la voix off, lisant un texte somptueux, aux tournures de phrases subtiles et souvent en décalage avec les images, créant un effet comique délicieux. Il est vivement conseillé de voir auparavant Un Éléphant Ça Trompe Énormément pour planter le décor de cette suite. Sur un plan plus personnel, revu en 2024, je m'étonne d'y avoir trouvé plusieurs messages en écho à ma vie (Bérénice de Jean Racine, Granville qui mène à recherche des ancêtres, Dalloz, etc.). Les anges sont facétieux, pour nous guider vers le paradis !
Juste après "un éléphant sa trompe énormément" Yves Robert remet le couvert avec les quatre comparses que sont Claude Brasseur, Jean Rochefort, Guy Bed et Victor Lanoux pour un nouveau classique de la comédie française.La bonne humeur et est toujours au rendez vous, ce n'est pas hilarant mais on s'attache aux personnages et on passe un bon moment.
Suite au gros succès d’Un éléphant ça trompe énormément, Yves Robert décide de retrouver les mêmes personnages pour Nous irons tous au Paradis. Cette suite en reprend la majorité à l’exception de celui joué par Annie Duperey (bien qu’Étienne ait changé de profession) et retrouve la même ambiance. Toutefois, nous passons de la pure comédie à une comédie possédant des moments plus dramatiques pas toujours indispensables à la suite de l’intriguespoiler: (la mort de la mère de Simon) . Cet aspect et le fait que l’intrigue est plus éparpillée font ce second volet est moins prenant que le premier mais possède d’excellents passagesspoiler: (l’agression d’Étienne par l’homme qu’il soupçonne d’être l’amant de sa femme) . De plus, le film possède des apparitions de visages désormais très connus comme Josiane Balasko et surtout Jean-Pierre Castaldi. Nous irons tous au Paradis est donc une bonne suite mais moins marquante que le premier épisode.