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Votre avis sur Shining ?
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Bon film un peu particulier mais qu’il faut voir.
Sommet de l’épouvante à sa sortie, que vaut aujourd’hui Shining, ce chef d’œuvre de Stanley Kubrick adapté de l’excellent livre de Stephen King. Je n’ai pas vu un grand film d’épouvante, loin de là. Est-ce le fait que le film a plus de 40 années au compteur ? C’est toujours difficile à dire. J’ai tout de même trouvé l’ambiance très bonne (comprenez par là que celle-ci était angoissante) et la performance de Nicholson en père de famille qui perd complètement les pédales est excellente. Malgré tout, j’ai trouvé à ce film quelques longueurs et un manque certain de rebondissements. C’est pas mal donc, mais loin d’être parfait.
Un chef d’œuvre du cinéma d’épouvante ! La mise en scène est plus que travaillée et les acteurs sont géniaux. Ce film est magnifiquement terrifiant, je vous le conseille !
Le plus gros défaut de Shining se trouve dans la direction de ses acteurs, en particulier dans celle de Jack Nicholson. Là où Stephen King laissait place au doute quant à la nature de Jack Torrance, Kubrick opte pour une folie affichée. À aucun moment, même au début du film, on ne peut vraisemblablement penser que Jack est un père de famille aimant, ayant, certes, eu affaire aux démons de l'alcoolisme, mais sur le chemin de la repentance. Non, d'emblée, c'est le frappadingue de service. Le sourcil arqué de Nicholson, couplé à son sourire de psychopathe, en font le portrait archétypal du meurtrier.
Ce choix d'exhiber aussi vite la démence du personnage est bien moins intéressant que celui de nourrir une ambivalence. Une adaptation au cinéma a tout intérêt à prendre des libertés sur l'œuvre qu'elle adapte. Mais quand les idées transposées sont bonnes, il est dommage de s'en déprendre.
Si l'on ajoute à cela la passivité du personnage de Wendy, impuissante face à la menace de son mari, ainsi que l'inutilité de Dick Halorann – hormis expliciter le concept du shining, qui n'avait pas besoin de l'être –, on perd en originalité et on repioche dans les bons vieux poncifs du cinéma d'épouvante, à savoir le tueur aliéné face à la victime désarmée, le tout, dans un décor de maison hantée.
Décor pour lequel, faut-il le souligner, un soin particulier a été apporté sur son agencement impossible architecturalement. Kubrick est un amoureux de la photo, ce qui le mène à produire de nombreux plans fixes, le plus souvent symétriques. Sa manière de découper l'image est riche en informations, mais sa façon de filmer les corps, trop souvent immobiles, ne maintient ni l'attention ni la tension, et fait plutôt monter un sentiment de lassitude à l'égard des images qui nous sont distillées.
Ce choix d'exhiber aussi vite la démence du personnage est bien moins intéressant que celui de nourrir une ambivalence. Une adaptation au cinéma a tout intérêt à prendre des libertés sur l'œuvre qu'elle adapte. Mais quand les idées transposées sont bonnes, il est dommage de s'en déprendre.
Si l'on ajoute à cela la passivité du personnage de Wendy, impuissante face à la menace de son mari, ainsi que l'inutilité de Dick Halorann – hormis expliciter le concept du shining, qui n'avait pas besoin de l'être –, on perd en originalité et on repioche dans les bons vieux poncifs du cinéma d'épouvante, à savoir le tueur aliéné face à la victime désarmée, le tout, dans un décor de maison hantée.
Décor pour lequel, faut-il le souligner, un soin particulier a été apporté sur son agencement impossible architecturalement. Kubrick est un amoureux de la photo, ce qui le mène à produire de nombreux plans fixes, le plus souvent symétriques. Sa manière de découper l'image est riche en informations, mais sa façon de filmer les corps, trop souvent immobiles, ne maintient ni l'attention ni la tension, et fait plutôt monter un sentiment de lassitude à l'égard des images qui nous sont distillées.
Un chef d œuvre de plus a mettre à l actif de stanley Kubrick, shinning est une adaptation libre d un roman de stephen king, qui a longtemps réprouvé cette version du scénario qui n a rien à voir avec l idee et les conclusions du célèbre auteur.
