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La polyvalence de Stanley Kubrick est remarquable ; le réalisateur s'attaque au thriller psychologique avec "Shining", adaptation du roman éponyme de Stephen King. La maîtrise technique du réalisateur est impressionnante, il fallait une personne de cette stature pour apporter ses lettres de noblesse au livre déjà très intéressant. Jack Torrance est chargé de garder l'hôtel Overlook pendant un hiver, avec la compagnie de sa femme Wendy et de son fils Danny. Ce dernier possède le don du "Shining", il peut voir des choses que personne d'autre n'est capable d'observer. Au fil du temps, la famille va imploser : Jack devient fou, tandis que Wendy et Danny ont des visions dérangeantes.
Pour rendre pleinement compte de l'isolement de la famille Torrance, il est primordial de mettre sur pied des décors qui tiennent la route. La mission est plus que réussie, puisque les espaces très vastes et le jeu sur les couleurs font de l'hôtel un personnage à part entière, dont la volonté est de garder les trois personnages avec lui pour l'éternité. On s'incline également face à la musique : rythmée et oppressante, elle catalyse nos émotions et joue avec nos nerfs à grands renforts d'instruments à corde. Le rendu est génial, les gros plans sur Danny couplés au son rendent compte du désespoir et de l'impuissance d'un enfant véritablement livré à lui-même. Bien que Jack Nicholson impressionne (son côté Actor's Studio fait des merveilles), la performance de Shelley Duvall (Wendy Torrance) est à saluer. Pas un instant, on ne décroche de cette mère isolée, qui observe son mari perdre la tête avec effroi.
Kubrick a réalisé de multiples chefs d'oeuvre, mais sa patte était parfois très discrète (Barry Lyndon par exemple). Ici, son cinéma se retrouve dans chaque plan, dans une démarche qui cherche (et réussit) à nous tenir en haleine : pas de temps mort, le déclin psychologique des personnages prend forme rapidement. Le spectateur assiste à une sorte de passage entre réel et onirique, avec des hallucinations et des fait surnaturels qui tendent à bousculer l'ordre établi. L'adaptation reprend le gros de l'intrigue originale, mais ajoute sa touche personnelle, quitte à ne pas coller exactement au livre. Ces quelques changements sont pardonnés, le rendu est percutant et remplit avec brio sa mission de thriller psychologique. Kubrick délivre avec "Shining" un film qui prend aux tripes, et qui ne vous laissera sûrement pas sur votre fin. A voir absolument.
Pour rendre pleinement compte de l'isolement de la famille Torrance, il est primordial de mettre sur pied des décors qui tiennent la route. La mission est plus que réussie, puisque les espaces très vastes et le jeu sur les couleurs font de l'hôtel un personnage à part entière, dont la volonté est de garder les trois personnages avec lui pour l'éternité. On s'incline également face à la musique : rythmée et oppressante, elle catalyse nos émotions et joue avec nos nerfs à grands renforts d'instruments à corde. Le rendu est génial, les gros plans sur Danny couplés au son rendent compte du désespoir et de l'impuissance d'un enfant véritablement livré à lui-même. Bien que Jack Nicholson impressionne (son côté Actor's Studio fait des merveilles), la performance de Shelley Duvall (Wendy Torrance) est à saluer. Pas un instant, on ne décroche de cette mère isolée, qui observe son mari perdre la tête avec effroi.
Kubrick a réalisé de multiples chefs d'oeuvre, mais sa patte était parfois très discrète (Barry Lyndon par exemple). Ici, son cinéma se retrouve dans chaque plan, dans une démarche qui cherche (et réussit) à nous tenir en haleine : pas de temps mort, le déclin psychologique des personnages prend forme rapidement. Le spectateur assiste à une sorte de passage entre réel et onirique, avec des hallucinations et des fait surnaturels qui tendent à bousculer l'ordre établi. L'adaptation reprend le gros de l'intrigue originale, mais ajoute sa touche personnelle, quitte à ne pas coller exactement au livre. Ces quelques changements sont pardonnés, le rendu est percutant et remplit avec brio sa mission de thriller psychologique. Kubrick délivre avec "Shining" un film qui prend aux tripes, et qui ne vous laissera sûrement pas sur votre fin. A voir absolument.
