Avis : Superman - Page 7

Un vrai film de superhéros (bien américain avec ça !!). C'est naïf, les effets spéciaux sont démodés, les personnages caricaturaux, et à la fin, tout est bien qui termine bien ... Mais, mise à part la première partie sur Krypton (nulle à chier), le reste est plutôt pas mal. Christophe Reeve est très bien dans le rôle de Clark/Superman et Gene Hackman dans celui de Lex Lutor. Margot Kidder : définitivement bof !! Et puis, il y a cette musique de Williams, à mi-chemin entre Star Wars et Indiana Jones, mais inoubliable. On ne s'ennuie pas et c'est bien là l'essentiel, pour un film qui ne demande aucun efforts à nos neurones.

Si certains aspects ont du mal à supporter le poids des âges, "Superman" reste encore aujourd'hui une valeur sûre du film de super-héros, porté par un méchant ô combien charismatique et, surtout, une partition magistrale de John Williams pour l'une des bande-originales les plus célèbres de l'Histoire du cinéma. de quoi rester un minimum sous le charme, surtout au vu de suites qui s'avéreront de plus en plus désastreuses.

Un très bon film de Richard Donner avec Christopher Reeves. Le premier long métrage sur un super-héros au cinéma.

Avant de « critiquer » ce film, il faute le remettre dans son contexte. Les scènes d’actions enlevées et une très bonne histoire avec un très bon Gene Hackman dans le rôle de Lex Luthor. J’ai ate de voir si le réalisateur Zack Snyder arrivera à égaler l’original dans la futur adaptation du chevalier de fer.

Cette première incursion notable d’un super-héros au cinéma, un peu oubliée aujourd’hui, a pourtant marqué les années 70. Elle a permis de révéler le charismatique Christopher Reeve dans le rôle de Superman, Margot Kidder dans celui de Lois Lane et Gene Hackman dans celui de Lex Luthor. La musique signée John Williams est devenue inséparable du personnage. Ce premier épisode est indispensable à la série. On assiste à la genèse du super-héros, et on découvre sur grand écran ses pouvoirs. L’incroyable dénouement montre que ces derniers sont démesurés. D’ailleurs, le film fait plus d’une fois référence à Dieu. Les effets spéciaux comme les incrustations sur fond bleu font encore illusion de nos jours, à l'exception de quelques maquettes à la fin du film. « Superman » est un classique du genre à revoir ; même si j’ai toujours eu une légère préférence pour sa suite et ses super-vilains.

En 1978, l'Amèrique a besoin de hèros et les producteurs Illya et Alexander Salkind dècident de porter à l'ècran les aventures du plus cèlèbre hèros de bandes dessinèes: "Superman". L'occupation des studios anglais de Shepperton et de Pinewood, une bonne trentaine d'extèrieurs, la mobilisation de plusieurs gènies des effets spèciaux, trois ans au total de prèparation, on se doutait bien du gigantisme d'une telle opèration mis en chantier par Richard Donner! Oubliès les serials miteux aux acteurs suspendus dans les airs par de gros filins; grâce aux effets spèciaux conçus par les magiciens de "Star Wars", le super-hèros prend son essor de manière particulièrement convaincante! L'interprètation inoubliable du regrettè Christopher Reeve n'y est pas pour rien! La (coûteuse) prèsence de Marlon Brando, les trucages habilement utilisès par le directeur de la photographie Geoffrey Unsworth et la musique mythique de John Williams feront de ce premier opus de "Superman" un succès planètaire qui entraîna trois suites avec toujours Christopher Reeve qui restera à jamais marquè par ce personnage...

Je risque d’en surprendre plus d’un, mais je n’ai jamais été vraiment fan de « Superman ». Même gosse, c’est un personnage qui m’a toujours gonflé. Trop de pouvoirs, trop lisse, trop flashy… Une seule chose fait qu’il m’arrive malgré tout de l’évoquer avec nostalgie : la musique. Au-delà de ça, je n’arrive même pas à imaginer comment une nouvelle génération pourrait découvrir un film aussi conventionnel et vieilli aujourd’hui…

Un budget considérable, une interprétation prestigieuse, des effets spéciaux très soignés : rien ne semble avoir manqué à ce Superman, sinon un excellent scénario et un très bon réalisateur. Les auteurs ont heureusement témoigné d'un certain humour, et la composition de Christopher Reeve est vraiment un acteur charismatique. Pour l'époque, le film révolutionnait un genre. On s'extasiait sur les effets spéciaux et la scène du survol de nuit de New York entre Superman et Loïs était d'une surprenante sensualité. Plus de 20 ans sont passés et notre regard d'enfant a évolué. Le scénario ne brille pas par son originalité mais il semble que Richard Donner ne se soit pas pris au sérieux, ce qui nous sauve parfois du ridicule. A voir, ne serait-ce que pour la musique de John Williams, les transformations de Clark en Superman dans une cabine téléphonique et parce qu'aujourd'hui Christopher Reeve est dans une chaise roulante et qu'il n'a pas eu la carrière qu'il méritait.