La mise en scène de Kubrick est une pure merveille, il filme cette hôtel l l'overlook qui est immense, et grâce à la profondeur de champ bien exploité on s y sent a l etroit ce qui accentue l angoisse et le malaise.
Comment ne pas rappeler la prestation de Jacky Nicholson qui est tout bonnement superbe.
La mise en scène de Kubrick est une pure merveille, il filme cette hôtel l l'overlook qui est immense, et grâce à la profondeur de champ bien exploité on s y sent a l etroit ce qui accentue l angoisse et le malaise.
Comment ne pas rappeler la prestation de Jacky Nicholson qui est tout bonnement superbe.
La sensation de découvrir un Kubrick de nouveau est tellement rafraîchissante, je m’attends toujours à prendre ma petite claque, et là cette fois ci c’est dans le genre « horreur » et je viens également de prendre ma baffe comme il se doit, un des meilleurs films du genre. Nicholson est PRODIGIEUX, son rôle est époustouflant et tellement maitrisé, aucun moment où je me suis pas dis « ce mec est complètement fou ». La réalisation c’est la marque de fabrique de notre cher Kubrick, y’a pas à être aussi fort dans ce registre, le film est monté à la perfection c’est une folie, la BO qui te met une oppression palpable tout le long comme si on était claustrophobe dans un hôtel tellement gigantesque, quel maîtrise, puis les plans de positionnement de la caméra au niveau de Danny qui se balade en tricycle dans l’Overlook Hôtel, c’est là que je me suis dis c’est une pure leçon. La chose qu’il fait qu’on est proche de la perfection mais on l’atteint pas, c’est vraiment que le film est trop facile à comprendre malheureusement, j’aime bien être surpris dans le genre horrifique, et je préfère le final du livre même si ça reste excellent dans cette adaptation. En tout cas comme toujours, Kubrick t’étais trop le grand homme que tu pensais être, repose en paix.
Un excellent film, qui est très réussi par Stanley Kubrick et l'acting de Jack Nicholson !
On ressent vraiment le suspense dans le film, dès le début jusqu'à la fin, les acteurs ont été bien choisi pour le rôle qui leur a été attribué, le petit Danny est adorable et correspond à son rôle comme dans le livre.
En effet, c'est un film culte qui a marqué les années 80.
Malgré cela, je trouve qu'il y a quand même des points négatifs dans ce film comme certaines scènes qui sont longues pour rien et la fin qui ne ressemble pas au livre mais malgré ces points, le film reste parfait.
On ressent vraiment le suspense dans le film, dès le début jusqu'à la fin, les acteurs ont été bien choisi pour le rôle qui leur a été attribué, le petit Danny est adorable et correspond à son rôle comme dans le livre.
En effet, c'est un film culte qui a marqué les années 80.
Malgré cela, je trouve qu'il y a quand même des points négatifs dans ce film comme certaines scènes qui sont longues pour rien et la fin qui ne ressemble pas au livre mais malgré ces points, le film reste parfait.
Tout simplement le film d'horreur le plus iconique. Ce n'est pas pour rien. Jack Nicholson le meilleur acteur : ce mec est parfait dans le rôle du psychopathe.
Chaque mot ici, vient profaner ce monument historique et intemporel du cinéma. Cette œuvre parfaite de Stanley Kubrick peut se considérer sereinement comme un des meilleurs film de tous les temps, sans douter.
« Shining » de Stanley Kubrick est un film impressionnant. La réalisation, tout d'abord, est d'une maîtrise absolue, avec une mise en scène soignée et des plans de caméra qui captent l'essence même de la terreur. La musique, ensuite, joue un rôle prépondérant dans la création d'une atmosphère anxiogène, renforçant l'isolement et la démence progressive des personnages. Jack Nicholson livre une performance saisissante, incarnant un personnage qui bascule dans la folie avec une intensité rare. L'histoire elle-même, centrée sur un hôtel isolé et les horreurs qui s'y déroulent, est captivante et bien construite, jouant habilement sur la psychologie des personnages et l'horreur sous-jacente. Toutefois, le film souffre par moments de quelques longueurs, et certaines scènes auraient pu être davantage développées. « Shining » reste un classique incontournable du genre horrifique, un film qui vous hante longtemps après l'avoir vu. WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).