J’enchaîne les bons films classiques ces temps-ci. En effet, ce film est tout simplement une réussite totale de A à Z. Ce film d'horreur est bien mieux que ce de maintenant (je pense à paranormal activity entre autre). En effet, dans ce long métrage, on a pas de sursaut, de screamer. Mais on est tout le long en angoisse, et ça c'est vraiment fort. Le gamin dans son tricycle te mets en flippe, c'est impressionnant. Les acteurs sont bons sans plus je trouve (à part Nicholson qui est parfait dans ce rôle). La musique ne peut pas être plus adapté, elle participe beaucoup à cette angoisse continue. Bref, avant de regarder les films d'horreur de nos jours regardez ça... Pour un vrai flippe.
J'ai vu ce film hier, bien après la plupart des gens. Cela faisait des années que je souhaitais le faire, en ayant souvent vu le film en tête de liste des classements des films "horreur". C'est souvent la prestation de Jack Nicholson qui ressortait bien sûr. Je confirme qu'il porte le film à lui seul, il est irréprochable, son fils joue bien également. Pour sa femme, j'ai eu du mal à la supporter personnellement, il aurait été plus judicieux de choisir autre actrice. Je précise que j'ai vu la version longue de 2H23, et je le regrette peut être, car le film est trop long, rythme lent par moment. Pour le fait qu'il soit classé en "horreur", je ne trouve pas ça correct, mais je peux me tromper. L'ambiance fort heureusement est très bonne, pareil pour les musiques.
spoiler:
Deux trois bonnes phases qui font leur effet, mais en particulier celle de la douche surprenante et dérangeante, le film vaut le coup avec ou sans la scène mais rien que pour elle
, il faut le voir. film vu en vostfr, impératif vu la qualité médiocre voir désastreuse de la vf... Je conseille le film à tous ceux qui veulent une bonne ambiance et puis le film étant tellement connu et adoré de beaucoup, c'est un indispensable quoiqu'il arrive et quelque soit notre avis. A recommander.
, il faut le voir. film vu en vostfr, impératif vu la qualité médiocre voir désastreuse de la vf... Je conseille le film à tous ceux qui veulent une bonne ambiance et puis le film étant tellement connu et adoré de beaucoup, c'est un indispensable quoiqu'il arrive et quelque soit notre avis. A recommander.
Une pure merveille ! le chef d'œuvre de Kubrick probablement ! Scénario Fantastique d'après S. King absolument étonnant ! Jack Nicholson meilleur acteur mondial du moment est idéal dans le rôle ! Les seconds rôles également.
Le décor, l'utilisation de la Steady cam, le travail sur la bande son, sont exemplaires !
Kubrick se reprend après l'ennuyeux Barry Lyndon !
Le décor, l'utilisation de la Steady cam, le travail sur la bande son, sont exemplaires !
Kubrick se reprend après l'ennuyeux Barry Lyndon !
Un film très spécial que nous offre Stanley Kubrick avec une terreur bien dosé. Le scénario n'a rien de surprenant mais il faut surtout voir la mise en scène qui souligne la terreur de la claustrophobie. Un excellent casting d'acteurs dont un Jack Nicholson avec une interprétation incroyable avec ses sourires et sa gueule. Le film se montre un peu lent au début mais à partir d'un moment, le film monte en intensité et on reste très curieux de ce qui se passe. Il se passe tellement de choses que même pendant les moments ou il ne se passe rien, on reste captif jusqu'à la fin du film. Le film nous donne bien quelques frissons. Des magnifiques décors de l’hôtel et de l'extérieur. Costumes corrects. Un des meilleurs films de Stanley Kubrick à voir absolument.
