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    The Wrestler
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    963 critiques spectateurs

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    Biertan64
    Biertan64

    51 abonnés 1 433 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2019
    Dans la lignée des Rocky Balboa, avec des thèmes tel que le temps qui passe (pour tous), le souvenir de la gloire passée (pour le sportif) et le retour à une vie plus anonyme.
    Mickey Rourke est excellent dans ce rôle de catcheur en fin de carrière, limite émouvant, et il nous fait découvrir le milieu méconnu de ce sport-spectacle et ses coulisses. Ne pas hésiter à prendre son ticket pour assister à ce combat du Bélier contre la vie.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 novembre 2018
    tout simplement mon aronofsky préféré. un film bouleversant avec une bo du tonnerre et un mickey rourke monumentale. certains plans séquences sont vraiment impressionnants. un tour de force qu´a réussi a faire le réalisateur américain avec ce film qui s´inscrit dans mon top 50. vraiment magnifique.
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur

    19 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 septembre 2018
    Impossible pour moi de ne pas faire figurer ce film dans cette liste d’incontournables, tant ma passion pour le catch est immense depuis plus de 25 ans et tant l’histoire de cet anti-héros est bouleversante et criante de vérité. Ce film est pour moi un hommage à ce monde souvent incompris, une ode au respect absolu pour ces hommes qui se livrent corps et âme dans le seul but de divertir toujours plus, qui vivent leur passion pleinement mais ont conscience du danger, qui donnent tout et refusent souvent de se retirer du circuit. J’ai une profonde admiration pour ce monde, j’ai vu des centaines de combats depuis les abords du ring et je peux vous dire que ces mecs sont des héros modernes qui se sacrifient littéralement pour procurer des émotions…et ce serait vraiment ridicule et irrespectueux de réduire tout ça à du cinéma, du « pour de faux ». Bon voilà ce qu’il en est pour ma déclaration d’amour au catch…maintenant parlons du film et de ses deux atouts majeurs : un réalisateur de génie et un acteur exceptionnel, revenu des enfers, qui est fait pour ce rôle et qui l’incarne avec une justesse et une puissance rare.
    Commençons justement par Mickey Rourke, l’ancien beau gosse de « 9 semaines et demi », passé par une traversée de désert due à tous les excès possible, défiguré, au fond du gouffre et qui renait de ses cendres tel un phénix dans ce rôle sur mesure. Cette histoire c’est sa vie. Ce mec paumé en quête de rédemption qui en a pris plein la gueule, qui ne vit plus que pour sa passion, qui a tout perdu mais qui se bat, qui ne veut pas raccrocher. Rourke est impressionnant, magistral d’authenticité et de simplicité, il campe avec finesse et conviction ce catcheur has been qui a tout sacrifié pour sa carrière, délaissant femme et enfant pour vivre sa passion. Touchant dans son interprétation pleine de nuance et surtout dans sa faculté à intérioriser ses émotions, à les vivre à force mais pudeur, à vouloir rattraper ses erreurs et se racheter, à souffrir autant moralement que physiquement, pour au final comprendre que seul le spectacle compte. Une vraie claque que ce rôle qui l’aurait sorti un instant du trou et aura rappelé au monde que Mickey Rourke n’était pas encore à enterrer…
    Mais rien n’aurait vu le jour sans le génie d’Aronofsky, ce poète, cet ovni du cinéma qui nous régale à chacun de ses films. Ici encore il nous offre une œuvre intime, émouvante, pleine de pudeur. Filmé à la limite du documentaire, il fait pénétrer le spectateur dans les coulisses du show et dans l’intimité profonde de ces gladiateurs en quête de reconnaissance.
    Bref, un nouveau chef d’œuvre d’Aronofsky qui offre le rôle de sa vie à un Mickey Rourke sorti des enfers et une visibilité tellement mérité au plus beau (et ingrat) des sports, le catch.
    Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
    ronny1
    ronny1