Ayant hâte de voir le film et intrigué par le succès de Stephen King, j'ai acheté le livre "Shining" et l'ai lu attentivement. J'ai été plutôt déçu. C'est un roman plein de bonnes idées mais également de défauts. Le coup de l'hôtel hanté ça marche plus tellement. L'idée d'un père qui veut tuer sa famille, voilà par contre une idée géniale, terriblement troublante, seulement Stephen King justifie cette folie par l'alcoolisme du père et par le fait qu'il est possédé par l'hôtel, alors qu'il aurait été beaucoup plus cauchemardesque à mon avis qu'il soit parfaitement conscient de ses actes. Le moral et le surnaturel sont mélangés de manière incertaine. Des invraisemblances et des contradictions dans la psychologie des personnages sont enchainées. Ensuite le roman était rempli de longueurs entre chaque scène d'horreur, diminuant de beaucoup le plaisir de la lecture.
spoiler:
Il aurait dû en plus y avoir au moins un mort entre Wendy et Halorann, pour renforcer l'horreur, mais non l'obstacle est éliminé sans trop d'encombres et d'une manière stupide : l'explosion de la chaudière.
Pas étonnant que Stephen King ait détesté cette adaptation de Kubrick, tout n'y est qu'insulte au roman, mais au moins Kubrick a le mérite de corriger toutes les erreurs du roman de King.
Il y va fort sur les modifications spoiler: : il supprime l'alcoolisme, les buis, les bruits d'ascenseur, les cauchemars de Danny, la mafia, l'épisode des guêpes et rajoute un labyrinthe, deux jeunes filles, une communication coupée, un couloir rempli de sang, une phrase répétée sur toutes les pages.
Mais surtout Kubrick supprime la plupart des informations concernant le passé des personnages, l'instinct maternelle de Wendy, et tout ce qui touche aux thèmes de l'alcoolisme et de la maltraitance enfantine. D'un côté ça renforce l'horreur qui est seulement due à l'isolement des personnages, mais d'un autre côté, on a plus tout ce côté moral qui était fort intéressant dans le roman et le film va trop vite, au bout de trente minutes Jack Torrance est déjà fou. C'est une question d'adaptation, me direz vous, pourtant le rythme est d'une lenteur poussée, comme toujours chez Kubrick, et celui-ci ne s'est pas gêné pour rajouter ses propres idées ou garder certaines choses inutiles du livre comme le chien. Je précise que je n'ai vu que la version européenne de 2h et non pas la version américaine de 2h30, qui est sûrement plus complète.
Mais avec Kubrick on était déjà assurés à l'avance de trouver des décors très particuliers mais si beaux, une BO géniale enchainant un remix du Dies Irae grégorien avec des musiques festives, des chansons d'amour et des musiques oppressantes et angoissantes, puis surtout une mise en scène inspirée; à base de phrases répétées jusqu'à qu'on en puisse plus spoiler: ("Danny ! Danny !" "Redrum ! Redrum !")
et de temporalités mélangées ce qui du coup nous prépare aux horreurs qu'on va voir et font augmenter le stress. Kubrick filme comme un génie et réalise comme d'habitude des plans iconiques : le générique, le sang dans le couloir, Jack congelé, la scène mythique du fameux "Here's Jonny !" (en français : "Coucou chérie !").
Puis comment ne pas parler de Jack Nicholson, dans ce qui est une des meilleures prestations du 7ème art ! C'est tellement un génie qu'on se demande s'il n'est décidément pas psychopathe même dans la vraie vie ! Chacun de ses gestes, chacune de ses mimiques, chacune de ses répliques est horriblement juste, et sa voix française géniale vient parfaire le tout. Nicholson porte réellement le film sur ses épaules, ce qui est encore moins étonnant quand on voit Shelley Duvall rivaliser en nullité avec son personnage et sa voix française.
