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Marc Taton (Belgique)
32 abonnés
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5,0
Publiée le 16 février 2015
Deux ans après "les dents de la mer" Spielberg nous offre "son chef d'oeuvre", à la fois émouvant, féerique, et visuellement bluffant, Même après autant d'années (1978) la magie opère comme au premier jour.
Mouais... Autant j'ai adoré l'idée générale sur les relations hommes-ET, la poésie que cela dégage, le mystère du début, les apparitions furtives et énigmatiques, autant l'ensemble m'a profondément ennuyé, entre rajout d'intrigue avec des personnages sinon inutiles, du moins peu attachant, et un final d'une lenteur pachydermique. Oui l'idée de faire de la musique un moyen de communication est intéressante et j'apprécie de voir que les ET peuvent aussi être des amis. Mais vraiment je me suis ennuyé j'ai trouvé qu'il ne se passe finalement pas grand chose. Et surtout le final est bien trop lent et laisse en suspend trop de mystères. Finalement on n'apprend rien, et je trouve ça vraiment décevant. spoiler: Pourquoi partir dans l'espace? Pourquoi les Et ont capturé des humains (parfois pendant 60 ans)? . Trop de gras dans le corps du film, pas assez dans le final, pas terrible donc.
Film d'une grande beauté en effet. Mais aujourd'hui, pouvons nous encore qualifier Rencontre du Troisième Type de film de science fiction ? Evidemment que oui mais ce n'est pas la seule étiquette que l'on puisse attribuer au film. Le film divulgue des problèmes societaux, tel que des informations non divulguées par les autorités, le mensonge (exil des habitants pour "zone dangereuse"), la paranoïa Etats Uniennes, etc. Musique extraordinaire, personnages superbement maîtrisés et proche de nous, une ambiance unique très attachante. Rencontre du Troisième Type, ou l'art de faire planer un mystère pendant plus de deux heures, de ne pas trouver toutes les réponses aux questions, et de s'en contenter.
Sous la direction de Steven Spielberg , se fût une étonnante surprise de voir que se qui était censé être représenter n'était au faite pratiquement pas matérialisé , on suit globalement l'aberrance de deux personnage sur presque 2h pour un final qui laisse perplexe . On n'a quasiment pas d'aperçus concrets de se qu'ils appelle le troisième type ( extra-terrestre ) on n'a juste des lumières qui nous éblouie sans que l'on puisse réellement distingué la forme des engins !
A cette occasion Richard Dreyfuss retrouvera Spielberg avec qui il avais travailler sur le premier volet des dents de la mer , ici il incarna Roy l'homme avec qui nous passons plus des 3/4 du film à attendre un déblocage mais qui ne venue pas au bout du compte ! Mise a pars cet acteur que Steven aura bien trop insister a mettre en évidence , aucune ne ma fait vraiment tape a l'oeuil …
Un film bien trop long je trouve et schématiquement assez vide , cependant il y a une certaine réfection mise en scène ou Spielberg aura émis un doute et un questionnement intéressant , il s'agit du faits que tout ceci n'est que superstition , a pars quelque témoignage assez flous nous ne savons toujours pas si une autre espèce que la notre vie sur une autre planète ou si c'est tout simplement des essaye secret par l'armée ; questionnement qui bien évidemment me passionne depuis toujours . Ce films aura tout de même a ma surprise eu un succès que j'ai put constater par le nombre de nomination dans diverse catégorie mais se fut le prix du meilleur décors qu'il obtiendra finalement , prix que j'ai du mal a croire a pars peux être la scène finale qui est plus tôt bien tournée mais j'en suis étonner quand même !!
Entre musique incessantes qui retentis a chaque scène , luminosité éblouissante des engins qui pique les yeux et scénario trop plat a mon goût , le point positif qui ma garder attentif n'était rien de plus qu'un questionnement flous mais intriguant .
Vu en 1978, alors qu'on tournait et projetait encore en pellicule "argentique" et que les spectateurs savaient se prendre au jeu, s'immerger dans la magie due au rayon du projecteur de la salle. Les temps ont changé. L'ultime montage (2007) "director's cut" apporte à ce beau film ce qui lui manquait peut-être un peu en approfondissant la peinture de certains caractères et en supprimant surtout l'intérieur du vaisseau, élément imposé à Spielberg par les bureaux marketing de Universal en contrepartie de quelques ajouts désirés par le jeune réalisateur (version 2 dite "spéciale") qui a toujours considéré, et toujours à présent, son film inachevé.