Ce film est un chef-d'œuvre.Beaucoup de ceux qui ont lu le livre avant de voir le film, comme moi, ont pensé que le film était trop éloigné du livre ou qu'il est même "trahi l'idée du livre"et ont du coup détesté le film.Personnellement je n'est pas pensé ça car pour tout dire , étant trop jeune à l'époque, je n'avais pas le droit de voir le film donc quand je l'ai vu en cachette j'avais tellement envie de voir ce film que je me fichais qu'il soit différent du livre ou pas et je l'ai adoré.Donc pour ceux qui ont lu Shining et qui veulent voir le film, oublier le livre pour apprécier le film, je ne vous dit pas qu'il faut forcément aimer l'aimer, je dit juste que si vous ne l'aimez pas, essayez de faire en sorte que ça ne soit pas à cause de son éloignement avec le livre. Sinon le casting est juste excellent, on parle beaucoup de Jack Nicholson qui joue en effet très bien son rôle mais on oublie que trop souvent Shelley Duval et surtout Danny Lloyd qui pour 5 ans est un très bon acteur. Dès le début une très bonne musique qui nous mets tout de suite dans l'angoisse du film. Bref, une bonne musique, un bon casting, un bon scénario: tout ce qui faut pour faire un très bon film d'horreur à voir et à revoir.
Et pour ceux qui vraiment sont fâchés avec Stanley Kubrick car Sa version de Shining était trop éloigné du livre ils peuvent regardé la mini-série "Shining les couloirs de la peur" co-produite par Stephen King lui même et qui du coup ne laisse passer aucun détail du livre parfois même au dialogue près.
Et pour ceux qui vraiment sont fâchés avec Stanley Kubrick car Sa version de Shining était trop éloigné du livre ils peuvent regardé la mini-série "Shining les couloirs de la peur" co-produite par Stephen King lui même et qui du coup ne laisse passer aucun détail du livre parfois même au dialogue près.
Excellent. Je crois qu'on ne peut reprocher que très peu de choses à ce film qui, après plus de 30 ans, demeure sans une ride ou presque, tant sur le plan technique que narratif : c'est très fort !
Pas de sang, pas de scènes ridicules, rien de gratuit, et tout est intelligemment dosé dans le film. On s'attache à la famille et le jeu d'acteurs des 4 principaux protagonistes est tout simplement un des meilleurs que j'ai pu voir dans le genre.
C'est un peu comme si le réalisateur avait calculé son coup avec tellement de précision qu'il nous avait pondu une merveille : on ressent à la fin du film à la fois une incroyable envie de le revoir et de ne pas le revoir pour deux raisons : la tension augmente de façon linéaire sans un pet de travers, et il est dérangeant et angoissant.
Un film d'épouvante intelligent : à ne pas manquer ! Le voir plusieurs fois est même indispensable si l'on ne souhaite rater aucune subtilité.
Pas de sang, pas de scènes ridicules, rien de gratuit, et tout est intelligemment dosé dans le film. On s'attache à la famille et le jeu d'acteurs des 4 principaux protagonistes est tout simplement un des meilleurs que j'ai pu voir dans le genre.
C'est un peu comme si le réalisateur avait calculé son coup avec tellement de précision qu'il nous avait pondu une merveille : on ressent à la fin du film à la fois une incroyable envie de le revoir et de ne pas le revoir pour deux raisons : la tension augmente de façon linéaire sans un pet de travers, et il est dérangeant et angoissant.
Un film d'épouvante intelligent : à ne pas manquer ! Le voir plusieurs fois est même indispensable si l'on ne souhaite rater aucune subtilité.