Ayant déjà lu le roman, je n'ai pas eu trop peur devant le film mais en terme d'horreur je pense qu'il est nettement supérieur au livre, ce dernier étant plus riche, moral et surtout centré sur la psychologie des personnages. J'ai trouvé les deux, film et livre, bons mais décevants et surcotés, n'allant pas au bout de leurs idées.
Pas étonnant que Stephen King ait détesté cette adaptation de Kubrick, tout n'y est qu'insulte au roman, mais au moins Kubrick a le mérite de corriger toutes les erreurs du roman de King.
Il y va fort sur les modifications spoiler: : il supprime l'alcoolisme, les buis, les bruits d'ascenseur, les cauchemars de Danny, la mafia, l'épisode des guêpes et rajoute un labyrinthe, deux jeunes filles, une communication coupée, un couloir rempli de sang, une phrase répétée sur toutes les pages.
Mais surtout Kubrick supprime la plupart des informations concernant le passé des personnages, l'instinct maternelle de Wendy, et tout ce qui touche aux thèmes de l'alcoolisme et de la maltraitance enfantine. D'un côté ça renforce l'horreur qui est seulement due à l'isolement des personnages, mais d'un autre côté, on a plus tout ce côté moral qui était fort intéressant dans le roman et le film va trop vite, au bout de trente minutes Jack Torrance est déjà fou. C'est une question d'adaptation, me direz vous, pourtant le rythme est d'une lenteur poussée, comme toujours chez Kubrick, et celui-ci ne s'est pas gêné pour rajouter ses propres idées ou garder certaines choses inutiles du livre comme le chien. Je précise que je n'ai vu que la version européenne de 2h et non pas la version américaine de 2h30, qui est sûrement plus complète.
Mais avec Kubrick on était déjà assurés à l'avance de trouver des décors très particuliers mais si beaux, une BO géniale enchainant un remix du Dies Irae grégorien avec des musiques festives, des chansons d'amour et des musiques oppressantes et angoissantes, puis surtout une mise en scène inspirée; à base de phrases répétées jusqu'à qu'on en puisse plus spoiler: ("Danny ! Danny !" "Redrum ! Redrum !")
et de temporalités mélangées ce qui du coup nous prépare aux horreurs qu'on va voir et font augmenter le stress. Kubrick filme comme un génie et réalise comme d'habitude des plans iconiques : le générique, le sang dans le couloir, Jack congelé, la scène mythique du fameux "Here's Jonny !" (en français : "Coucou chérie !").
Puis comment ne pas parler de Jack Nicholson, dans ce qui est une des meilleures prestations du 7ème art ! C'est tellement un génie qu'on se demande s'il n'est décidément pas psychopathe même dans la vraie vie ! Chacun de ses gestes, chacune de ses mimiques, chacune de ses répliques est horriblement juste, et sa voix française géniale vient parfaire le tout. Nicholson porte réellement le film sur ses épaules, ce qui est encore moins étonnant quand on voit Shelley Duvall rivaliser en nullité avec son personnage et sa voix française.
Ayant déjà lu le roman, je n'ai pas eu trop peur devant le film mais en terme d'horreur je pense qu'il est nettement supérieur au livre, ce dernier étant plus riche, moral et surtout centré sur la psychologie des personnages. J'ai trouvé les deux, film et livre, bons mais décevants et surcotés, n'allant pas au bout de leurs idées.
