Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
La sortie de quatre films inédits de Mani Kaul est un véritable événement, tant a été négligée ici l'oeuvre du plus audacieux auteur du Nouveau cinéma indien des années 60 - 70.
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Le sens du récit est ténu dans ce cinéma, dont les histoires racontées se résument au strict minimum ; l’art de Mani Kaul se caractérise par son abstraction, par un sens très particulier de la temporalité, faisant du figement, de l’immobilité une dialectique en soi, s’intéressant moins à la progression des récits (la stagnation se situe également à cet endroit-ci) qu’à la contemplation des visages, des regards fixant par leur manque patent d’émotions un monde face auquel ils ne peuvent rien, qui édicte ses règles absurdes contre lesquelles la résistance semble impossible.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Mani Kaul filme avec grâce et poésie le désarroi des femmes du peuple incomprises.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Son recours à une majorité de plans fixes qu’il recompose parfois d’un très léger mouvement de caméra ainsi que son image géométrique et poétique font de Kaul un auteur moderne, faussement contemplatif, dont le cinéma est acéré et mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
La splendeur de ce cinéma y prend un tour insoupçonné : méandre mental et cage de reflets, l’image s’y confond avec l’inconsistance de l’être, traduisant l’incertitude fondamentale de sa présence terrestre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
L’adaptation de La Douce de DostoÏevski par le cinéaste indien Mani Kaul est une splendeur formelle qui, grâce à une mise en scène aussi audacieuse que maitrisée, enchevêtre les temporalités comme les espaces de façon saisissante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Hubert Niogret
Mani Kaul veut éliminer toute spectacularisation, toute complaisance émotionnelle, pour aboutir à une description d’atmosphères, grâce à une grande rigueur du découpage, qui lui permet d’aller à l’essentiel, grâce aussi à une pureté du langage héritée de Robert Bresson, qu’il n’a cessé de citer comme référence pour son propre travail.
Les Inrockuptibles
par Thierry Jousse
Même si ses mouvements de caméra sont d’une grande beauté et qu’il rejoint le propos féministe des trois autres films proposés, Nazar n’a pas le tranchant de l’inoubliable film de Bresson.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Nathalie Dray
[...] trop littéral et plus bavard. Moins mystérieux en somme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
La sortie de quatre films inédits de Mani Kaul est un véritable événement, tant a été négligée ici l'oeuvre du plus audacieux auteur du Nouveau cinéma indien des années 60 - 70.
Culturopoing.com
Le sens du récit est ténu dans ce cinéma, dont les histoires racontées se résument au strict minimum ; l’art de Mani Kaul se caractérise par son abstraction, par un sens très particulier de la temporalité, faisant du figement, de l’immobilité une dialectique en soi, s’intéressant moins à la progression des récits (la stagnation se situe également à cet endroit-ci) qu’à la contemplation des visages, des regards fixant par leur manque patent d’émotions un monde face auquel ils ne peuvent rien, qui édicte ses règles absurdes contre lesquelles la résistance semble impossible.
L'Humanité
Mani Kaul filme avec grâce et poésie le désarroi des femmes du peuple incomprises.
L'Obs
Son recours à une majorité de plans fixes qu’il recompose parfois d’un très léger mouvement de caméra ainsi que son image géométrique et poétique font de Kaul un auteur moderne, faussement contemplatif, dont le cinéma est acéré et mélancolique.
Le Monde
La splendeur de ce cinéma y prend un tour insoupçonné : méandre mental et cage de reflets, l’image s’y confond avec l’inconsistance de l’être, traduisant l’incertitude fondamentale de sa présence terrestre.
Les Fiches du Cinéma
L’adaptation de La Douce de DostoÏevski par le cinéaste indien Mani Kaul est une splendeur formelle qui, grâce à une mise en scène aussi audacieuse que maitrisée, enchevêtre les temporalités comme les espaces de façon saisissante.
Positif
Mani Kaul veut éliminer toute spectacularisation, toute complaisance émotionnelle, pour aboutir à une description d’atmosphères, grâce à une grande rigueur du découpage, qui lui permet d’aller à l’essentiel, grâce aussi à une pureté du langage héritée de Robert Bresson, qu’il n’a cessé de citer comme référence pour son propre travail.
Les Inrockuptibles
Même si ses mouvements de caméra sont d’une grande beauté et qu’il rejoint le propos féministe des trois autres films proposés, Nazar n’a pas le tranchant de l’inoubliable film de Bresson.
Libération
[...] trop littéral et plus bavard. Moins mystérieux en somme.