Mon compte
    Shining
    Note moyenne
    4,3
    58800 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Shining ?

    1 748 critiques spectateurs

    5
    855 critiques
    4
    505 critiques
    3
    136 critiques
    2
    125 critiques
    1
    69 critiques
    0
    58 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    Sebastienripetuto1
    Sebastienripetuto1

    3 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 février 2020
    Shining film de 1980 vieux mais qui n'a pas pris une ride et qui est toujours d'actualité personnellement un pur chef-d'œuvre de Stephen King ainsi que du réalisateur célèbre Stanley Kubrick un film d'horreur sans être réellement un film d'horreur mais plutôt un film oppressant et angoissant c'est surtout ce qu'on attend de so film avec surtout la performance du grand acteur Jack Nicholson vraiment un film culte où je ne rate jamais aucune occasion de toujours le regarder avec un grand plaisir que cela soit dans sa version cinéma ou sa version longue
    Robin
    Robin

    3 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mars 2020
    Un très bon film de Kubrick. Un acteur exceptionnel pour un film qui m'avait fait peur étant plus jeune !
    Esteboon
    Esteboon

    1 abonné 25 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 janvier 2020
    Du Grand Kubrick , Un film avec une ambiance troublante et une folie qui s'accentue au fil du film et des techniques cinématographiques exceptionnel , Un décors culte , Des scènes cultes , Un chef d'oeuvre 👌
    tristan stelitano
    tristan stelitano

    60 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 janvier 2020
    Si " Shinining " est un excellent film devenue culte, on peut tout de me reprocher à Stanley Kubrick d'avoir éclipsé l’œuvre écrite par Stephen King en 1977. Le livre est bien plus glauque que le film. Si la différence se fait sentir, cela n’a pas empêcher Kubrick de signer le plus Grand film d'Horreur de tout les Temps. Le décor mystérieux créé une angoisse à l'état pure qui confine l’abstraction, parcourus de visions démentes et de tours de force de mise en scènes et de cadrage parfaitement ficelés. Il est notamment appuyé par La musique hypnotique de Wendy Carlos, qui renforce cette idée d'insécurité. Jack Nicholson est magistral dans la peau d'un écrivain qui se transforme petit à petit en un monstre incontrôlable. Magistral. Un suspense poignant qui traite le caractère psychologique des personnages dans une atmosphère glaçante en dépit d'un univers fantastique qui aurait mériter d’être un peu plus explorer. Incontournable !
    Sosa
    Sosa

    9 abonnés 370 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 janvier 2021
    Meilleur film de ce style de tout les temps avec Interstellar.
    Dès qu'il passe au ciné je vais le voir, un chef-d'oeuvre.
    Un Jack au sommet si je puis dire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 janvier 2020
    Avec Kubrick, peu importe l’histoire, tout est dans la manière de la raconter. Le scénario de Shining, même s’il réserve quelques grands moments, n’est pas exceptionnel ni dénué de quelques facilités. Mais la réalisation est d’une telle qualité, d’une telle inventivité et d’une telle beauté plastique, jusqu’aux moindres détails des décors et des costumes, qu’on savoure ce cauchemar comme une grosse pâtisserie pour cinéphile. Un pur film d’atmosphère et de mise en scène, avec les limites que cela implique et qui font qu’on reste, selon moi, juste en deçà du chef-d’œuvre. Finalement, comme souvent avec Kubrick, l’appréciation de chacun dépendra beaucoup de la manière dont l’univers proposé parlera (ou non) aux régions les plus intimes de l’inconscient.
    chololo
    chololo

    2 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 décembre 2019
    Comment dire?
    Ayant lu le roman je n'ai rien retrouvé de l'ambiance et de la réelle histoire
    Pathétique et surtout les acteurs
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 25 novembre 2019
    Désolée, je sais que ce film est très aimé mais d'après moi il est surcoté. Je n'ai eu ni peur ni immersion dans le film. Nicholson donne un très bon jeu mais entre le gamin et la mère je ne sais pas qui est le pire... Un film qu'on sur-vend pour rien, si vous voulez avoir peur, passé votre chemin.
    HawkMan
    HawkMan

