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Un incontournable des films d'horreur, Jack Nicholson campe à merveille ce rôle de dégénéré...un Kubrik comme on les aime !
Un film culte de l'horreur que tout le monde adule mais que j'aime pourtant très moyennement. C'est vrai que Jack Nicholson est à son top de la folie (il se droguait à gogo à cette époque!), c'est vrai que les travellings sont merveilleux, c'est vrai que la scène du labyrinthe est splendide et que la scène où le petit garçon qui entend des voix en se promenant en tricycle laisse pantois. Seulement ça ne suffit pas. Non c'est insuffisant car le film est vide comme ce grand hôtel, que le scénario tient sur un timbre poste et que la fin est décevante. Un film culte donc mais que je n'apprécie pas vraiment.
Un film culte qui fait encore froid dans le dos 43 ans plus tard.
On aime....ou pas mais il fera partie des films qui m'auront marqué. On ne sort pas indemne de shining.
On aime....ou pas mais il fera partie des films qui m'auront marqué. On ne sort pas indemne de shining.
Un chef-d'œuvre classique par Maître Stephen King, Maître Stanley Kubrick et Maître Jack Nicholson
Le génie à l'état brut de Stanley Kubrick illumine l'écran dès les premières secondes avec un générique d’ouverture envoûtant.
Pas un seul cadrage ni mouvement de caméra n'atteint pas la perfection dans ce pur chef-d'œuvre cinématographique, qui fait écho au chef-d'œuvre littéraire de Stephen King, qui a co-écrit l'adaptation sur grand écran en personne avec Stanley Kubrick et Diane Johnson. La nouvelle monture Steadicam a été utilisée pour tourner plusieurs scènes, donnant au film un aspect et une sensation innovants et immersifs.
Jack Nicholson est né pour incarner Jack Torrance, comme la plupart des rôles qui honorent sa longue et riche filmographie et l'histoire du cinéma. Car, sa performance phénoménale vient tout simplement d'un autre monde. Shelley Duvall excelle également à lui donner la réplique dans le rôle de Wendy, l’épouse de Jack.
Danny Lloyd a été sélectionné pour le rôle de Daniel Anthony Torrance – également connu sous les surnoms « Danny », « Doc » et plus tard « Doctor Sleep » – en raison de sa capacité à rester concentré pendant un tournage long et exigeant.
Dans le making-of, Garrett Brown et John Baxter révèlent que spoiler: Kubrick a pu filmer toutes les scènes de Danny sans que l'acteur de six ans se rende compte qu'il tournait un film d'horreur. Ce d'autant plus qu'on lui avait fait croire qu'il jouait simplement dans un film dramatique sur une famille qui vit dans un hôtel
.
Scatman Crothers dans le rôle de Dick Hallorann, le chef de cuisine de l'hôtel Overlook, Barry Nelson dans le rôle de Stuart Ullman, le directeur de l'hôtel Overlook, Joe Turkel dans le rôle de Lloyd le barman, Philip Stone dans le rôle de Delbert Grady, le gardien de l'hôtel Overlook pendant l'hiver 1970-71 et actuel serveur dans la Salle d'or, Anne Jackson dans le rôle de la pédopsychiatre de Danny, Tony Burton dans le rôle de Durkin, Lia Beldam qui incarne spoiler: la jeune femme dans le bain de la chambre 237 et Billie Gibson qui joue celui de cette même jeune femme qui s'avère être un cadavre fantomatique
complète ce casting prestigieux, avec Barry Dennen dans le rôle de Watson, l'assistant du directeur de l'hôtel Overlook, David Baxt et Manning Redwood dans les rôles des deux Forest Rangers, Lisa et Louise Burns dans le rôle des filles Grady, Robin Pappas dans le rôle des rôle de l'infirmière et Alison Coleridge dans celui de la secrétaire du directeur de l'hôtel Overlook.
En 1981, les premiers Razzies montraient toute l'étendue de leur ignorance et la profondeur de leur inutilité avec leur appréciation des performances de Jack Nicholson et Shelley Duvall. Parce que le film a ensuite été largement reconnu comme l'un des meilleurs films jamais réalisés, et qu'en 2018, le film a été sélectionné pour être conservé dans le National Film Registry des États-Unis par la Bibliothèque du Congrès comme étant « culturellement, historiquement ou esthétiquement significatif ».