Je pense qu'on ne se rend pas bien compte que Shining a déjà 45 ans. Le film n'a pas prit une ride après toutes ses années et reste un grand classique à tel point que même aujourd'hui, je ne pense pas qu'on ait vu mieux dans le genre thriller/horreur. L'atmosphère et les décors sont vraiment incroyables, c'est tellement prenant que des fois on s'y croirait. Que ce soit l'histoire, les personnages, l'univers et même les acteurs, il n'y a absolument rien à redire. Même les plans sont en avance sur leur temps et je me demande même comme certains ont été réalisés par Stanley Kubrick sachant que le film a été tourné en 1978. Le nombre de scènes mythiques qu'il y a jusqu'aux plans séquences et aussi la bonne son totalement en accord avec l'ensemble des scènes. Je n'ai jamais lu le livre mais j'ai vu le long-métrage plusieurs fois et du coup, ça m'a donné envie de le lire très clairement. Il faut préciser que le très jeune Danny Lloyd n'a que 5 ans et nous gratifie d'une performance assez exceptionnelle au vu de son âge. D'ailleurs, par la suite il n'a plus jamais joué au cinéma. Bon, après ce nombre de compliments important, je tiens juste à souligner un petit défaut selon moi car il en faut bien un. Je pense que deux heures et demies, c'est trop long car on aurait pu réduire un petit peu pour plus d'efficacité mais pour tout le reste, je n'ai absolument rien à redire. Si des personnes de ce monde ne l'ont pas encore vu, je pense qu'il est temps de le faire et vite ! 16/20.
Mon film d'horreur préféré par l'un des réalisateurs les plus précis et rigoureux possible pour une adaptation d'un des meilleurs romans d'épouvante que j'ai pu lire. Jack Nicholson est terrifiant, Shelley Duval fait de la peine et l'hôtel est presque aussi oppressant que la chute vers la folie du personnage principal.
Je soupçonne Stephen King d'être réellement médium.
Je soupçonne Stephen King d'être réellement médium.
Shine Bright Like a Psycho Diamond
Si tu cherches un cocktail d'horreur, de suspense et de "What the f**k" dans un décor de luxe un brin délabré, alors "Shining" est ton ticket pour l'asile. Réalisé par Stanley Kubrick, ce film te plonge dans les méandres tordus de l'esprit humain, avec un côté "Pimp my Horror" qui te fera te demander si tu regardes vraiment un film d'épouvante ou une pub pour un hôtel de luxe.
Stephen King, l'homme derrière l'histoire, a dû plus s'arracher les cheveux que les personnages de ce film. Il avait l'impression de regarder un remix de son chef-d'œuvre en mode "Fais-Moi Peur" réalisé par un cinéaste qui avait sûrement passé trop de temps à jouer à Tetris. Oui, Kubrick a pris quelques libertés avec le scénario original. Il a édité le livre comme s'il était sur Photoshop, retirant des pans entiers de l'histoire originale. Mais au final, ça a marché, genre vraiment.
C'est simple, dans "Shining", tout est creepy à souhait. Des couloirs infinis de l'hôtel aux regards de Jack Nicholson qui te filent des frissons dignes d'un "Game of Thrones" sous acide. Si tu as déjà eu l'impression que ton propre cerveau te trahissait, tu te sentiras chez toi. Et si tu n'as pas encore peur des twins, tu vas apprendre à les détester autant que ton voisin qui ne ramasse pas les crottes de son chien.
Jack Nicholson, l'homme, le mythe, la légende. Sa performance dans "Shining" est tellement iconic que même ta grand-mère qui passe son temps sur TikTok l'a reconnu. Et Shelley Duvall qui se prend des pressions psychologiques en veux-tu en voilà pour être à la hauteur du génie tordu de Kubrick. Mention spéciale à Danny Lloyd, le gamin qui roule en tricycle dans les couloirs de l'hôtel et qui te fera te demander si t'as bien verrouillé ta porte la nuit.
Stanley Kubrick, le magicien du cinéma. Avec "Shining", il te fout une claque visuelle qui te laissera aussi secoué qu'après une nuit blanche à binge-watcher "Stranger Things". Entre les plans séquences qui te suivent comme un fantôme, les couleurs qui te rappellent que le rouge n'est pas juste la couleur de l'amour et le montage qui te fera te demander si ton cerveau n'a pas fait un bluescreen, Kubrick tisse une toile de malaise où tu es la mouche qui cherche désespérément la sortie.
"Shining", c'est comme une soirée entre potes qui finit dans un asile abandonné : tu sais que ça va mal tourner, mais tu ne peux pas t'empêcher de te laisser entraîner. C'est un chef-d'œuvre du cinéma d'horreur, mais c'est aussi une descente aux enfers où chaque pas te rapproche un peu plus de la folie. Alors prends ton courage à deux mains, un bon paquet de pop-corn, et plonge dans l'Overlook Hotel. Mais n'oublie pas de laisser la lumière allumée après.
