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3 étoiles et demi pour le jeu subjuguant et magnétique de Marilyn.
Yves Montand traverse ce film d'une manière un peu transparente tant son jeu laisse à désirer. On a l'impression qu'il se force d'interpréter ce rôle.
Les scènes où Marilyn chante et danse sont les plus réussies du film.
Nul doute que Marilyn aurait eu un succès gigantesque comme chanteuse et star de scène à notre époque.
Yves Montand traverse ce film d'une manière un peu transparente tant son jeu laisse à désirer. On a l'impression qu'il se force d'interpréter ce rôle.
Les scènes où Marilyn chante et danse sont les plus réussies du film.
Nul doute que Marilyn aurait eu un succès gigantesque comme chanteuse et star de scène à notre époque.
Même si on a un casting prestigieux, comme Marylin Monroe avec son charme et Yves Montand et sa grande classe, un bon scénario de situations comique. Faut avouer qu'il faut aimer ces comédies musicales, très en vogue à l'époque, années 60, mais aujourd'hui, le charme est un peu désuet, très hollywoodien. Mais certain situations cocasses, sont heureusement là pour, passer un bon moment. Le sourire est présent.
Mieux que ce qu’on en dit .. moins bien que ce qu’on pouvait en attendre
Marylin est touchante au possible... le charme de ce film est étonnant malgré les conventions et le temps qui passe rendant ce genre de film normalement démodé .. Finalement Montant est sans doute le maillon faible du film pas encore un grand comédien .. Un charme qui opère .. Tout de même
Mais il opère un charme fou et une humanité touchante tout au long du film, le personnage de Marylin étant comme toujours chez Cukor très juste
Marylin est touchante au possible... le charme de ce film est étonnant malgré les conventions et le temps qui passe rendant ce genre de film normalement démodé .. Finalement Montant est sans doute le maillon faible du film pas encore un grand comédien .. Un charme qui opère .. Tout de même
Mais il opère un charme fou et une humanité touchante tout au long du film, le personnage de Marylin étant comme toujours chez Cukor très juste
Un milliardaire français s’amourache d’une comédienne américaine. Ou quand Yves Montand succombe au charme de Marilyn Monroe, et vive-versa. Le moment où celle-ci chante "my heart belongs to Daddy" est le plus mémorable de cette pâlichonne comédie musicale un peu longuette et moyennement amusante. Le film de George Cukor fit d’ailleurs plus de bruit pour l’idylle entre les deux acteurs que pour leurs performances, c’est dire…
enfin j'ai pu voir ce classique du cinema. un film d'une très grande élégance, marilyn et terriblement touchante.
Un superbe film avec de magnifique acteurs.... Dommage qu'on ne puisse toujours pas le visionner sur Blu-Ray & 4k,
Que ce soit Yves Montand ou Marilyne Monroe ils mérites mieux qu'un simple DVD vous ne penser pas ?
Que ce soit Yves Montand ou Marilyne Monroe ils mérites mieux qu'un simple DVD vous ne penser pas ?
Il existe un moment singulier de Marilyn qui définit sa pertinence intemporelle et sa popularité dans l'histoire américaine. Avant de découvrir Marilyn à l'écran j'ai souvent rencontré ses photos et des références à son sujet dans des magazines, des encyclopédies, des compilations et des archives. J'ai également lu une biographie sur elle. La façon dont je visualisais sa démarche sa voix et ses gestes était tout à fait contraire à sa performance réelle dans les cinémas. Je m'attendais à ce que cette femme possède d'extraordinaires capacités d'actrice un charme naturel ainsi qu'une voix plus grave et plus douce qui dénotait de la classe et du raffinement. Elle n'était pas comme Greta Garbo qui pouvait faire en sorte que tout le monde autour d'elle, les acteurs, les caméras et le public tombe amoureux d'elle en un instant. La déception que j'ai ressentie après avoir enduré Arrêt d'autobus m'a donné une perception négative de Monroe. Je l'ai trouvée sirupeuse et paniquée comme si elle réfléchissait constamment à des moyens de contenter son public tout en s'abandonnant dans sa méthode de jeu imprévisible. Après quatre films la véritable raison de son succès massif m'échappait toujours. Avec Le Milliardaire un film globalement terne et je ne comprend toujours pas pourquoi elle était adorée...
Un très bon film qui réunit le duo Yves Montand et Marilyn Monoroe dans une comédie sentimentale des années 1960.
Marylin et Montand transforment cette petite comédie en chef d'œuvre. Il suffit de quelques scènes pour comprendre pourquoi ils ont eu tant d'importance à leur époque.