Stephen King n'a pas toujours eu de la chance avec ses adaptations cinématographiques, mais heureusement des réalisateurs tels que de Palma, Reiner ou bien encore Darabond se sont intéressés à son travail. Le Shining de Kubrick n'est que le deuxième film tiré de ses romans, mais il fait partie des plus mémorables. Le réalisateur de Barry Lyndon sait manier la caméra et ne se prive pas pour le montrer. La visite de l’hôtel s'étire à travers des travellings latéraux, avants et arrières, laissant au spectateur le temps de se familiariser avec la bâtisse et d'être frappé par son gigantisme. Les plans séquences en Steadycam suivant le petit Danny dans les couloirs (et plus tard le labyrinthe) sont également un modèle de fluidité. En outre, le (dé)placement des personnages dans le décors est très travaillé, je pense notamment à une scène de dialogue en champ contre-champ pendant que les protagonistes se déplacent. C'est parfaitement géré. Beaucoup ont qualifié l'ambiance de froide et je vois où ils veulent en venir. Pour ma part, je l'ai trouvé glaçante. Elle arrive à mélanger suffisamment d'attachement aux personnages et d'éléments dérangeants et inexpliqués pour être dérangeante. L'opposition entre les couleurs acidulées de l’hôtel et les événements glauques qui s'y déroulent, notamment le coup de l'ascenseur et la scène dans salle de bain, provoque un puissant sentiment de surréalisme. Par ailleurs, la musique joue un rôle clé dans l'ambiance du film. Les moments silencieux sont peut être les plus terribles, on en vient a regretter les sonorités stridentes et métalliques des différentes compositions. L'ensemble est bien huilé et fonctionne parfaitement, produisant des scènes à l'impact fort (la partie de cache-cache à la fin, je me sentais mal, mais mal...). Je voudrais revenir sur la prestation de Shelley Duvall, que j'ai trouvé bonne contrairement à une bonne partie des gens. Elle n'en fait pas trop pour le côté excentrique du personnage, elle est convaincante lorsqu'elle se fait marcher sur les pieds par son mari et son effondrement psychologique vers la fin est correctement amené. Wendy est un peu godiche car elle a une personnalité qui sort de l'ordinaire et des réactions un peu inattendues, mais elle n'est certainement pas cruche comme certains l'ont souligné. Elle prend des décisions sensées, et l'attachement à son fils se ressent. Kubrick orchestre un grand film sur la folie, avec un Jack Nicholson terrifiant dans son rôle d'écrivain alcoolique.
Shining est the horror movie de Kubrick ! Et il faut dire qu'il se débrouille bien ! Nicholson est flippant et on a envie de mettre des baffes à l'actrice complètement terrorisée de la vie ! Le môme et son Redrum est trop excellent ! A défaut de faire peur le film est vraiment prenant et même fun sous certains angles !
NUL ! NUL ! NUL !
Après plusieurs années à m'être fait rabattre les oreilles et les nombreux clins d’œils ou parodies dans les films et séries populaires, j'ai sacrifié mon samedi soir pour me mettre à niveau...
Je ne suis pas fan des sois disant films d'épouvante des années 80 ni des adaptations de King, donc je n'ai pas été surpris de mourir d'ennui et d'énervement à perdre mon temps devant un pareil navet.
Tout était nul. D'une longueur (inter)minable, je n'ai pas ressenti la moindre oppression ni la moindre angoisse durant les 2h30 perdues de ma vie pour toujours et pour rien.
Scenario incohérent et inconsistant. Des acteurs inadaptés voire incompétent : Nicholson surjoue à en devenir ridicule, on se croirait devant Benny Hill tellement cela est pathétique et risible. Sheiley a toujours été plus douée dans les comédies. Le mioche inintéressant ne sert à rien, et le fait de parler avec son doigt en l'air... Nul j'ai failli tout arrêter à la seconde ou je l'ai vu faire pour la première fois.
A pars les décors et encore... je n'ai rien trouvé de bien.
Je n'ai pas compris à quoi servait la fameuse scène de l'ascenseur. La photo à la fin... bidon, cette scène n'apporte rien à part encore plus d'incohérence et du "n'importe quoi".
