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5 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Serge Daney
Allen (…) se réfère au cinéma et à son histoire. Ce n'est pas seulement un cinéaste-cinéphile comme il en existe beaucoup aujourd'hui, y compris en Amérique, c'est un cinéaste travaillé par ce qui, dans le cinéma, nous importe aujourd'hui : que toute image implique un point de vue, que tout point de vue divise, que toute division est productive. Cahiers du cinéma 282, novembre 77
Libération
par Gilbert Rochu
(…) cette presque histoire d'amour est surtout prétexte à un savoureux feu d'artifice drôlatique. Passant du monologue à la bande dessinée, du rêve à la caricature, Woody Allen et sa partenaire jouent avec une verve souvent éblouissante. Libération, 10 septembre 77
Positif
par Jean Funck
Le film supporte allègrement le qualificatif de chef-d'œuvre. Positif 215, février 79
France Soir
par La rédaction
[Un] film extrêmement drôle où Woody Allen montre avec un humour mélancolique et ravageur ses échecs sentimentaux. France-Soir, 7 septembre 77
Le Monde
par Claire Devarrieux
C'est drôle, désespérement drôle, sérieux et vaguement surestimé, mais s'il fallait emporter un film sur une île déserte, ce pourrait être celui-là, on ne s'ennuierait pas à réfléchir dessus. Le Monde, 13 septembre 77
Cahiers du Cinéma
Allen (…) se réfère au cinéma et à son histoire. Ce n'est pas seulement un cinéaste-cinéphile comme il en existe beaucoup aujourd'hui, y compris en Amérique, c'est un cinéaste travaillé par ce qui, dans le cinéma, nous importe aujourd'hui : que toute image implique un point de vue, que tout point de vue divise, que toute division est productive. Cahiers du cinéma 282, novembre 77
Libération
(…) cette presque histoire d'amour est surtout prétexte à un savoureux feu d'artifice drôlatique. Passant du monologue à la bande dessinée, du rêve à la caricature, Woody Allen et sa partenaire jouent avec une verve souvent éblouissante. Libération, 10 septembre 77
Positif
Le film supporte allègrement le qualificatif de chef-d'œuvre. Positif 215, février 79
France Soir
[Un] film extrêmement drôle où Woody Allen montre avec un humour mélancolique et ravageur ses échecs sentimentaux. France-Soir, 7 septembre 77
Le Monde
C'est drôle, désespérement drôle, sérieux et vaguement surestimé, mais s'il fallait emporter un film sur une île déserte, ce pourrait être celui-là, on ne s'ennuierait pas à réfléchir dessus. Le Monde, 13 septembre 77