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Votre avis sur The Wrestler ?
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Epoustouflant! Mickey Rourke plus émouvant que jamais dans un rôle taillé pour lui.
Une mise en scène très originale et très bien maitrisé .
Un petit bijoux !
A voir d'Urgence !
Une mise en scène très originale et très bien maitrisé .
Un petit bijoux !
A voir d'Urgence !
Darren Aronofsky réalise un film indépendant magistral, évitant l'artifice ou le mélo facile. La mise en scène impeccablement maîtrisée et l'interprétation époustouflante font de ce film-reportage un magnifique drame contemporain à ne manquer sous aucun prétexte.
Bah simplement grandiose,on découvre l'envers du décor du catch mais aussi une histoire profonde sur cette homme renié de tous sauf par son public de catch,c'est a la fois touchant et les scenes de catch sont travaillé,un grand mickey rourke,meme si hors du ring on peut souligner quelques scene ennuyeuses (rares soit t-il)
Un film remarquable mis en scène. Le jeu des acteurs est bouleversant. Un film émouvant qui réussit l'envergure de ses ambitions.
Un film encensé par la critique qui voit la consécration du retour de Mickey Rourke (après sa résurrection dans ”Sin City”). Et il faut bien admettre que ”The Wrestler” repose entièrement sur les larges épaules de son interprète principal qui nous sert une prestation bouleversante et se livre à un époustouflant numéro d’autocritique. Car le parcours de ce catcheur en fin de course résonne comme un écho à peine voilé à la carrière de l’acteur, star prometteuse des années 80 tombée depuis dans toutes sortes d’excès (sexe, drogue, alcool, déchéance physique…) pour finalement renaître de ses cendres. Il fallait néanmoins un réalisateur digne de ce nom pour encadrer cette prestation et éviter le piège du ”rôle à Oscars” simplement basé sur l’interprétation aux dépens de l’histoire. Et Darren Aronofsky s’en sort mieux que bien puisqu’il parvient à faire ressentir au spectateur la terrible solitude de cet homme qui a tout perdu et qui tente maladroitement de recoller les morceaux après son accident cardiaque (avec sa fille, avec son amie stripteaseuse…). Il met également en opposition cette vie peu enviable avec les spectaculaires prestations du Bélier sur le ring (les seuls moments où il se sent vivant) jusqu’à l’implacable final (et une fin ouverte à toutes les interprétations). Une réalisation travaillée au service d’un grand acteur qui ne doivent pas faire oublier les 2nds rôles tels que la sexy Marisa Tomei ou la tourmentée Evan Rachel Wood. Malheureusement, le film souffre du mal des productions indépendantes, à savoir un rythme assez lancinant et un ton assez misérabiliste, qui m’empêche de mettre une 3e étoile. Mickey Rourke peut cependant ajouter Darren Aronofsky aux côtés de Robert Rodriguez et Tony Scott au Panthéon des réalisateurs qui lui ont permis de retrouver le haut de l’affiche.
Aronofsky filme la vie de ce catcheur en évitant les effets tapageurs, il la filme de manière simple, caméra à l'épaule, laissant ainsi la place à l'interprétation magistrale de Mickey Rourke (comment ne pas faire de lien entre le personnage et l'acteur?), bien soutenu par un Marisa Tomei superbe. Un film sur lequel l'émotion simple plane de bout en bout, tellement on ne peut être que touché par les erreurs de Randy, peu doué pour la vie, et qui finalement n'existe que par les acclamations d'un public se réjouissant de voir des hommes souffrir. La fin est très réussie, la musique très bien intégrée. Un film à voir, assurément.
Un film qui commence à la Dardenne, caméra à l'épaule pour suivre Ram. Un catcheur professionnel qui à part son sport a bien du mal à faire des choix judicieux. Tout le film, on espère qu'il s'en sortira dans la "vraie" vie mais "le bélier" est un vrai looseur vrai de vrai est tout les points qu'il arrive à gagner, il les perd tout de suite après. Comment ne pas faire le parallèle avec la vie de l'acteur principal : Mickey Rourcke.