D'un point de vue général je ne vois pas qui peut apprécier ce film à part des autistes ou des voyeurs pour la scène de nue gratuite de la femme dans le bain, servant uniquement à obtenir la mention "interdit au moins de 12 ans" du CSA pour faire de la fausse publicité en faisant mirroiter un film d'horreur qui n'existe pas sinon dans la longueur, la lenteur, l'ennui, l’incohérence, le manque de talent, le vide, etc...
Cela reste dans la lignée des films soit disant d'horreur bidons des années 80, aucun mort ou presque parmis les 3 protagonistes (Nicholson a l'air d'avoir le pouvoir de résurrection car il était déjà là dans les années 20, donc sa mort ne compte pas). Le point commun de ces faux films est que personne ne meurt dans les familles, tout le monde s'en sort toujours indemne ou presque, il y a juste leurs animaux domestiques (Amytiville) qui sont sacrifiés inutilement et gratuitement pour tenter de faire peur. Ici c'est encore pire puisqu'il s'agit non pas d'un animal mais d'un personnage secondaire qui meurt, un black, que devons-nous en tirer comme leçon ? du racisme ? personnellement ça m'a choqué... surtout qu'il se fait tuer trop rapidement sans mettre des batons dans les roues à Nicholson. Cela ne servait à rien qu'il revienne ni même à ce qu'il paraisse dans le film. Il existait uniquement pour mourrir sans lutter et sans que ça n'apporte quoi que ce soit.
Au final ils ne traversent aucune épreuve, aucun d'eux n'est vraiment traumatisé ni vraiment confronté à l'horreur ni la mort, les apparitions et revenants sont dans un monde à part du leur sans suffisament de proximité pour que cela soit dérageant ni même effrayant. Aucun d'eux ne meurt de la part d'un autre membre de la famille. Bref aucune horreur, aucun trait psychologique développé dans ce film.
Du temps de perdu, ne faites pas les moutons comme je l'ai fait, ne le regarder pas si vous ne l'aviez pas vu comme moi.
Après plusieurs années à m'être fait rabattre les oreilles et les nombreux clins d’œils ou parodies dans les films et séries populaires, j'ai sacrifié mon samedi soir pour me mettre à niveau...
Je ne suis pas fan des sois disant films d'épouvante des années 80 ni des adaptations de King, donc je n'ai pas été surpris de mourir d'ennui et d'énervement à perdre mon temps devant un pareil navet.
Tout était nul. D'une longueur (inter)minable, je n'ai pas ressenti la moindre oppression ni la moindre angoisse durant les 2h30 perdues de ma vie pour toujours et pour rien.
Scenario incohérent et inconsistant. Des acteurs inadaptés voire incompétent : Nicholson surjoue à en devenir ridicule, on se croirait devant Benny Hill tellement cela est pathétique et risible. Sheiley a toujours été plus douée dans les comédies. Le mioche inintéressant ne sert à rien, et le fait de parler avec son doigt en l'air... Nul j'ai failli tout arrêter à la seconde ou je l'ai vu faire pour la première fois.
A pars les décors et encore... je n'ai rien trouvé de bien.
Je n'ai pas compris à quoi servait la fameuse scène de l'ascenseur. La photo à la fin... bidon, cette scène n'apporte rien à part encore plus d'incohérence et du "n'importe quoi".
D'un point de vue général je ne vois pas qui peut apprécier ce film à part des autistes ou des voyeurs pour la scène de nue gratuite de la femme dans le bain, servant uniquement à obtenir la mention "interdit au moins de 12 ans" du CSA pour faire de la fausse publicité en faisant mirroiter un film d'horreur qui n'existe pas sinon dans la longueur, la lenteur, l'ennui, l’incohérence, le manque de talent, le vide, etc...