Arrivée sur grand écran pour le moins mémorable pour l'Homme d'Acier, campé ici par le débutant Christopher Reeve qui enfile le collant et la cape avec un vrai talent. Le film est superbement construit et ménage habilement ses effets, s'appuyant non seulement sur son héros mais sur des seconds rôles très bien choisis, en particulier Gene Hackman qui jubile dans la peau de Lex Luthor et constitue une opposition de premier ordre. Même quarante ans plus tard, ça fait toujours son petit effet, à grand renfort d'effets mélodramatiques et de scènes d'action impressionnantes.

Si SUPERMAN bénéficie d'effets spéciaux du dernier cri pour l'époque (1978, soit un an seulement après STAR WARS), c'est surtout son casting qui permet encore aujourd'hui à ce film d'être considéré comme l'une des meilleures adaptations de super héros.
Evidemment, avoir Marlon Brando dans la peau de Jor-El est un gage de qualité même si celui ci est rare à l'écran hormis les premières minutes. Gene Hackman est un cabotineur à l'intelligence hautement maléfique qui correspond à une certaine idée de Lex Luthor.
Toutefois c'est surtout Christopher Reeve autant à l'aise dans les collants bleu & rouge frappé du "S" que dans les chaussures du faussement niais Clark Kent qui permet au film d'être crédible.
Rajouté un scénario qui tient la route plus une direction artistique de première facture avec à la barre Richard Donner (Arme Fatale notamment) et vous aurez un bon cocktail pour 2h d'action et de romance aussi.

Un grand casting, un grand film mémorable, une bombe à sa sortie ! Des effets spéciaux honnêtes, un scénario béton, une histoire originale. Un classique à ne pas manquer.

Revu cette année en DVD
Bien qu'ayant beaucoup vieilli ce film reste ce qui a été fait de mieux sur l'homme de Krypton !!!
De l'humour, de l'action, et toute la mythologie de Superman retranscrite par Richard Donner !
Feu Christopher Reeves est impeccable face à Gene Hackman en Lex Luthor....
Marlon Brando prend son rôle (court) de Jor-El à coeur!
A voir en version longue (2000) pour quelques minutes de plus avec une scène supplémentaires entre Jor-El et son fils Kal-El dans la forteresse de solitude.

C’est un oiseau ? C’est un avion ? Non, c’est Superman et il s’agit aussi de la seconde réalisation pour le cinéaste Richard Donner, qui venait de se faire connaître auprès du grand public grâce au film La Malédiction (1976). Il s’est attaqué au poids lourds des supers-héros, Superman I (1979) est interprété pour la première fois sur grand écran par Christopher Reeve, qui empoche du coup, son premier rôle au cinéma (il endossera le costume moulant sur les trois autre opus suivant).
Cette première adaptation, forte d’un budget colossale (pour l’époque), bénéficie des talents de ce jeune cinéaste, doué dans la mise en scène, son film regorge d’excellents SFX et d’innombrables maquettes (notamment pour les séquences finales, avec celle du pont de San Francisco ou celle du barrage).
Ajouté à cela, la très belle distribution, où l’on retrouve le grand Marlon Brando, Gene Hackman, Glenn Ford & Terence Stamp.
Ce qui a été l’un des plus grands succès de l'histoire du septième art est aussi un film culte pour toute une génération, qui au fil du temps, n’a pas trop souffert du temps et aurait plutôt tendance à nous replonger dans notre enfance !

"C'est donc en 1978 que le tout premier film de super-héros à gros budget vit le jour sur grand écran. Et bien évidemment, ce long-métrage fut consacré au premier des super-héros modernes : Superman.

Ce film raconte donc les origines de l'homme d'acier, de la destruction de Krypton, jusqu'à son premier affrontement avec Lex Luthor, en passant par son enfance à Smallville et la découverte de ses pouvoirs et par l'arrivée de Superman à Métropolis.

On a donc, en apparence, une origin story assez classique. Mais, il faut se replacer dans le contexte de la sortie du film. Comme je le disais précédemment, c'est le tout premier long-métrage à gros budget super-héroïque, et donc la première origin story d'un super-héros au cinéma. Si celle-ci nous semble donc classique, c'est seulement parce qu'elle fut tellement simple et efficace que la plupart des origins story actuelles calquent leur schéma sur celui de Superman."

Suite de la critique sur cineomax.over-blog.com

J’avais déjà vu le premier « Superman » interprété par Christopher Reeve quand j’étais gamin. A cette époque j’avais pas trouvé grand-chose à redire mais aujourd’hui, mes yeux d’adultes m’ont permis d’être bien plus pragmatique. Ici, c’est surtout la chère collègue de Clark Kent qui plombe le film : à ma grande surprise, j’ai retrouvé une Loïs Lane complètement cruche (qui fait des fautes d’orthographe). J’ai été ébahi par la scène d’envol de cette dernière avec Superman, accompagné d’un monologue que l’on croirait sorti d’un épisode des Feux de l’amour. Ca ressemble un peu au « Rêve bleu » dans le dessin animé Aladdin, sauf que c’est long et qu’on se demande franchement ce que ça fout là. Bref, une scène qui a failli propulser « Superman » au rang de nanard, si on n’y trouvait pas au moins quelques moments de bravoure qui sauvent un peu les meubles. Bilan : 2 étoiles. Eh oui, la faible avancée des effets spéciaux utilisés dans les années 70 n’excuse pas tout.