5/5
Le génie à l'état brut de Stanley Kubrick illumine l'écran dès les premières secondes avec un générique d’ouverture envoûtant.
Pas un seul cadrage ni mouvement de caméra n'atteint pas la perfection dans ce pur chef-d'œuvre cinématographique, qui fait écho au chef-d'œuvre littéraire de Stephen King, qui a co-écrit l'adaptation sur grand écran en personne avec Stanley Kubrick et Diane Johnson. La nouvelle monture Steadicam a été utilisée pour tourner plusieurs scènes, donnant au film un aspect et une sensation innovants et immersifs.
Jack Nicholson est né pour incarner Jack Torrance, comme la plupart des rôles qui honorent sa longue et riche filmographie et l'histoire du cinéma. Car, sa performance phénoménale vient tout simplement d'un autre monde. Shelley Duvall excelle également à lui donner la réplique dans le rôle de Wendy, l’épouse de Jack.
Danny Lloyd a été sélectionné pour le rôle de Daniel Anthony Torrance – également connu sous les surnoms « Danny », « Doc » et plus tard « Doctor Sleep » – en raison de sa capacité à rester concentré pendant un tournage long et exigeant.
Dans le making-of, Garrett Brown et John Baxter révèlent que spoiler: Kubrick a pu filmer toutes les scènes de Danny sans que l'acteur de six ans se rende compte qu'il tournait un film d'horreur. Ce d'autant plus qu'on lui avait fait croire qu'il jouait simplement dans un film dramatique sur une famille qui vit dans un hôtel
.
Scatman Crothers dans le rôle de Dick Hallorann, le chef de cuisine de l'hôtel Overlook, Barry Nelson dans le rôle de Stuart Ullman, le directeur de l'hôtel Overlook, Joe Turkel dans le rôle de Lloyd le barman, Philip Stone dans le rôle de Delbert Grady, le gardien de l'hôtel Overlook pendant l'hiver 1970-71 et actuel serveur dans la Salle d'or, Anne Jackson dans le rôle de la pédopsychiatre de Danny, Tony Burton dans le rôle de Durkin, Lia Beldam qui incarne spoiler: la jeune femme dans le bain de la chambre 237 et Billie Gibson qui joue celui de cette même jeune femme qui s'avère être un cadavre fantomatique
complète ce casting prestigieux, avec Barry Dennen dans le rôle de Watson, l'assistant du directeur de l'hôtel Overlook, David Baxt et Manning Redwood dans les rôles des deux Forest Rangers, Lisa et Louise Burns dans le rôle des filles Grady, Robin Pappas dans le rôle des rôle de l'infirmière et Alison Coleridge dans celui de la secrétaire du directeur de l'hôtel Overlook.
En 1981, les premiers Razzies montraient toute l'étendue de leur ignorance et la profondeur de leur inutilité avec leur appréciation des performances de Jack Nicholson et Shelley Duvall. Parce que le film a ensuite été largement reconnu comme l'un des meilleurs films jamais réalisés, et qu'en 2018, le film a été sélectionné pour être conservé dans le National Film Registry des États-Unis par la Bibliothèque du Congrès comme étant « culturellement, historiquement ou esthétiquement significatif ».
5/5
Merveilleux thriller avec Jack Nicholson,film dans le genre, Amityville, ou cela me rappel un autre aussi avec un écrivain qui disparait dans un accident de voiture et qui est recueilli par un infermière, mais ne me souviens plus du titre.
The Shining passe sur rtl9 il y a 2 jours, version 1980, cette fois si c'est l'histoire d'un écrivain qui par 6 mois dans un grand hôtel de luxe pour y écrire son romand, éloigné de toute civilisation, avec sa famille ils doivent affronter la peur la solitude, toute sorte de choses terribles qui font froid dans le dos dans cet hôtel gigantesque en pleine hiver.
The Shining passe sur rtl9 il y a 2 jours, version 1980, cette fois si c'est l'histoire d'un écrivain qui par 6 mois dans un grand hôtel de luxe pour y écrire son romand, éloigné de toute civilisation, avec sa famille ils doivent affronter la peur la solitude, toute sorte de choses terribles qui font froid dans le dos dans cet hôtel gigantesque en pleine hiver.
Chef d'œuvre du cinéma. A tout point de vue une grande réussite. Nicholson est au sommet de son art et Kubrick aussi. A voir et à revoir. 43 ans sont passés et le film n'a pas pris une ride.