Il est symptomatique que la jeunesse impatiente d'aujourd'hui trouve des longueurs à cette narration qui prend son temps, ménage ses effets, construit lentement mais surement une progression du suspens vers la conclusion, elle féerique, magique, qui éclate sous nos yeux et à nos oreilles dans un grand orchestral son et lumières... Car Spielberg fait d'un défaut de l'époque : difficulté de cadrer des effets spéciaux notamment en présence des E.T, le choix de nous aveugler... C'est peut être là la plus belle des coïncidences : film de Lumière donc, à l'époque où, selon les dires du réalisateur, "on osait ouvrir la porte pour aller vers elle"... En véritable manager, le surdoué d'Hollywood a su recruter et entraîner avec lui une équipe aussi impressionnante en nombre que motivée par le projet. Le résultat est là : à nos yeux c'est de loin (avec "Duel", au proportions radicalement inverses !) l'opus le plus beau et le plus sincère d'un cinéaste par ailleurs trop souvent contestable dans ses choix. Science et conscience, cette fois....
Je sens que je vais me faire lapider pour cette critique. Ma relation avec ce film est compliqué. J'ai tenté a mainte reprises de le regarder au complet, chaque tentative se concluant par un échec. J'en avais presque honte, puisqu'il est considéré comme un chef d'oeuvre par 99% de la population. Ne n'est qu'a la suite d'un: "QUOI!? Tu n'as jamais vue Rencontre du 3ème type au complet!!!??? La fin vaut le détour, tu sais pas ce que tu manque! " Que j'ai tenté pour une énième fois de le visionner au complet....Et j'ai réussi! (avec un effort incommensurable).
Ce film est non seulement très très long, mais il se développe tout aussi lentement. C'est vraiment le seul point négatif que j'ai a dire, mais Ô combien pesant sur ma conscience. Il ne se passe rien, sauf à la toute fin du film. Ce film m’endors, je le trouve ennuyeux à mourir. La tentation d'appuyer sur le bouton "stop" de mon lecteur DVD était très forte après 1h de film (je ne vous raconte pas après 2h...mon doigt en avais des tics nerveux).
La seule chose qui m'a encourager a continuer, c'est cette fameuse scène finale dont on m'a parlé. Je voulais enfin voir ces extraterrestres! Et je dois l'avouer, pour l'époque, l'arrivé du vaisseaux mère est à couper le souffle. Mais malheureusement, cela ne compense pas pour les heures interminables d'ennuie que je me suis taper seulement pour les 10 minutes de la fin.
Je mets 3 étoiles pour la scène finale et parce que j'ai l'impression que de mettre moins serait du blasphème. Je me sens déjà sale d'avoir écrit cette critique. Enfin, comme on dit tout les goûts sont dans la nature, on ne peut pas plaire a tout le monde.
Portant l’une des classifications utilisées en ufologie, « Rencontres du Troisième Type » est l’une des réussites de Steven Spielberg dont le contenu m'a toujours fasciné. Abordant avec un certain sérieux, le thème du contact avec une intelligence extra-terrestre, la qualité exceptionnelle de ses effets spéciaux lui apporte, aujourd’hui encore, une certaine plausibilité. Les entêtantes 5 notes de musique (ré-mi-do-do-sol) de John Williams, créant un lien de communication pour le moins original, les réapparitions mystérieuses de l’escadrille du Vol 19, ainsi que celle du cargo en plein désert de Gobi, les grandioses séquences finales au pied du Devils Tower, sans oublier l’interprétation obsessionnelle de Richard Dreyfuss, font de cette incontournable aventure collective, l’un des grands classiques de la SF. Reste le souci du rythme à certains moments de l'histoire et la présence, plus anecdotique qu’efficace d'un François Truffaut qui se révèle bien piètre acteur. Initialement écrit par Paul Schrader, le scénario a entièrement été remanié par Spielberg qui lui apporte une approche plus personnelle. Sorti en 1977 et poulain de «Star Wars», le film est devenu instantanément culte. Le réalisateur le remodela pour une «édition spéciale» qui sorti en 1980 (c’est d’ailleurs cette version-là que j’ai découvert au cinéma) avant une version dite définitive à l'occasion de son 30ème anniversaire.
Regarder "rencontres du troisième type" au XIe siècle ne suscite aucun intérêt, sauf peut-être au apprenti réalisateur ou au fan invétéré de SF, mais je ne suis dans aucune de ces deux catégories. Beaucoup de lenteurs, beaucoup de comportements inexpliqués et on ne peut pas dire que les acteurs transcendent le film. Je ne le recommande pas, d'un ennui !