    177 abonnés 1 183 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 novembre 2019
    Que dire de Shining réalisé par le plus grand réalisateur de tous les temps ??? Une merveille ? Une bombe du 7ème art ? Une claque ? Un peu tout ça ! Le film, du roman de Stephen King, montre une famille devant s'occuper d'un immense hôtel pendant 5 mois dans les Rocheuses coupé du monde. Tout ne va pas se passer comme prévu et la folie va prendre place dans l'hôtel avec le temps. Je ne veux pas trop en dévoiler car ce film est vraiment effrayant à découvrir.
    Que dire de l'interprétation de Nicholson ? Unique au monde !!
    Bref : inutile de trop en dire, il faut voir ce film pour l'apprécier.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 081 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    La sortie de Doctor Sleep aura eu, avant même de l'avoir vu, la qualité de m'avoir replongé dans un film aux souvenirs datant d'une dizaine d'années, oeuvre culte qu'on ne présente plus et qui marqua, des années 80 à nos jours encore, une révolution dans la façon de filmer l'horreur et de présenter des totems horrifiques en jouant, notamment, sur la symétrie de jumelles aux tenues identiques couplées à cette rivière de sang déchaînée et traumatisante.

    Dès le paysage de l'introduction, que la caméra survole de façon virtuose, nous est imposée l'idée que l'on suivra une leçon de cinéma qui cherchera constamment à montrer des personnages en mouvement; c'est sous-entendu, Shining est une révolution pour son genre et l'art en général qui portera sur une fuite perpétuelle de cette famille dysfonctionnelle, de cette voiture qui fuit le quotidien vers la solitude d'un hôtel jusqu'aux séquences mythiques de conduite de Danny dans les couloirs intérieurs, où la part belle sera faîte aux écarts de son entre parquet et tapis.

    Shining marque à ce point qu'on retient même ces changements de tonalité, qu'on se les remémore très facilement à la sortie du visionnage, tout comme on retiendra aisément son thème musical principal et oppressant, iconique et étouffant. Cette réussite sonore entre en parfait écho avec le talent visuel de son réalisateur, qui trace ici l'une des plus belles représentations de l'architecture de l'Histoire du cinéma.

    L'Overlook, figure monstrueuse qui fit les beaux jours de la réputation de Kubrick, est fascinant dès son entrée en scène; entre le théâtre d'horreur et la maison du mystère, il intrigue autant qu'il effraie et pose l'une des plus grandes histoires de descente aux enfers horrifiques qu'on a fait en une cinquantaine d'années, s'inscrivant dans la veine d'autres références d'antan qu'il surpasse avec une aisance incroyable, de La Maison du diable à Rosemary's Baby.

    De ses couleurs, de ses couloirs, de ses portes, ascenseurs et chambres l'on retiendra l'idée de génie de son réalisateur : inverser la tendance des films d'horreur et créer l'effroi des grands espaces plutôt que de ce qu'on ne montre pas à l'écran. Dans Shining, tout est montré en pleine face, décomposé par un montage désarticulé, le temps modifié, compressé jusqu'à briser tous les repères temporels (en témoignent les recadrages anarchiques des jours sur fond noir) et durant un peu moins de deux heures, le temps de se dire que Nicholson était quand même bien inquiétant de base.

    S'il incarne à la perfection son personnage (l'évolution de son jeu, sidérante, fait penser à une vision psychopathe du McMurphy de Vol au dessus d'un nid de coucou), on peut regretter le manque de développement laissé à son métier d'écrivain; Shining, brassant mains thèmes en même temps, aura fait l'impasse sur la profondeur de sa personnalité pour le mettre en contact direct avec la folie ambiante de cet hôtel qui manipule les âmes et détruit les bons.

    Sacrifier la profondeur d'un sujet secondaire est-il préjudiciable s'il s'attelle avec autant de soin à approfondir son personnage principal, l'Hôtel, centre de l'intrigue et de l'évolution des Terrence? D'autant plus que cet Hôtel, être vivant qui fait toute la terreur de l'entreprise, sert de propulseur au talent de ses acteurs, de son réalisateur, de toute l'équipe. Shining pourrait se résumer, si l'on aime que s'imbriquent les éléments, à un film construit sur une construction tout autant splendide et inspirante; l'un n'existant pas sans l'autre, cette bâtisse tient sa réussite d'un talent imaginatif unique et en symbiose parfaite, la preuve avec l'ajout au scénario d'un labyrinthe magnifiquement mis en scène, deuxième entité, froide celle-ci, qui marqua l'imaginaire collectif.

