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Un visiteur
1,0
Publiée le 29 septembre 2006
Mais qu'est ce que Spielberg nous a ENCORE fait ? Il est vrai qu'on aurait pu s'attendre a mieux avec toutes les critiques qui mettait 4 étoiles a ce film qu'ils jugeaient "exceptionnel". le résultat ? Décevant, ennuyeux, monotone, longet, ... Poutant le début était plutôt sympa : le personnage principal tombe peu à peu dans la folie et personne ne veut le croire. Mais à la fin, Spielberg part en freestyle, les martiens composent une symphonie pendant 3 heures et on se retrouve avec un film qui, s'il aurait fait 20 minutes aurait été pas mal. MAIS NON, il fait 2H15. 2H15 a s'emmerder devant cette bouse inter-galactique, et on en vient à regretter amèrement le téléfilm de TF1 ou de France 2. De plus, la présence de notre Truffaut national aves son jeu de série B était totalement dispensable. Quelle représentation de la France et du cinéma français !!! Pour finir, un mot qualifie bien ce film : Grotesque.
Un sujet important traité dans un film important. Toute la problématique ovni est résumée avec brio, au moyen d'une réalisation parfaite et un casting prestigieux. Plus qu'un film, c'est une véritable expérience que nous vivons à travers ce chef-d'oeuvre. D'autant plus que nous sommes tous concernés.
Le Spielberg le plus représentatif (plus encore que "Jaws" ou "E.T"), soit la capacité de réaliser avec brio un film dont scénario, message et références diverses tiennent d'un infantilisme hallucinant et d'une naiveté plus excessive encore. Méchants hommes, gentils extra-terrestres! Ca va pas plus loin. Parce que franchement, une bande de gars, qui ont en commun d'avoir pris un mauvais coup de soleil, se sentent pousser l'étrange envie de faire des patés en croute et s'en vont vers une colline pour écouter une bande d'extra-terrestres fans de Jean-Michel Jarre s'essayer aux premiers synthésiseurs CASIO, ça vous paraît hautement intellectuel?
Prenez une graine et plantez - la dans la terre. Au bout de quelque temps pousseront des racines et plus tard encore un tronc principal. Arriveront les branches si tout se passe bien. Puis, si vous avez planté le noyau d'un fruit, vous obtiendrez des fruits. Pour cet arbre - là, les fruits sont ni irrésistibles ni mauvais, ils sont tout simplement mangeables, voilà tout.
Je vois ce film comme un feu d'artifices d'effets spéciaux et à la fin c'est le bouquet final. On a hautement plaisir à regarder ce film sans faire attention au scénario un peu enfantin qui fait comme toujours un des défauts majeurs des films de Spielberg mais cela n'est pas très important car on n'y fait même plus attention tellement la beauté des effets nous subjugue du début à la fin.
Encore un film vu trop jeune... Car si je gardais un souvenir poliment ennuyé, le revoir (au cinéma, qui plus est) a été un véritable délice. Sorte d'ancêtre du blockbuster avec infiniment plus de poésie et sans réelle scène d'action à proprement parler, « Rencontres du troisième type » va constamment à contre-courant du traitement habituel concernant nos amis extraterrestres : le choix des personnages, leur personnalité, cette volonté d'apporter constamment de la douceur dans le traitement, le tout porté par un talent visuel hors-norme, des discrets (sauf à la fin) effets spéciaux aux décors. Il y a toujours un contexte précis (scientifique, en l'occurrence) et si certains pourront y voir de la naïveté, j'y ai surtout vu beaucoup de charme, d'élégance, toute la partie avec Richard Dreyfuss étant constamment étonnante : on lui envierait presque sa « folie »... Et puis il y a évidemment cette dernière partie devenue totalement mythique, comme la fameuse partition de John Williams : là encore, le résultat est étonnant, sensible voire majestueux, sans oublier un aspect pour le moins audacieux : spoiler: le héros abandonne ni plus ni moins sa famille pour visiter l'espace sans même leur faire ses adieux !! Si ça n'est pas gonflé, franchement... En tout cas, un magnifique éloge de l'imaginaire qui, s'il a peut-être légèrement vieilli parfois, n'a rien perdu de sa force visuelle et de son charme singulier : un classique, un vrai.