film a conseiller, plein d'humanité et chapeau pour le jeu de Mickey Rourke
Mickey Rourke était à l’époque un acteur populaire. Malheureusement, il a enchaîné les mauvais rôles et on n’a plus entendu parler de lui pendant des années. En 2005, il a refait surface grâce à Robert Rodriguez et Frank Miller pour l’adaptation cinématographique du roman graphique Sin City. Mais il ne tenait pas le rôle principal, et il était à peine reconnaissable car recouvert de maquillage et retravaillé numériquement en noir et blanc. Le véritable come-back de Mickey Rourke se fait donc avec The Wrestler, de Darren Aronofsky. The Wrestler raconte l’histoire d’un catcheur qui a eu son moment de gloire et qui à cause de problèmes cardiaques, ne peut plus faire ce sport. Il est devenu has-been, et en plus de cela, sa vie privée est un désastre. Il n’a plus de contact avec sa fille, il éprouve des sentiments pour une stripteaseuse. Bref, ce n’est pas la joie. Bien que ce long-métrage se concentre sur un catcheur, on peut déceler des parties autobiographiques de la vie de Mickey Rourke. S’il a été choisi par Darren Aronofsky, ce n’est pas pour rien. Mickey Rourke a aussi été oublié. Il est aussi devenu has-been. C’est le réalisateur Darren Aronofsky qui a donné une deuxième chance à Mickey Rourke. Maintenant, il ne faudrait pas qu’il foute cette chance en l’air, car il n’en aura probablement pas une nouvelle. Dans The Wrestler, Mickey Rourke nous livre une des meilleures performances de toute sa carrière. Pas étonnant qu’il ait été nominé aux oscars pour son rôle marquant. Il s’est donné pour ce rôle, et ça se voit. Concernant la réalisation de The Wrestler, elle est bien menée. Darren Aronofsky est un réalisateur fort respecté dans le milieu du cinéma. Ses films sont souvent synonymes de succès sur le point de vue critique. The Wrestler est aussi une de ses meilleures réalisations. Je suis persuadé que si ce film avait été donné à un autre réalisateur, il n’aurait pas été aussi réussi. Bref, je m’attendais à un bon film, je me suis retrouvé face à un très bon film. Je n’ai pas été déçu et je le recommande à tout le monde. Même mon petit frère, qui d’habitude n’aime pas ce genre d’histoires, à adoré ce film.
Si comme moi, vous aviez encore en tête l'image du Mickey Rourke enjoué et charmeur de "L'année du dragon", les premières minutes seront pour vous un choc visuel. Filmées avec la technique de la caméra à l'épaule, elles vous dévoileront le visage d'un homme usé par le temps (pour ne pas dire par les produits illégaux et par la chirurgie esthétique), mais qui enfile à merveille le costume du catcheur vétéran. Et le portrait de ce personnage est bouleversant d'humanité. Un homme de spectacle, dans son élément sur une scène mais gauche et maladroit dans sa vie privée, et qui est en quête de rédemption. Le réalisme est saisissant, tant en ce qui concerne la dureté des combats mais aussi et surtout en ce qui concerne les rapports humains. J'ai rarement été autant touché par un film, merci.
NeoLain
Grosse déception, j'ai pas aimé du tout. C'est lent bon c'est pas trop le problème, le problème de ce film réside sous une réalisation qui provoque le sommeil, c'est soporifique. Trop souvent la caméra se trouve derrière Mickey Rourke, les combats attire la violence gratuite. Par contre le son est très bon.
Une nouvelle descente aux enfers signée par le génial Darren Aronovsky qui excelle dans le genre. Un pari osé, un grand acteur sur le déclin auquel il a su donner de nouvelles lettres de noblesse malgré quelques tensions sur le plateau. Une réalisation documentaire de toute beauté avec peu de moyens. Bluffant de réalisme, la fin de carrière de cette star du catch est très émouvante. Pour les nostalgiques comme moi de ce fascinant spectacle, c'est un vrai régal! Encore bravo!
Un beau film et une très belle prestation de Rourke, dommage que la fin soitt un peu baclée à mon goût.
Vraiment pas le meilleur film d'Aronofsky. On est dans le genre "film de boxe" américain, sensible, dur, qui se laisse regarder mais ne révolutionne rien. Un bon film de genre et de consommation qui ne laissera pas un souvenir intarissable hormis une plongée inhabituelle et réaliste dans un univers (le catch) particulier.
Excelent film avec un formidable M. Rourke. Humain, dure, émouvant... du très bon cinéma. A voir et à faire voir
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