Cela reste dans la lignée des films soit disant d'horreur bidons des années 80, aucun mort ou presque parmis les 3 protagonistes (Nicholson a l'air d'avoir le pouvoir de résurrection car il était déjà là dans les années 20, donc sa mort ne compte pas). Le point commun de ces faux films est que personne ne meurt dans les familles, tout le monde s'en sort toujours indemne ou presque, il y a juste leurs animaux domestiques (Amytiville) qui sont sacrifiés inutilement et gratuitement pour tenter de faire peur. Ici c'est encore pire puisqu'il s'agit non pas d'un animal mais d'un personnage secondaire qui meurt, un black, que devons-nous en tirer comme leçon ? du racisme ? personnellement ça m'a choqué... surtout qu'il se fait tuer trop rapidement sans mettre des batons dans les roues à Nicholson. Cela ne servait à rien qu'il revienne ni même à ce qu'il paraisse dans le film. Il existait uniquement pour mourrir sans lutter et sans que ça n'apporte quoi que ce soit.
Au final ils ne traversent aucune épreuve, aucun d'eux n'est vraiment traumatisé ni vraiment confronté à l'horreur ni la mort, les apparitions et revenants sont dans un monde à part du leur sans suffisament de proximité pour que cela soit dérageant ni même effrayant. Aucun d'eux ne meurt de la part d'un autre membre de la famille. Bref aucune horreur, aucun trait psychologique développé dans ce film.
Du temps de perdu, ne faites pas les moutons comme je l'ai fait, ne le regarder pas si vous ne l'aviez pas vu comme moi.
S. Kubrick a réussi, dans Shining, à imposer une ambiance stressante et étriquée avec un Jack Nicholson des plus flippant. Seul bémol, Shaley Duvall y joue une femme trop cliché et un peu sur jouer.
Shining de Stanley Kubrick possède la particularité d'être à la fois considéré comme un chef-d’œuvre et d'être très critiqué par l'auteur du roman original Stephen King.
En effet, si la majorité des scènes du film est issue du roman (à l'exception notable de la fin complètement différente), ce sont surtout les changements et les suppressions qui justifiaient les critiques du romancier. Ainsi, le passé d'alcoolique de Jack Torrance très présent dans le roman (en référence à la propre vie de King) est totalement supprimé et son ancien geste violent envers Danny, élément également important du roman, est à peine évoqué. De même, alors que la folie chez Jack est progressive dans le roman, elle semble en germe dès le début par l'interprétation de Jack Nicholson dans le film.
Mais, si Shining peut être donc considéré comme une mauvaise adaptation, il n'en demeure pas une œuvre majeure du cinéma horrifique. En effet, comme souvent chez Kubrick, tout atteint la perfection : l'interprétation (les pressions psychologiques exercées par le cinéaste sur Shelley Duvall pour que son jeu corresponde à sa vision est d'ailleurs légendaire; l'interprétation de Nicholson est désormais mythique et le jeu de Danny Lloyd est impressionnant pour quelqu'un d'aussi jeune), le choix des musique (très important dans l'atmosphère d'étrangeté dégagée par le film) sont très marquants mais c'est la mise en scène du cinéaste d'Orange mécanique qui est plus que mémorable. En effet, les longs mouvements de steadycam derrière le tricycle de Danny (mouvements de caméra qui seront évoqués dans la séquence de l'orgie d'Eyes wide shut), l'utilisation des couleurs, son choix de découpage en chapitres rappelant son origine romanesque, son montage très abrupte (les changements de séquences se font par des raccords cuts très secs) créent un climat d'une étrangeté rarement vue au cinéma.
Ainsi, même si le fond du film est assez différent du roman (un long métrage comme un livre est avant tout la vision que possède un auteur d'une histoire), Shining demeure un sommet du cinéma d'angoisse mais est surtout un véritable chef-d’œuvre du cinéma tout court.
En effet, si la majorité des scènes du film est issue du roman (à l'exception notable de la fin complètement différente), ce sont surtout les changements et les suppressions qui justifiaient les critiques du romancier. Ainsi, le passé d'alcoolique de Jack Torrance très présent dans le roman (en référence à la propre vie de King) est totalement supprimé et son ancien geste violent envers Danny, élément également important du roman, est à peine évoqué. De même, alors que la folie chez Jack est progressive dans le roman, elle semble en germe dès le début par l'interprétation de Jack Nicholson dans le film.
