Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Sylvain Coumoul
Que cette magnifique restauration de La Rage du tigre soit aussi l'occasion de l'arracher aux griffes du "genre". C'est-à-dire du second degré, de toute une cinéphilie plus ou moins Z. Libre à chacun de se gondoler tandis que se succèdent des espaces gorgés de signification, mais tant qu'à vouer un culte à ce film, autant que ce ne soit pas toujours pour la démesure croissante des combats.
Fluctuat.net
par Laurence Reymond
Chef d'oeuvre du cinéma de Hong Kong, Chang Cheh signe avec "La Rage du tigre" un film crépusculaire, signe de la fin d'une époque. Porté par un duo d'acteurs exceptionnels, il rejoint ici la thématique de certains westerns de l'époque, dans une mise en scène de la violence et de la vengeance. Un must qui éclaire les liens cachés du cinéma asiatique et de l'Occident.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Humanité
par La rédaction
Chef-d'oeuvre du " wu xia pian " - film de sabre chinois -, jamais sorti en salles en version originale. (...) La dynamique du film est en effet un modèle, avec son lent attisement de la violence, contrecoup des souffrances subies par le bretteur Lei Li.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Si l'on se résout à l'idée que La Rage du tigre est une composition sur le malheur et la souffrance de vivre, qui tend vers l'abstraction, tous les éléments du film - le jeu des acteurs, la sécheresse de la mise en scène, l'emphase un peu ridicule de la musique - tombent en place.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Olivier Père
Célèbre dans le monde entier pour sa cruauté et sa démesure, La Rage du tigre est un des plus grands classiques du film de sabre chinois, mais il exprime surtout la quintessence du cinéma de Chang Cheh, pour ne pas dire sa folie.
Libération
par Philippe AZOURY
ce qui sidère, à revoir aujourd'hui cet opus séminal, c'est la légèreté, l'insolence, avec laquelle il s'empare du genre. En inventant un cinéma de danseur acrobate, en filmant les combats à la toupie, il crée un kung-fu pop, presque funky.
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
La ressortie de ce film en salles en version remastérisée est une façon de lui redonner un second souffle et une seconde chance. Accessoirement, cela donne l'occasion de constater qu'il n'a pas souffert des années et fait montre de la même virtuosité qu'à la belle époque. Une joie.
Cinéastes
par boris Jeanne
Il est une lignée de films absolument no fun du début à la fin, parés d'une violence à faire passer Charles Bronson pour le grand-père Ingals. (...) Dans une jouissance entièrement premier degré du film de sabre, il se démarque du tout-venant de la pléthorique production Shaw Brothers de l'époque par un montage chaotique, qui contraste avec l'extrême intériorisation des rancoeurs accumulées par le chevalier manchot.
La critique complète est disponible sur le site Cinéastes
Zurban
par Olivier Pélisson
Traversé par des scènes de combat hallucinantes (...), ce film de sabre mêle un récit limpide (...) à une mise en scène audacieuse (...).
Cahiers du Cinéma
Que cette magnifique restauration de La Rage du tigre soit aussi l'occasion de l'arracher aux griffes du "genre". C'est-à-dire du second degré, de toute une cinéphilie plus ou moins Z. Libre à chacun de se gondoler tandis que se succèdent des espaces gorgés de signification, mais tant qu'à vouer un culte à ce film, autant que ce ne soit pas toujours pour la démesure croissante des combats.
Fluctuat.net
Chef d'oeuvre du cinéma de Hong Kong, Chang Cheh signe avec "La Rage du tigre" un film crépusculaire, signe de la fin d'une époque. Porté par un duo d'acteurs exceptionnels, il rejoint ici la thématique de certains westerns de l'époque, dans une mise en scène de la violence et de la vengeance. Un must qui éclaire les liens cachés du cinéma asiatique et de l'Occident.
L'Humanité
Chef-d'oeuvre du " wu xia pian " - film de sabre chinois -, jamais sorti en salles en version originale. (...) La dynamique du film est en effet un modèle, avec son lent attisement de la violence, contrecoup des souffrances subies par le bretteur Lei Li.
Le Monde
Si l'on se résout à l'idée que La Rage du tigre est une composition sur le malheur et la souffrance de vivre, qui tend vers l'abstraction, tous les éléments du film - le jeu des acteurs, la sécheresse de la mise en scène, l'emphase un peu ridicule de la musique - tombent en place.
Les Inrockuptibles
Célèbre dans le monde entier pour sa cruauté et sa démesure, La Rage du tigre est un des plus grands classiques du film de sabre chinois, mais il exprime surtout la quintessence du cinéma de Chang Cheh, pour ne pas dire sa folie.
Libération
ce qui sidère, à revoir aujourd'hui cet opus séminal, c'est la légèreté, l'insolence, avec laquelle il s'empare du genre. En inventant un cinéma de danseur acrobate, en filmant les combats à la toupie, il crée un kung-fu pop, presque funky.
aVoir-aLire.com
La ressortie de ce film en salles en version remastérisée est une façon de lui redonner un second souffle et une seconde chance. Accessoirement, cela donne l'occasion de constater qu'il n'a pas souffert des années et fait montre de la même virtuosité qu'à la belle époque. Une joie.
Cinéastes
Il est une lignée de films absolument no fun du début à la fin, parés d'une violence à faire passer Charles Bronson pour le grand-père Ingals. (...) Dans une jouissance entièrement premier degré du film de sabre, il se démarque du tout-venant de la pléthorique production Shaw Brothers de l'époque par un montage chaotique, qui contraste avec l'extrême intériorisation des rancoeurs accumulées par le chevalier manchot.
Zurban
Traversé par des scènes de combat hallucinantes (...), ce film de sabre mêle un récit limpide (...) à une mise en scène audacieuse (...).