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Un visiteur
5,0
Publiée le 30 mai 2013
Un homme, un vrai!! rire. Avec ses défauts, ses faiblesses, ses doutes, ses certitudes. Un film d'une humanitude impressionnante. c'est vrai que ces dernières années nous avions un peu perdu Mickey Rourke mais dans ce role de vieux catcheur cabossé, il nous met à terre. Une caméra qui suit de dos le personnage principale qui nous permet de nous impliquer dans l'histoire. J'ai la certitude que the wrestler est le plus grand film de Mickey Rourke. En gros chapeau l'artiste.
Malgré une histoire de sportif qui en rappelle d’autres du même genre, on se laisse entraîner facilement dans l’existence de ce pauvre catcheur, seul et usé, d’autant plus qu’elle est parallèle à celle de son interprète Mickey Rourke.
Scénario de série B, film z enrobé dans le fric, sauvé par la magistrale interprétation de Mickey “Supermouse” Rourke et e sa transformation physique à la De Niro dans Raging Bull.
Un film qui ramène Micket Rourke sur le devant de la scène. Le personnage est touchant car il essaie de vivre de sa passion mais parfois oublie l'essentiel.
Que peut devenir un boeuf après avoir pratiqué un sport de beauf après 20 ans?La réponse dans the wrestler .Cela plairas meme aux personnes qui détestent le catch.
Un film d'une intensité rare dans lequel Mickey Rourke excelle en star has been. Les scènes de violence sont mémorables tout comme celles d'introspection où Aronofsky va, comme à son habitude, jusqu'au bout des plans, des idées et des choses. A voir !
The Wrestler : Encore une œuvre dirigé de main de maitre par le grand réalisateur : Darren Aronofsky qui nous offre un film intime et émouvant d’un catcheur nommé : Le Bélier. Moi, qui est pas fan du catch et bien on peut sire que ce film n’est pas réservé qu’aux fans de catch et ça c’est bien. Au contraire, ceux qui sont pas fans pourrait être amplement curieux par la suite du catch. Mais, ce n’est pas qu’un film de catch, c’est bien plus que ça. Cela retrace avec simplicité et authenticité la vie de cet homme qui a pour seul victoire : la scène du catch. Car nous allons voir que hors du ring, il na pas raison de vivre (ça fille le rejeté, il n’a pas de petit ami, il travaille dur…). Et vraiment, on est passionné et prit par cette histoire touchant et intimiste ou on suit avec attachement ce personnage émouvant qui cherche qu’a être aimé et estimé mais c’est dur. Le film nous propose une belle histoire, avec des scènes assez émouvante. Mais c’est la simplicité qui fait la force du film. Et ça grâce a une réalisation signé Darren Aronofsky qui fait encore des merveilles. Car il arrive à changer de style a chacun de ces films et a adopté la meilleur façon de filmé. La pour ce film, il adopté une réalisation très amateur, très documentaire mais je préfère le thème intime et ça colle parfaitement donc au film. Et sans parlé de la manière de filmé, le film est vraiment bien réalisé, avec une mise en scène soigné (et adapté) et elle nous offre de magnifique combat de catch brute et nerveux, comme si on y était. Ensuite, parlons des acteurs qui sont tous plus que convaincant et parfait dans leur rôle. Mention spécial a Mickey Rourke qui nous offre une interprétation poignant et authentique. Vraiment, ce rôle est taillé pour lui et il l’interprète a la perfection et moi je dis : bravo a lui. Et pour finir, les musiques très rock sont très bien choisit et colle bien au film. Voila, encore un chef-d’œuvre signé Darren Aronofsky qui nous propose un film admirablement bien fait avec un Mickey Rourke attachant (dans son rôle). Vraiment, j’ai adoré ce film très intimiste et magistralement bien interprété.
Nous naissons toutes et tous catcheurs. Mais la plupart d'entre nous finissent simples rameurs. WRESTLER, un drame humain chez les humains en est la matière, baignant dans le jeu teinté de violence.... Des Césars, des Césars, des Césars!
Un film émouvant, d'une grande simplicité. L'acteur principal est très touchant, son histoire semble si authentique (la VO accentue sûrement cet vision). Un film qui n'est pas à réserver aux seuls inconditionnels du catch, il raconte beaucoup plus : l'amour, la désillusion, la vie réelle, le passé, l'avenir, la passion, les interrogations, les hauts et les bas... Superbe.
The Wrestler est un film touchant et intelligent sur la tentative de reconversion d'un catcheur en fin de carrière. Ce film est également en quelque sorte une parabole de la vie de son acteur principal : Mickey Rourke.
