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Mimit_le_vrai
32 abonnés
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3,5
Publiée le 29 mai 2014
Un classique du maitre Spielberg, un film prenant et divertissant, impressionnant au niveau des effets spéciaux pour son époque. La bande son est très bonne et reste dans la tete. Un film à voir. 14/20
Culte , RDTT n'est pourtant pas le meilleur film de spielberg. Malgré des fulgurances témoignant de la grande habilité du cinéaste , ce film génère un ennui poli ,s'estompant lors d'une superbe séquence finale entrée dans la légende . Coté acteurs , Hormis truffaut , pitoyable, tout le monde s'en sort bien y compris dreyfuss pourtant moins dans son élément que dans les dents de la mer. Le principal atout de ce film réside donc dans son final , hypnotique , ponctué de passages musicaux du plus bel effet signés john williams .
En général, les films de Spielberg ont bercé mon enfance. Pourtant celui ci non, beaucoup trop long pour moi. Le scénario est sympa, le fait que les ET soient gentils et que les américains ne tirent pas sur tout ce qui bouge, il fallait ENFIN le faire ! Mais mis à part la scène finale (encore que le design des ET bof bof), le film traîne en longueur...
Le bon souvenir d’un visionnage lors de la sortie en salle est largement atténué (presque 40 ans plus tard). La première partie qui multiplie les évènements bizarres à travers le monde est plutôt réussie, sur un rythme soutenu et bien réalisée. Mais dans la deuxième partie (en route vers la rencontre, à l’assaut de la montagne), le rythme devient mou et ultra lent. C’est long, laborieux, souvent pas crédible, parfois risible jusqu'au dénouement final totalement « cliché ». Et pourquoi François Truffaut dans le rôle du scientifique français à qui il faut tout traduire, et dont le jeu d'acteur est digne d'un figurant ?
Pourtant culte et adulé aussi bien par la critique que par le public, un film de science-fiction au scénario léger qui manque cruellement de fond. Les OVNIS ont pris un sacré coup de vieux. Restent une technique sympa, quelques plans très bons, une ambiance prenante et le talent de Richard Dreyfuss. Mais la grande question est : où veut en venir Spielberg dans ce film ?
Un film révolution pour l'époque qu'il faut donc voir. Passé ce constat, la lenteur de certaines scènes et l'étrangeté du scénario finissent par agacer.
Un film assez brillant et diablement bien réalisé où règne une ambiance prenante. Spielberg signe ici un film optimiste et humaniste qui agit comme un antidote à la noirceur et à l'aigreur. Dès les premiers moments du film il pose très vite les jalons de son histoire pour ensuite prendre son temps et s'intéresser finalement plus aux conséquences des rencontres qu'aux rencontres elles-mêmes. C'est cette atmosphère qui fait toute la force du film, l'obsession névrotique de Richard Dreyfus est puissante et contagieuse. L'acteur donne tout et délivre une prestation époustouflante de folie et de désespoir. La mise en scène est juste parfaite, tout tombe où il faut quand il faut et la scène finale est un torrent d'émotion.
Des vieux avions datant de la Seconde Guerre mondiale redécouvert, des chants indiens qui sembleraient signifier quelques choses de particulier, des objets volants non identifiés apparaissent, des objets électriques s'allumant tout seul... voilà bien des phénomènes aussi bizarres qu'inquiétants et surprenants, mais pour une poignée de scientifique, le constat est clair...
Après avoir croqué le box-office avec "Les dents de la mer", Spielberg se lance dans la science-fiction, genre qui le poursuivra tout le long de sa carrière, avec "Rencontre du troisième type". Débutant son récit par quelques phénomènes inexplicables, Spielberg met en place une atmosphère à leurs images, c'est-à-dire inquiétante, mystérieuse ou encore inexplicable, et c'est là toute la réussite du film, Spielberg nous intrigue et l'on est captivé voire fasciné par le récit, qu'il maîtrise à merveille.Il transmet à travers "Rencontre du 3ème type" sa curiosité et son émerveillement, pour notre (mon) plus grand bonheur.
