Des rednecks, de multiples plongées sur des décolletés généreux : pas de doute, on est bien chez ce bon vieux Russ Meyer. On s'amuse franchement (comme d'habitude), la bonne humeur paillarde du réalisateur étant particulièrement communicative, et on apprécie la réalisation enlevée. Détail amusant supplémentaire pour nous autres français : le héros est incarné par le sosie de Michel Field ! Sans être de la trempe de Faster, pussycat kill kill ou Supervixen, Le désir dans les tripes est assez sympathique pour se laisser tenter.