    Des allers-retour de l'Hôtel au labyrinthe, on retiendra cette fuite constante des personnages où l'intellectualité prime sur la violence et dans laquelle l'enfance, à l'inverse du mythe d'Icare, devient père et permet au parent restant de survivre; émancipation des âges et des sexes, Shining inverse les certitudes et glisse habilement d'un statut à l'autre, rend les traqueurs traqués par un élément extérieur, l'Hôtel puis ce Labyrinthe couplé au même climat qui servait à Nicholson de menace pour sa famille (l'arroseur arrosé suivant l'ironie d'Orange Mécanique).

    Ce n'est pas anodin si Shining, du haut de ses 40 ans d'existence, reste la référence : son succès phénoménal dépend d'une alchimie artistique unique entre réalisateur, scénaristes, décorateurs, acteurs, soit une équipe entière arrivée dans le bon genre et à la bonne époque. C'est peut-être à cela, aussi, que l'on discerne les grands films des incontournables. C'est, à n'en pas douter, un incontournable parmi les incontournables.
    RealPrime
    RealPrime

    84 abonnés 1 746 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Huit clos, isolement, folie psychologique, hallucination en tous genre, voilà ce qui pourrait être la parfaite définition de cette première adaptation de ce complexe roman du King. Un huit clos montrant comment et surtout, avec rien, on peut passer d'une routine quotidienne à une véritable folie dû à cet isolement total, se retrouver dans un gigantesque hôtel montagnard pour sa maintenance avec sa petite troupe, un silence presque quotidien sauf lorsque qu'on est entourer par les siens. spoiler: Aussi délirent soit-il, cet enfant qui est doté d'une double personnalité parle d'une voix assez flippante, puis son père, écrivant tous les jours son futur roman, dans le silence sauf quand sa femme vient le déranger. La scène ou cette dernière se fait bien rappelée à l'ordre est aussi géniale que gênante pour elle.
    Un film marqué par une bande-musicale culte mais très oppressante, car à un certains moment, les aiguës sont très prononcer et finissent par devenir lourd. Mais cette musique reste dément. spoiler: Puis la chambre 317, une scène érotique qui termine en horreur avec cette "jeune" et belle femme se transformant en vielle femme toute moisie, le sens horreur prend alors tous son sens.
    Puis la vrai folie démarre avec Nickolson sublime en rage avec sa hache et dégainent sa vulgarité et son stress sur sa femme dans les escalier de la grande salle. Le reste sera assez incompris voir pas du tout compris avec spoiler: cette marée de sang sortant d'un ascenseur, ou ces jumelles en bleu devenu le symbole du film, mais WHAT ?
    Une film culte long, stressant au bon moment, un casting parfait et un jeu génial, une version pas du tout aimée du romancier mais adoré des critiques et du publique. Culte, surtout lorsque l'on comprend enfin le sens du mot "Shining".
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 6 novembre 2019
    Un scénario indigent, une bande sonore omniprésente qui finit par donner mal à la tête, des longueurs à n'en plus finir, et au final un succès qui ne s'explique pas. Peut-être que le temps explique cela.
    Henri M
    Henri M

    50 abonnés 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 novembre 2019
    Quelques jours avant la sortie de sa suite, je me suis dit qu'il était tant de le revoir. Je ne l'avais vu qu'à sa sortie en 1980. Je n'avais pas aimé parce que ça ne m'avait pas fait peur...
    ça ne fait toujours pas peur mais...
    Dans Shining, je retiendrai indéniablement le focus esthétique et la mise en scène. Des images sublimes (dont la manifestation la plus flagrante est l'hôtel lui- même, presque doté d'une personnalité propre à l'image de Barton Fink et créant cette sensation à la fois d'immensité, de solitude et de minuscule des trois protagonistes cloîtrés, surtout l'enfant sur sa bicyclette),une luminosité parfaitement maîtrisée et une BO glaçante, hypnotique, et une ambiance réussie.
    Pas contre peu fidèle au roman, l'oeuvre cinématographique passe à coté d'un des aspect primordial du livre(que je préfère).On passe carrément à coté de la psychologie des personnages, de leurs antécédents, bref il y a quelque chose de trop froid dans ce film et je ne parle pas de la neige.
    Et pont d'orgue qui fait frémir tous les amateurs à qui j'en parle je trouve que Jack Nicholson en fait beaucoup trop , vraiment beaucoup trop surtout dans la première partie (après il est fou et c'est plus adapté).J'ai l'impression de voir Jim Carrey et pour moi ce n'est pas un compliment.
    Cinememories
    Cinememories