Un plaisir de voir deux légendes du cinéma dans un même film qui est tout autant jouissif! Alors on peut reprocher l'humour parfois un peu lourd, le scénario bancale et le manque d'originalité mais qu'importe: on passe un merveilleux moment devant ce grand film. C'est très drôle, Montand est charmant dans ses débuts un peu timides et Marilyn est si attachante dans ce rôle de femme, de "vraie" femme, je veux dire par là que son personnage n'est pas une caricature ou un idéal: elle a ses qualités et ses défauts ainsi qu'un caractère bien à elle. Sans oublier le magnifique Frankie Vaughan, absolument magistral! (surtout dans ses scènes de chant!)
Le milliardaire doit davantage sa célébrité à ce qui s’est passé autour du film. On pense bien sûr à la relation entre Marilyn et Montand qui aurait dépassé les bornes professionnelles. Certains avancent même que la blonde comédienne aurait été enceinte du chanteur des Roses de Picardie. Mais le drame dans cette histoire, c’est que Simone et Arthur étaient des cocus très en vue à cette époque. Pour ce qui est du film, disons que faire un métrage d’une heure et demi à partir d’un quiproquo ça prend plus que des guest appearance pour le meubler. Dans ce cas-ci, cela aurait exigé des numéros d’acteur que Montand n’était pas en mesure de livrer. On peut parler ici d’erreur de casting. Le milliardaire aurait trouvé un tout autre ton si on avait confié le rôle de Clément à un comédien au comique plus naturel et même cabotin sur les bords. Heureusement, Marilyn nous offre quelques chansons qui sont restés gravées dans la mémoire collective notamment My Heart Belongs to Daddy signée Cole Porter. Mais malheureusement pour elle, sa reputation est sortie de cette aventure encore plus écorchée. Les échos de Some like it Hot concernant son attitude non professionnelle avaient fait en sorte que plusieurs acteurs avaient refusé d’incarner Jean-Marc Clément. Rien pour nourir l’estime de George Cukor qui se verra forcer de la diriger à nouveau deux ans plus tard dans Something’s Got to Give. Mais cette fois son calvaire sera de courte durée puisque le dernier retard de Marilyn sera pour l’éternité.
weihnachtsmann
L'idée du film est plaisante et on passe un bon moment, mais il y a une baisse de régime assez flagrante au moment où ils commencent à préparer le spectacle. On peut même parler d'ennui tant il ne se passe plus rien et que dire de la révélation finale plutôt faible. On se doute évidemment du happy end mais cela manque d'éclat. Moyen.
Il a fallu braver le froid de janvier et la pluie et la nuit d'un dimanche soir et attraper une séance tout au bout de Paris pour voir le film qui a failli faire de Montand un jeune veuf, ou pas (!) ou de Signoret une divorcée. Eh bien j'ai été servie d'une bonne soupe à l'ennui, d'un Montand plus soporifique que son personnage et jamais crédible, de longueurs de plus en plus longues. Mais Maryline toute lumineuse et touchante avec son corps légèrement potelé de femme-petite fille et sa voix toute gentille, trop maquillée comme pour "embellir sa beauté" ou cacher son désespoir.
Du coup, je m'en suis rentrée en pensant au plus bel hommage qu'on ait fait à Norma Jane Baker. J'ai juste envie de le partager ici...
Marilyn, par Pier Paolo Pasolini -
Del mondo antico e del mondo futuro
era rimasta solo la bellezza, e tu,
povera sorellina minore,
quella che corre dietro i fratelli più grandi,
e ride e piange con loro, per imitarli,
tu sorellina più piccola,
quella bellezza l’avevi addosso umilmente,
e la tua anima di figlia di piccola gente,
non ha mai saputo di averla,
perché altrimenti non sarebbe stata bellezza.
Il mondo te l’ha insegnata,
Così la tua bellezza divenne sua.
Del pauroso mondo antico e del pauroso mondo futuro
era rimasta sola la bellezza, e tu
te la sei portata dietro come un sorriso obbediente.
L’obbedienza richiede troppe lacrime inghiottite,
il darsi agli altri, troppi allegri sguardi
che chiedono la loro pietà! Così
ti sei portata via la tua bellezza.
Sparì come un pulviscolo d’oro.
Dello stupido mondo antico
e del feroce mondo futuro
era rimasta una bellezza che non si vergognava
di alludere ai piccoli seni di sorellina,
al piccolo ventre così facilmente nudo.
E per questo era bellezza, la stessa
che hanno le dolci ragazze del tuo mondo...
le figlie dei commercianti
vincitrici ai concorsi a Miami o a Londra.
Sparì come una colombella d'oro.
Il mondo te l’ha insegnata,
e così la tua bellezza non fu più bellezza.