Malgré l'âge du film, il est toujours très bien fait et l'histoire est prenante! Spielberg a signé une véritable œuvre ! Si la plupart des acteurs sont bons, certains dénotent un peu!
Film culte, "Rencontres du 3ème type" marque le grand travail de réalisateur de Steven Spielberg dans le genre de la science-fiction. De ce fait, la mise en scène est bien travaillé même si le scénario n'est pas totalement à la hauteur avec des personnages parfois peu intéressants. Ainsi, le film est divertissant mais pas totalement captivant à cause d'un jeu d'acteurs pas assez étoffé.
Troisième film du génie Steven Spielberg, RENCONTRE DU 3EME TYPE nous démontre tout le talent de maître de la mise en scène du réalisateur. Bien manié et novateur dans son temps, RENCONTRE DU 3EME TYPE n’a pas pris une ride et n’a rien à envier des films de science fiction moderne misant d’avantage sur le visuel que sur le scénario. Non, Steven Spielberg, lui, nous offre les deux pour un film qui est désormais culte.
Le succès incroyable de RENCONTRE DU 3EME TYPE vient sans aucun doute de sa mise en scène qui croître le mystère à mesure du film. Un excellent scénario thriller pour un film de science fiction. Novateur dans son temps, Steven Spielberg aborde la question alien sous un angle mystérieux, ce qui rend le RENCONTRE DU 3EME TYPE addictif. Le spectateur se prend vite au jeu du mystère des O.V.N.I. Et, le dénouement final de ce mystère est divin car il laisse aux spectateurs imaginer ce qu’il adviendra des humains, dans cette fin intense. Aussi, notons tout l’environnement autour du mystère du Devil’s Tower et des hallucinations prétendus de Roy. On peut reprocher toutefois, le mode de communication des extra-terrestres / humains, qui de nos jours est un peu dépassé.
Mais le scénario n’a rien à envier à une mise en scène de génie, développé pour garder le mystère pour les toutes dernières minutes. Spielberg prend soin d’orienter le spectateur dans les pensées de Roy et de laisser donc le mystère planer sur les extra terrestres. Car en effet, même si l’on voit très souvent ces soucoupes volantes, Spielberg ne dévoilera qu’à la fin l’aspect des dits extra-terrestres. Notons que les effets spéciaux sont extrêmement bien réussit ainsi que la photographie, qui a d’ailleurs remporté l’Oscar de la meilleure photographie en 1978.
Côté casting on retrouve l’océanographe tenace de Jaws (1975), Richard Dreyfuss qui interprète avec merveille, ce Roy désespéré que tout le monde croit fou.
Pour conclure, Steven Spielberg nous prouve encore une fois qu’il est le maître incontesté de la mise en scène. RENCONTRE DU 3EME TYPE est divin et manie avec une rare intelligence le mystère extra-terrestre. Un film culte, à voir absolument!
Alors que la présence d’extraterrestres sur Terre a pendant des décennies été considérée par le cinéma hollywoodien comme une allégorie facile de la menace communiste, Steven Spielberg réinvente ce sous-genre de la science-fiction en imaginant, avec un maximum de réalisme, les réactions de terriens standards à la vue de vaisseaux interplanétaires. Le réalisateur tout juste auréolé par le succès des Dents de la mer deux ans plus tôt n’a donc pas placé la peur au cœur de ce récit mais bien la fascination sous toutes ses formes, l’une allant pousser vers une folie obsessionnelle le personnage du modeste témoin de ces OVNI incarné par Richard Dreyfuss et l’autre toute scientifique dans le cas du chercheur français incarné par François Truffaut. La présence du maitre de la Nouvelle Vague française est d’ailleurs, de la part de Spielberg, un tour de force qui a, au même titre que la technologie employée en matière d’effets spéciaux, valu sa reconnaissance internationale à Rencontre du 3ème type et qui lui permet d’être encore considéré, encore 40 ans plus tard, comme une référence incontournable en matière de mise en scène créatrice de rêves mais aussi comme un classique passé, comme le prouve son célèbre enchainement de cinq notes, dans l’inconscient collectif associé au mythe de la vie extraterrestre.