    482 abonnés 1 465 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 novembre 2021
    Stanley Kubrick est de toute évidence un cinéaste qui n’a plus rien à prouver, sa filmographie en témoigne (Spartacus, 2001 : L’Odyssée de l’Espace, Orange Mécanique, Barry Lyndon, etc.), d’autant plus que les succès critiques. Non seulement, il propose une avancée dans le cinéma, d’un point de vue technologique et de mise en scène, mais il commence dorénavant à appréhender des adaptations sinistres, comme celui-ci, issu d’un Stephen King toujours torturé et au sommet de son art. Malheureusement, ce n’est pas de la cohésion qui en ressort, car le cinéaste a préféré se détacher des écrits pour des intentions différentes certes, mais louables. Le parti du surnaturel n’est qu’à moitié assumé, laissant ainsi le spectateur faire le reste de l’analyse. Audacieux ou fainéant ? Un peu des deux, mais cela fonctionne avec ce qu’il faut de doute pour en apprécier les formes et les saveurs.

    La déchirure familiale est un thème récurrent chez King, puisant dans son enfance et dans son imaginaire ténébreux. Et le manoir Overlook correspond tout à fait à son goût, car celui-ci est bien hanté. L’approche se fait donc par des capacités médium, celles de Danny Torrance (Danny Lloyd) notamment, qui découvre bien des surprises sur les générations qui ont précédé sa famille. Le rôle du gardien hivernal cache bien des secrets, qui apporte au garçon, convoité par bien des esprits, un soupçon de terreur. De l’autre côté, sa mère Wendy (Shelley Duvall) est son protecteur, mais qui ne se contente pas de rester spectatrice des apparitions troublantes. Viens alors la clé de voûte du récit, Jack (Jack Niholson) un père écrivain en manque d’inspiration et qui vit mal la difficulté financière pour aider sa famille. Le reflet du capitalisme n’est pas loin, et c’est le manoir qui se charge de la transaction de son âme, qui le change radicalement de bord.

    Le postulat ne prend pas soin de bien nuancer sa chute mentale, car Kubrick souhaite éparpiller des éléments qui serviront à son climax à en couper le souffle. C’est malin de sa part, mais cela brise la frontière du doute, sur les événements qui sont soit surnaturels, soit issus de la folie, générée par l’isolement glacial de la saison. Nous le comprenons donc, le manoir est bien l’antagoniste qui perfore et pervertit l’esprit d’un Jack torturé par sa carrière. Le cinéaste nous le montre « vivant », mais des cadrages minutieux et silencieux afin de refléter un malaise qui s’installe peu à peu, poussant les Torrance vers la folie et la sortie. Mais ce lieu, c’est avant tout un labyrinthe, qui reflète bien la position désespérée d’une famille en quête de prospérité. La chambre 237 témoigne également d’un cul-de-sac moral, car elle constitue le vice du désir et des fantasmes, avant d’être une pièce repoussante.

    N’en déplaise à King, le divorce entre ce dernier et Kubrick se solde malgré tout par une reconnaissance, car le film noir « Shining » est adoubé de promesses. Les tourments de Jack, les secrets du manoir et tant de mystères sur ce personnage phare proposent différentes grilles de lecture. Les plans proposent des fresques abstraites à en débattre à l’infini, mais ce qui définit finalement Jack, c’est bien un fantôme. C’est un fantôme pour la société, qui l’oblige à le laisser méditer dans un hôtel malveillant et qui ne fait qu’un avec ses pulsions. Ce personnage incarne ainsi la peur et la revanche d’une classe moyenne, dévorant une cellule familiale jusqu’à son dénouement inexplicable, mais jouissif.
    Tytoooan
    Tytoooan

    2 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 octobre 2019
    Clairement le meilleur film d'horreur de tous les temps et de loin. La performance de jack nicholson est folle de même que celle de danny loydd encore très jeune à l'époque. Shinning brille de part ses plans originaux ou dérangeant, son ambiance, ses musiques et son histoire. Aujourd'hui ce film a presque 40 ans mais il continue de faire flipper.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top