Plus de critiques sur https://www.instagram.com/oni_s_reviews/?hl=fr
Si tu cherches un cocktail d'horreur, de suspense et de "What the f**k" dans un décor de luxe un brin délabré, alors "Shining" est ton ticket pour l'asile. Réalisé par Stanley Kubrick, ce film te plonge dans les méandres tordus de l'esprit humain, avec un côté "Pimp my Horror" qui te fera te demander si tu regardes vraiment un film d'épouvante ou une pub pour un hôtel de luxe.
Stephen King, l'homme derrière l'histoire, a dû plus s'arracher les cheveux que les personnages de ce film. Il avait l'impression de regarder un remix de son chef-d'œuvre en mode "Fais-Moi Peur" réalisé par un cinéaste qui avait sûrement passé trop de temps à jouer à Tetris. Oui, Kubrick a pris quelques libertés avec le scénario original. Il a édité le livre comme s'il était sur Photoshop, retirant des pans entiers de l'histoire originale. Mais au final, ça a marché, genre vraiment.
C'est simple, dans "Shining", tout est creepy à souhait. Des couloirs infinis de l'hôtel aux regards de Jack Nicholson qui te filent des frissons dignes d'un "Game of Thrones" sous acide. Si tu as déjà eu l'impression que ton propre cerveau te trahissait, tu te sentiras chez toi. Et si tu n'as pas encore peur des twins, tu vas apprendre à les détester autant que ton voisin qui ne ramasse pas les crottes de son chien.
Jack Nicholson, l'homme, le mythe, la légende. Sa performance dans "Shining" est tellement iconic que même ta grand-mère qui passe son temps sur TikTok l'a reconnu. Et Shelley Duvall qui se prend des pressions psychologiques en veux-tu en voilà pour être à la hauteur du génie tordu de Kubrick. Mention spéciale à Danny Lloyd, le gamin qui roule en tricycle dans les couloirs de l'hôtel et qui te fera te demander si t'as bien verrouillé ta porte la nuit.
Stanley Kubrick, le magicien du cinéma. Avec "Shining", il te fout une claque visuelle qui te laissera aussi secoué qu'après une nuit blanche à binge-watcher "Stranger Things". Entre les plans séquences qui te suivent comme un fantôme, les couleurs qui te rappellent que le rouge n'est pas juste la couleur de l'amour et le montage qui te fera te demander si ton cerveau n'a pas fait un bluescreen, Kubrick tisse une toile de malaise où tu es la mouche qui cherche désespérément la sortie.
"Shining", c'est comme une soirée entre potes qui finit dans un asile abandonné : tu sais que ça va mal tourner, mais tu ne peux pas t'empêcher de te laisser entraîner. C'est un chef-d'œuvre du cinéma d'horreur, mais c'est aussi une descente aux enfers où chaque pas te rapproche un peu plus de la folie. Alors prends ton courage à deux mains, un bon paquet de pop-corn, et plonge dans l'Overlook Hotel. Mais n'oublie pas de laisser la lumière allumée après.
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Je n'avais pas revu ce film depuis 40 ans et là, force est de constater que si je ne me rappelais que peu de choses c'est que ce film est plutôt raté. Après 3 chefs d'oeuvres absolus ("2001", "Orange mécanique" et "Barry Lindon") Kubrick nous livre ici son plus mauvais film après "Eyes wide shut" bien sûr ! Le scénario du film, peu apprécié par son auteur Stephen King, ne tient guère la route, trop prévisible tout en étant assez inconsistant, quant aux jeux d'acteurs on est dans la caricature : Nicholson n'en sort pas de ses rôles de psychopathes depuis "Vol au-dessus d'un nid de coucous", sa femme dans le film à part écarquiller ses yeux (qu'elle a déjà très grands) à l'extrême lui donnant un côté grotesque, même le gamin joue mal ! Indigne d'un génie de la réalisation qu'est Kubrick ! Quelques belles prises de vues ne suffisent pas à sauver ce film incompréhensiblement devenu culte, on se demande pourquoi ?
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