Spielberg au tout début de sa carrière (c'est son 3eme film) nous prouve quel réalisateur talentueux il fait. Probablement le meilleur film d'extra terrestre qu'il m'est est donné de voir avec Contact. Spielberg dissémine tout au long du film du mystère et jusqu'a la toute dernière seconde du film, on est en attente, est ce que ces créatures venues d'ailleurs sont amicales ? Toute la folie qui prend petit à petit les personnages est jouissive à suivre. Les effets spéciaux n'ont pas du tout vieilli et ce vaisseau reste parmis le plus beaux jamais crée. Spielberg avec ce film à crée un film qui a marqué l'histoire et qu'on retrouve dans de nombreuse série et autre flm de nos jours , que ce soit the devil tower ou les vaisseau en passant par les lumières et la musiques, tout y passe pour rendre hommage à cette pierre angulaire du cinéma de SF.
Oh que cette rencontre a vieilli... A force de revoir ses films au fil des années, je commence à ne plus pouvoir supporter la marque de fabrique Spielberg, sa patte m'agace même si on lui doit de grands monuments du 7ème art (Schindler ou Ryan entre autres...). "Rencontres du 3ème type" est le Spielberg par excellence, pas pour sa qualité mais pour ces traits de réalisation qui sont similaires à la majorité des films de sa carrière et qui en deviennent insupportables de niaiserie, bref ceci n'engage que moi. Le film en lui-même ne se rend pas crédible par sa façon de présenter cette fameuse rencontre. On n'y croit pas vraiment, et on préfèrera renouveler l'expérience avec des rencontres plus plausibles où la longueur des scènes et la lenteur générale se font moins ressentir et où les comportements sont moins négligés.
Steven Spielberg aime la science-fiction. Ce n’est un secret pour personne. Bien avant les robots d’A.I, les dinosaures de Jurassic Park et surtout, cinq ans avant le petit E.T l’extraterrestre, le réalisateur s’intéressait d’ores et déjà à ces créatures venues d’ailleurs. « Rencontres du troisième type » raconte le destin de plusieurs personnes ayant assisté à des manifestations surnaturelles. Plusieurs d’entre eux, dont le héros Roy, un américain moyen, en font une obsession et n’hésitent pas à risquer leur vie pour expliquer l’inexplicable. Ainsi, le début du film est un enchaînement d’évènements à première vue indépendants : disparitions de pilotes d’avions, passages de vaisseaux au-dessus de la campagne américaine, chants mystiques en Inde, etc. Ces évènements se situant dans le monde entier semblent sans rapport ? Finalement pas tant que ça. « Rencontres du troisième type » est un film de science-fiction qui se déroule tout en douceur. Un soulagement comparé aux films d’aujourd’hui où tout est tout de suite montré au spectateur à grand renfort d’explosions. L’impatience de découvrir les créatures se fait de plus en plus ressentir. Tout comme dans le film « Signes » de M. Night Shyamalan, les extraterrestres brillent par leur absence. Une réussite. Leur première apparition n’en est que plus forte. Steven Spielberg comble le manque de moyens dédiés aux effets spéciaux pour innover. Ses effets de lumière intense rendent les vaisseaux et leurs occupants troubles. Ce qui renforce admirablement le mystère. Malheureusement, il faudra attendre d’avoir passé les cinquante premières minutes du film pour que les péripéties deviennent palpitantes. spoiler: La disparition du petit garçon de Jillian en est en quelque sorte l’élément déclencheur. Enfin ! (Comment ça je me réjouis de la disparition d’un enfant ? Qui a dit ça ?) Le film étant présenté d’un point de vue exclusivement humain, la première partie est assez terne. Le personnage principal, inintéressant, chamboule sa petite routine et celle de sa famille pour percer le mystère. Lorsque spoiler: sa femme le quitte , il la regrette un instant, puis l’oublie miraculeusement, pour tomber dans les bras de spoiler: Jillian (rien à dire sur ce personnage tellement elle ne sert à rien). Son obsession me semble également trop étrange pour être crédible. Est-ce une sorte d’envoûtement lancé par les extraterrestres ? Plus tard, on découvre un second personnage important. Il est joué par François Truffaut quand même ! Qui dit grand acteur ne dit pas forcément grand rôle. Ni Roy le héros moyen, ni le scientifique français ne provoqueront un sentiment d’attachement de ma part. La qualité d’écriture des personnages étant un élément majeur pour moi, leur manque d’approfondissement ici ne m’a pas plu. Ce que j’ai également trouvé dommage, c’est que rien ne sera jamais expliqué ou sous-entendu par rapport à la balade terrestre des aliens. La spoiler: capture d’humains semble vaine, puisquespoiler: tous les hommes sont rendus à leur planète sans raison particulière. Bref. On ne peut nier que le film présente de nombreuses qualités, et que pour son temps, il était particulièrement novateur. Et comment oublier ces cinq petites notes emblématiques ?