Ma tu continuavi a essere bambina,
sciocca come l’antichità, crudele come il futuro,
e fra te e la tua bellezza posseduta dal Potere
si mise tutta la stupidità e la crudeltà del presente.
La portavi sempre dietro come un sorriso tra le lacrime,
impudica per passività, indecente per obbedienza.
Sparì come una bianca colomba d’oro.
La tua bellezza sopravvissuta dal mondo antico,
richiesta dal mondo futuro, posseduta
dal mondo presente, divenne un male mortale.
Ora i fratelli maggiori, finalmente, si voltano,
smettono per un momento i loro maledetti giochi,
escono dalla loro inesorabile distrazione,
e si chiedono: «È possibile che Marilyn, la piccola Marilyn, ci abbia indicato la strada?»
Ora sei tu,
quella che non conta nulla, poverina, col suo sorriso,
sei tu la prima oltre le porte del mondo
abbandonato al suo destino di morte.
Du coup, je m'en suis rentrée en pensant au plus bel hommage qu'on ait fait à Norma Jane Baker. J'ai juste envie de le partager ici...
Marilyn, par Pier Paolo Pasolini -
Del mondo antico e del mondo futuro
era rimasta solo la bellezza, e tu,
povera sorellina minore,
quella che corre dietro i fratelli più grandi,
e ride e piange con loro, per imitarli,
tu sorellina più piccola,
quella bellezza l’avevi addosso umilmente,
e la tua anima di figlia di piccola gente,
non ha mai saputo di averla,
perché altrimenti non sarebbe stata bellezza.
Il mondo te l’ha insegnata,
Così la tua bellezza divenne sua.
Del pauroso mondo antico e del pauroso mondo futuro
era rimasta sola la bellezza, e tu
te la sei portata dietro come un sorriso obbediente.
L’obbedienza richiede troppe lacrime inghiottite,
il darsi agli altri, troppi allegri sguardi
che chiedono la loro pietà! Così
ti sei portata via la tua bellezza.
Sparì come un pulviscolo d’oro.
Dello stupido mondo antico
e del feroce mondo futuro
era rimasta una bellezza che non si vergognava
di alludere ai piccoli seni di sorellina,
al piccolo ventre così facilmente nudo.
E per questo era bellezza, la stessa
che hanno le dolci ragazze del tuo mondo...
le figlie dei commercianti
vincitrici ai concorsi a Miami o a Londra.
Sparì come una colombella d'oro.
Il mondo te l’ha insegnata,
e così la tua bellezza non fu più bellezza.
Ma tu continuavi a essere bambina,
sciocca come l’antichità, crudele come il futuro,
e fra te e la tua bellezza posseduta dal Potere
si mise tutta la stupidità e la crudeltà del presente.
La portavi sempre dietro come un sorriso tra le lacrime,
impudica per passività, indecente per obbedienza.
Sparì come una bianca colomba d’oro.
La tua bellezza sopravvissuta dal mondo antico,
richiesta dal mondo futuro, posseduta
dal mondo presente, divenne un male mortale.
Ora i fratelli maggiori, finalmente, si voltano,
smettono per un momento i loro maledetti giochi,
escono dalla loro inesorabile distrazione,
e si chiedono: «È possibile che Marilyn, la piccola Marilyn, ci abbia indicato la strada?»
Ora sei tu,
quella che non conta nulla, poverina, col suo sorriso,
sei tu la prima oltre le porte del mondo
abbandonato al suo destino di morte.
Tout est basé sur le couple Marilyn Monroe/Yves Montand, les personnages secondaires étant insipides. Montand y est juste passable. Reste Marilyn sa beauté, son talent, son charme fou et ses chansonnettes. Elle parvient à porter le film à elle seule. Sinon derrière la romance un peu naïve se glisse certains propos qui sont loin d'être idiots. Un assez bon moment malgré ses faiblesses
Je ne suis pas du tout persuadé du bien fondé du couple "Montand / Monroe". Je n'ai pas beaucoup aimé le jeu d'Yves Montand dans le rôle du milliardaire : il semble plus que mal à l'aise et loin des rôles qu'on lui connaît. Il est voulu qu'il soit ridiculisé entre ses blagues déjà connues et son cri du coq... Il n'apparaît pas sous son meilleur profil. L'histoire est cependant bonne et comprend beaucoup de chorégraphies vieillissantes et de chants de Marilyn pas toujours agréables pour moi. Je n'ai pas aimé car je trouve le couple très mal assortie. Cependant, les contraires s'attirent, comme dit la formule. Moyen, pour moi. La romance m'a déplu
spoiler:
et la déclaration "je vous aime, épousez-moi" d'Yves Montand vient bien mal dans la conversation.
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