Mais, si Shining peut être donc considéré comme une mauvaise adaptation, il n'en demeure pas une œuvre majeure du cinéma horrifique. En effet, comme souvent chez Kubrick, tout atteint la perfection : l'interprétation (les pressions psychologiques exercées par le cinéaste sur Shelley Duvall pour que son jeu corresponde à sa vision est d'ailleurs légendaire; l'interprétation de Nicholson est désormais mythique et le jeu de Danny Lloyd est impressionnant pour quelqu'un d'aussi jeune), le choix des musique (très important dans l'atmosphère d'étrangeté dégagée par le film) sont très marquants mais c'est la mise en scène du cinéaste d'Orange mécanique qui est plus que mémorable. En effet, les longs mouvements de steadycam derrière le tricycle de Danny (mouvements de caméra qui seront évoqués dans la séquence de l'orgie d'Eyes wide shut), l'utilisation des couleurs, son choix de découpage en chapitres rappelant son origine romanesque, son montage très abrupte (les changements de séquences se font par des raccords cuts très secs) créent un climat d'une étrangeté rarement vue au cinéma.
Ainsi, même si le fond du film est assez différent du roman (un long métrage comme un livre est avant tout la vision que possède un auteur d'une histoire), Shining demeure un sommet du cinéma d'angoisse mais est surtout un véritable chef-d’œuvre du cinéma tout court.
Année 1980, sortie de l'ultime film d'horreur du cinéaste Stanley Kubrick qui adapte ici un roman de Stephen King et j'ai beaucoup frissonner dans mon canapé !! Après un générique d'ouverture vue du ciel suivant une voiture dans des décors montagnardes, un homme nommé Jack se rend à un entretien qui sera réussit, la garde d'un, grand immeuble en saison hivernale au milieu de nulle part avec sa femme et son fils, le propriétaire lui précise le passé des prédécesseurs dont un meurtre sordide et mystérieux. En même temps, Danny le fiston confie à un employé noir qu'il a des visions qui s'empare de lui d'une chambre avec des jumelles; On suit étape après étape de ce gardiennage qui devient peu à peu inquiétant, Jack devient bizarre et violent, la femme est affolés et le petit Danny envouté, les choses vont devenir plus grave et angoissante. Kubrick filme la folie avec des grands cadrages qu'on oublie pas et qui nous met dans l'ambiance. "Shining" invente aussi une technique de caméra en mouvement qu'on appelle la Steadycam qui suit par exemple le petit Danny conduisant un jouet à pédalo dans les couloirs. La musique du film est glaçante. Superbes interprétations du grand Jack Nicholson, Shelley Duvall qur ,selon la légende ,Kubrick était intransigeant avec elle pour jouer la peur et le petit Danny. Un chef d'œuvre d'épouvante.
Pourquoi parler de Shining de Kubrick tout le monde adore Shining donc moi aussi Kubrick nous livre sa version de l'horreur avec cette excellent Shining. Nicholson joue un de ses meilleurs rôles avec des scènes qui font froid dans le dos des pins cultes et un scénario au top. Du grand Kubrick. Malsain
Shining est une référence du cinéma d'horreur, un monument du 7ème art. Jack Nicholson est irréprochable et le rôle de fou furieux lui va a merveille. On suis la descente aux enfers d'un écrivain nommé Jack Torrence. Ce dernier a des pulsions meurtrières et en viens a pourchasser sa famille dans l'immense Overlock Hôtel. La bande son est irréprochable, les scènes d'anthologie s'enchaine tout le long du film,
spoiler:
Les screamers des fillettes assassinés et la scène dans la chambre 237 sont les images les plus marquantes que je retiens de ce film. On peut noté aussi la présence du diable sous fond rouge.
On tiens la le film d'épouvante référence qui en a inspiré tant d'autres...
On tiens la le film d'épouvante référence qui en a inspiré tant d'autres...
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