Premier film d'horreur-épouvante des années 1980 que je regarde.
Je suis un peu septique mais dans l'ensemble j'ai apprécié le film pour plusieurs raison:
- J'adore les adaptations des livres de S.King
- J'adore la touche Kubrick, même si ce n'est pas ma génération
- Les plans tournées dans ce film sont fous et on y voit l'ingéniosité de Stanley Kubrick
- La bande originale qui est pas mal pour l'époque (vainqueur de l'oscar de la meilleure bande-son par la suite)
- Un jeu d'acteur de Jack Nicholson juste fou qui lui aurait bien valu un oscar à lui aussi
Tout ça associé, rend le film pas mal pour un film de 1980 que j'ai mis du temps à regarder.
Le film reste un culte de la valise de Kubrick, tout comme le "Here's Jonnhy" et le plan de la porte
Je suis un peu septique mais dans l'ensemble j'ai apprécié le film pour plusieurs raison:
- J'adore les adaptations des livres de S.King
- J'adore la touche Kubrick, même si ce n'est pas ma génération
- Les plans tournées dans ce film sont fous et on y voit l'ingéniosité de Stanley Kubrick
- La bande originale qui est pas mal pour l'époque (vainqueur de l'oscar de la meilleure bande-son par la suite)
- Un jeu d'acteur de Jack Nicholson juste fou qui lui aurait bien valu un oscar à lui aussi
Tout ça associé, rend le film pas mal pour un film de 1980 que j'ai mis du temps à regarder.
Le film reste un culte de la valise de Kubrick, tout comme le "Here's Jonnhy" et le plan de la porte
Un suffisamment bien construit pour qu'on ne s'ennuie pas le film est stressant de par la musique mais il ne fait pas autant peur visuellement que les films récents
A voir absolument!!!
J'ai beau être peu courageux pour regarder des films d'horreur, détester ça au plus au point mais ce film est juste un chef d'œuvre.
Que se soit la musique, le jeu d'acteur légendaire de Jack Nicholson et bien d'autre chose qui font de ce film une référence.
Ceci est un message pour toute personne qui sont dans le doute et qui se demande encore si il faut regarder Shining la réponse est OUI
J'ai beau être peu courageux pour regarder des films d'horreur, détester ça au plus au point mais ce film est juste un chef d'œuvre.
Que se soit la musique, le jeu d'acteur légendaire de Jack Nicholson et bien d'autre chose qui font de ce film une référence.
Ceci est un message pour toute personne qui sont dans le doute et qui se demande encore si il faut regarder Shining la réponse est OUI
L'un des meilleurs thrillers du cinéma, une histoire qui monte crescendo et quels acteurs, notamment Jack Nicholson
Carrément culte, j'étais obligé de le voir. L'histoire ne m'a jamais vraiment trop intéressé contrairement à la mise en scène qui l'a été d'avantage. Les mouvements de caméra, la lumière, tout est parfaitement maitrisés dans ce film, du Kubrick. Cette envie de nous plonger dans un univers singulier et happant ou notre regard est attiré à un endroit précis à chaque plan. Très bon travail. L'histoire en l'occurrence m'a perdu quelque peu de fois malgré une idée qui fait sensation. Les acteurs sont bons, mention spéciale à Jack Nicholson qui était absolument dingue dans ce film !
Œuvre culte du cinéma d'horreur, Shining constitue avant tout l'aboutissement de l'obsession de Kubrick pour la violence. Tel le prolongement de ces précédents films, ce long-métrage angoissant et glauque continue de creuser le sillon du mal sous ses formes les plus varié: violence symbolique, dans le fait d'asseoir la supériorité blanche sur les autres cultures avec l'emplacement de l'hôtel Overlook sur un ancien cimetière indien; physique, dans le cas du geste de violence de Jack Torrance sur son fils et du meurtre du chef Halloran; mais, et surtout psychologique. Jack Torrance devient le représentant et le bras armé de cette dernière. Son mariage battant de l'ail suite à un incident survenu trois ans plus tôt, en rien aidé par sa dépendance à l'alcool. Confronté à ses proches le forçant à regarder la vérité en face, littéralement coupé du monde extérieur , en proie au syndrome de la page blanche, ses pulsions prennent le dessus, en faisant une cible idéale pour l'hôtel malveillant.