The Wrestler montre les coulisses, la vie du catch underground sans masquer la réalité (oui le catch ne se résume pas à la WWE). Filmé caméra à l'épaule on suit les pérégrinations du "bélier" des vestiaires au ring, du club de strip-tease à sa misérable caravane qui lui sert d'habitation.
Mickey Rourke incarne à merveille ce vieux catcheur, viril et touchant, à la fois bête de combat et gros nounours.
Le film ne donne pas de leçon de morale, tiraillé entre plusieurs combats : sa passion, sa fille, une femme, le Bélier choisit de vivre sa passion jusqu'au bout.
Un très beau film de Darren Aronofsky et profondément humain.
Avec The Wrestler, Aronofsky nous ouvre les portes du monde du catch, sport spectaculaire mais truqué où le principe est de dégommer son adversaire par (quasiment) tout les moyens, de ce "sport" le réalisateur de Black Swan (qui a de nombreux points communs avec The Wrestler) en fait une très belle critique sans manichéisme, où le public est à la fois montrer du doigt pour cautionner ce genre de spectacle mais aussi bien vu puisqu'il font vivre les catcheurs. The Wrestler est surtout l'histoire d'un sportifs professionnels vieillissant qui vit pour et de son sport, seul et qui va tenter de renouer des liens avec sa fille qu'il avait perdu de vue à la suite d'un arrêt cardiaque. Si l'écriture du personnage est parfaite, le choix de Mickey Rourke constitue l'unique défaut du film, il n'est pas du tout mauvais seulement j'ai moyennement accroché à son protagoniste surnommé le "Bélier" et dans un film comme celui-ci, cela constitue un énorme problème puisqu'on ne voit que lui tout le long du film. Ce point noir ne m'a pas empêché d'être ému et cloué à mon fauteuil lors de la séquence final, inattendu du fait que le film se finit de manière brutal (mais magnifiquement mise en scène), attendu car l'on connaît le dénouement vingt minutes avant que celui ne pointe le bout de son nez.
The Wrestler est une très bonne surprise de la part de Aronofsky qui délaisse son côté "délire visuel psychédélique" pour se concentrer à fond dans l'écriture de son protagoniste, une réussite que n'arrive cependant pas à être magnifier par un Mickey Rourke très bon mais dont on sent qu'il peut faire encore mieux.
Quand on découvre le cinéma de Darren Aronofsky pour la première fois via Black Swan et qu'on a adoré (ce qui a été bel et bien mon cas), on se dit qu'on va adoré aussi The Wrestler, film qui précédait l'autre drame avec Natalie Portman. Et bien là, j'ai été très très convaincu, on atteint également le chef d'oeuvre! Au fond, les univers du catch et de la danse ne sont pas tellement distants; ce sont des spectacles plus que des sports (surtout pour le premier avec les combats truqués), et dans les deux cas Darren n'a pas négligé le côté percutant et sensiblement sanguinaire de ses deux films. La mise en scène de The Wrestler est tout à fait réussie, la réalisation l'est également; et cela met en valeur le côté réaliste, sadomaso ou plutôt sacrificiel (en référence spoiler: à une scène de "combat de catch" dans le film, là aussi truqué pour le spectacle mais impressionnant à coup d’agrafeuse de chaises et autres barbelés ) de Randy "Le Bélier", qui devient une sorte d'incarnation de Jésus musculeux pour se sentir aimé du public qui assiste à ses combats-spectacles. Jusqu'à que son cœur lâche cet effort. Un scénario en apparence simple (voire peut-être volontairement prévisible) mais très rythmé; le réalisateur réussi quand même à surprendre là où on ne s'attendait pas, pour tenir le spectateur sur 1h 45 min de bobine, tout en étalant ses talents. Côté casting, c'est très réussi: Mickey Rourke, acteur principal et personnage central du film, est absolument fait pour le rôle; sa prestation est très convaincante, de la crédibilité dans son jeu d'acteur, et malgré ses airs de brute épaisse sait être touchant voire émouvant dans ce rôle de vieux catcheur en manque de reconnaissance. Pour cela, ses rencontres avec la strip-teaseuse Cassidy (Elisa Tomei) et sa fille (Evan Rachel Wood) qui se sent délaissée par son père, s'avèrent très importants au scénario de ce drame. Les deux actrices jouent tout aussi bien et de manière crédible, et ainsi permet à l'histoire de ne pas être uniquement centré sur l'omniprésence de Mickey Rourke tout en le mettant en valeur jusqu'au final, magnifiquement mis en scène. En clair, voilà un drame qui mérite selon moi le titre de chef d'oeuvre. Car ce n'est pas bien sûr un film centré sur l'univers du catch (il semble plus s'en détacher que pour Black Swan et l'univers de la danse classique) mais un drame sur la descente aux enfers d'un catcheur touché en plein cœur et en perdition, à la recherche d'une reconnaissance et où la trouver.