Spielberg se fait assez sobre et opte pour un point de vue d'abord réaliste mais avec toujours une ombre fantastique et inexplicable. Il met en place un cadre adéquat où l'on suit plusieurs personnes dont la plus saisissante reste dans la banlieue américaine, venant de divers milieux et on observe leurs réactions, parfois opposés mais dominé par la peur de l'inconnu mais aussi une sorte de fascination (dans certains cas) pour l'inexplicable. Spielberg quitte peu à peu le cadre réaliste mais dresse toujours un portrait intéressant et parfois tendre des personnages et notamment celui de Roy Neary (Richard Dreyfuss) qui va toujours être fasciné, curieux et croire que ce qu'il voit.
C'est en effet sur ce personnage-là qu'il va vraiment braquer sa caméra mais aussi aborder un des thèmes qui lui est cher à savoir la famille. Spielberg nous montre son évolution au sein de sa famille au fur et à mesure que les effets surnaturels se font présents pour tendre vers un renfermement sur soi-même et un père incapable de tenir sa famille. Portrait saisissant, renvoyant directement à l'enfance du cinéaste qui fut marqué par le divorce de ses parents, et personnage fortement intéressant dont Spielberg en fait ressortir toute l’ambiguïté, l'intérêt et l'émotion. Il s'attache parfois à de simples scènes banales de quotidiens, notamment lorsqu'il représente la façon de vivre dans les foyers des banlieues, mais qu'il inclut à merveille dans son récit et ne faisant que renforcer l'intérêt et l'émotion pour les enjeux et personnages. Le film ne manque pas non plus de tensions qui monte crescendo plus on avance vers les péripéties importantes.
Spielberg se montre aussi brillant par son utilisation des couleurs et de la musique. Que ce soit de jour ou de nuit, la photographie est magnifique et Spielberg orchestre des ballets visuels lors de l’apparions d'effets extra-terrestres (que ce soit lors de simples lumières ou du passage d'OVNI). Il utilise ses couleurs pour tour à tour nous faire ressentir de l'émerveillement ou de l'angoisse. Certaines scènes sont inoubliables, à l'image de toute la finalité du film. Et puis, comme il l'avait déjà démontré dans "Jaws" et comme il continuera à le faire par la suite, il sublime la partition de John Williams qui fait partie intégrante du film.
Un film qui n'a rien perdu de sa puissance au fil des années. Une oeuvre aussi belle qu’intrigante, parfois angoissante et envoûtante où Spielberg démontre tous ses talents de metteur en scène.
Steven Spielberg en est encore à ses débuts quand il réalise " Rencontres du 3ème type", en 1977. Le film se construit dans un triangle original: Roy Neary (citoyen américain lambda), le scientifique français Claude Laccombe et des extraterrestres qui arrivent donc sur Terre. La force de ce film, c'est le mystère qui plane sans cesse, en tardant à donner un visage aux extraterrestres, et en ne donnant pas d'indications sur leurs intentions, avant les toutes dernières minutes. L'interprétation est de qualité: Richard Dreyfuss arrive à être touchant, parfois drôle, mais aussi troublant, jusqu'à a apporter un effet poétique dans un final très sobre et intélligent. François Truffaud, en scientifique passioné, ou encore les personnages féminins sont formidables. Mais ce film apporte aussi des réflexions sur les rapports entre humains face à un situation imprévisible et inexplicable. Le message final est touchant, et apporte quelque chose que le public ne voit pas assez souvent au cinéma: la magie !!!
Ah, je suis bien embêté. D'un côté on a quelques séquences très bien fichues et des idées de mises en scène vraiment malignes. De l'autre, ça sonne très creux, y'a des emphases lourdes sur des éléments pourtant rabachés et les extra-terrestres n'ont jamais été aussi freaky que quand ils sont gentils.
Rencontres du 3ème type est pour beaucoup de personnes un film "culte", je ne comprend toujours pas pourquoi. Je n'ai absolument pas aimé, je trouve ce film surestimé pour plusieurs raisons. Tout d’abords le scénario est nul de chez nul, on ne sait pas pourquoi les Extras-Terrestre viennent sur notre planète, ni pourquoi ils ont enlevé tout les pilotes durant la seconde guerre mondiale et encore moins pourquoi le personnage principale monte dans leur vaisseau, bref j'ai rien pigé au film. Je cherche encore l’intérêt de la scéne au il communique en musique, mais a ce moment du film je m'endormais sur mon canapé, tellement je m’ennuyais, sa n'aide pas a la compréhension. La V.F est absolument horrible, mais n’étant pas bilingue, je suis obligé de passé par cette version qui est vraiment de piètre qualité. Le film traîne en longueur, et sur 2h15 sa en devient limite intenable,