Mais Shining est également un tour de force technique de même qu'une démonstration de Kubrick pour la narration visuelle. Que ce soit par l'utilisation de travellings qui ont pour fonction d'illustrer l'enfermement des protagonistes dans le dédale que constitue l'hôtel, par l'enchainement des fondus enchainés qui représentent tantôt l'atmosphère pesante, tantôt le désœuvrement de Jack Torrance, ou encore par l'usage d'une caméra fantôme, qui se faufile à travers les murs et les portes...
Kubrick va plus loin que jamais dans son exploration des possibilités offertes par une caméra, en témoigne sa scène d'introduction bluffante. A partir du moment où l'image vient remplacer l'écran noir, l'Univers du film est présenté. Accompagné d'un Dies Irae aux sonorités évoquant presque un "sabbat noir", un plan aérien suit une voiture s'enfoncer dans les Rocheuses. Aucune narration en voix off, aucun effet spécial ou mise en scène grandiloquente; le mouvement rectiligne de cette caméra suivant un point minuscule dans un massif montagneux suffit à créer une ambiance annonciatrice de ce qu'est le film.
Mais la chose qui confère définitivement à Shining son coté atypique, dans le genre du cinéma fantastique, est sa manière de briser le quatrième mur en s'adressant au spectateur, par l'entremise de la folie de Jack Torrance. Ce dernier en vient à représenter ce que l'esprit humain refuse de voir, ce que l'humanité cherche à cacher: la véritable monstruosité dont elle peut être capable!
Mais Shining est également un tour de force technique de même qu'une démonstration de Kubrick pour la narration visuelle. Que ce soit par l'utilisation de travellings qui ont pour fonction d'illustrer l'enfermement des protagonistes dans le dédale que constitue l'hôtel, par l'enchainement des fondus enchainés qui représentent tantôt l'atmosphère pesante, tantôt le désœuvrement de Jack Torrance, ou encore par l'usage d'une caméra fantôme, qui se faufile à travers les murs et les portes...
Kubrick va plus loin que jamais dans son exploration des possibilités offertes par une caméra, en témoigne sa scène d'introduction bluffante. A partir du moment où l'image vient remplacer l'écran noir, l'Univers du film est présenté. Accompagné d'un Dies Irae aux sonorités évoquant presque un "sabbat noir", un plan aérien suit une voiture s'enfoncer dans les Rocheuses. Aucune narration en voix off, aucun effet spécial ou mise en scène grandiloquente; le mouvement rectiligne de cette caméra suivant un point minuscule dans un massif montagneux suffit à créer une ambiance annonciatrice de ce qu'est le film.
Mais la chose qui confère définitivement à Shining son coté atypique, dans le genre du cinéma fantastique, est sa manière de briser le quatrième mur en s'adressant au spectateur, par l'entremise de la folie de Jack Torrance. Ce dernier en vient à représenter ce que l'esprit humain refuse de voir, ce que l'humanité cherche à cacher: la véritable monstruosité dont elle peut être capable!
Version longue américaine dans une grande salle de cinéma comble, que ce soit la musique, les paysages, l'ambiance, les expressions de Jack Nicholson, les interprétations de tous les acteurs on retient son souffle du début à la fin, un vrai chef d'œuvre
Que dire de ce film censé être un chef d'oeuvre.
Je dis censé car pour moi on en est loin. Alors certes Nicholson transcende mais à part cela quel vide. Shinning est un film d’épouvante horreur, hors jamais il ne fait peur, jamais il ne provoque la moindre angoisse rien de rien.
le film est lassant , se répétè tel le fils de Jack Nicholson qui toutes les 10 mn fait le tour de l’hôtel sur son tricycle
Kubrick ne parvient à insuffler aucune émotion très rapidement on se désintéresse des personnages , voir même du film tellement c'est plat.
Je dis censé car pour moi on en est loin. Alors certes Nicholson transcende mais à part cela quel vide. Shinning est un film d’épouvante horreur, hors jamais il ne fait peur, jamais il ne provoque la moindre angoisse rien de rien.
le film est lassant , se répétè tel le fils de Jack Nicholson qui toutes les 10 mn fait le tour de l’hôtel sur son tricycle
Kubrick ne parvient à insuffler aucune émotion très rapidement on se désintéresse des personnages , voir même du film tellement c'est plat.
J'ai découvert Shining il y a peu, grâce à Netflix. Il s'agit d'une bonne tension et des personnages impressionnants. Stanley Kubrick a un cinéma très froid mais qui mérite quand même son visionnage.😱
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