    40 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 avril 2019
    Les larmes qui coulent du regard désespéré, dernière lumière d’un visage monolithique, résument toute la détresse d’une descente aux enfers sans rédemption pour Randy The Ram. De ce monde du spectacle dopé aux amphétamines et anti douleurs de toute sortes, les stars ne peuvent que déchoir dans un long tunel qui les mène de la lumière étincelante vers les gymnases des lycées et salles de quartier, à la lumière ternes des clairs obscurs au rabais. Dans The Wrestler, Darren Aronofsky en choisissant le chemin de la simplicité, livre un film d’une force peu commune, aussi touchant qu’irrespirable, dans lequel il n’épargne rien, ni personne, si ce n’est la « marchandise » qui fait tourner le business. Tous les business. Le catch, le strip tease, la boucherie,… L’extinction du plan final, de par sa sobriété touche au sublime et nous renvoie longtemps après au sourrire d’une douceur infini, que Mickey Rourke, géant dans ce rôle qui résume en parallèle une partie de sa vie, affiche avec une tendrese infinie à cette strip teaseuse trop agée pour le métier, elle aussi proche de la sortie (formidable Marisa Tomei). Cete descente ultime aurait pu être le paradoxe de la renaissance de Mickey Rourke au sommet, mais voilà, l’academy ne lui accordera rien (pourtant Golden Globe du meilleur rôle masculin), ni au film (Lion d’or au festival de Venise), ni davantage à Marisa Tomei, la prude et rancunière academy tenant là l’occasion d’alimenter un peu plus sa pudibonderie, aussi tartufière que mesquine, par une vengeance du niveau d’une humidité de caniveau. The Wrestler aura le privilège de rejoindre les films oubliés des Oscars …
    Xavier d
    Xavier d

    10 abonnés 230 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 décembre 2017
    Un film remarquable par sa réalisation, caméra à l’épaule et caméra subjective, Un Mickey Rourke sur le retour qui assume parfaitement sa gueule et son corps défoncés. Le scénario fonctionne même s’il est sans réelle surprise.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    118 abonnés 1 182 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 octobre 2017
    Film porté par la remarquable prestation de Mickey Rourke qui confirmait son retour après Sin City. Si le scénario peut sembler évident à certains dans sa globalité, on voit bien que cette chronique de la vie réelle tout pourrait basculer dans un sens ou un autre à chaque instant. La dure réalité sociale n'épargne personne.
    mx13
    mx13

    249 abonnés 1 918 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2018
    The wrestler fait parti de ces films qui se laissent regarder simplement et tranquillement, sûrement par sa mise en scène bien réussie, composée d'excellents dialogues qui tiennent la route, ainsi que de situations sexuelles. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 4/5
    Fabien S.
    Fabien S.

    564 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2017
    Un très bon film de Darren Aronofsky . Mickey Rourke incarne un catcheur en quête de rédemption. Un très beau drame humain.
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    78 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 septembre 2017
    J'aime beaucoup Darren Aronofsky mais "The wrestler" m'a globalement laissé en dehors. Le film avait pourtant un joli potentiel et propose d'ailleurs quelques jolies scènes. La superbe performance de Mikey Rourke m'a épaté et la démarche réaliste quasi-documentaire est bien gérée. Mais voilà pour une raison que j'ai du mal à expliquer, la mayonnaise ne prend pas. Peut-être en raison d'un scénario au déroulement trop prévisible et de l'écriture trop cliché des personnages. Meme la mise en scène de Aronofsky, dont je suis le premier à mettre en avant les qualités de metteur en scène, m'a paru assez impersonnelle et manquait d’âme. Je n'ai pas du tout adhéré au parti pris esthétique du film et les quelques bons plans (notamment le dernier) présents dans le film ne m’empêchent pas d’être globalement déçu par l'aspect visuel global du film. "The wrestler" a quelques qualités mais m'a laissé froid et m'a pas emporté sur le plan de l'émotion à mon grand regret.
    Matthias T.
    Matthias T.

    46 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 janvier 2017
    The Wrestler, quatrième long-métrage de Darren Aronofsky après Pi, Requiem for a dream et The Fountain, récompensé du Lion d'Or à Venise en 2008, brosse le portrait émouvant d'un catcheur has been, Randy Robinson dit "The Ram", le bélier. Véritable star du catch il y a vingt ans, "The Ram" vit dans la nostalgie d'une gloire passée, qui continue à perdurer d'une certaine façon à travers des figurines miniaturisées ou des jeux vidéos représentant le héros. Mais en même temps celui-ci doit bien constater le désastre d'une vie qui paraît, considérée avec le recul, n'être faite que d'échecs: sa solitude, son conflit éternel avec sa fille, son manque de perspectives dans l'univers professionnel (il tente tant bien que mal d'être vendeur de viande dans un supermarché)...
    Enfin, et malgré des problèmes de coeur et une interdiction formelle de la part de son médecin, "The Ram" retourne là où il appartient, là où est sa place, là où il se sent comme un poisson dans l'eau: sur le ring.

    On ne cachera pas que The Wrestler est avant tout le film d'un acteur, d'un homme: Mickey Rourke. Dans un rôle à forte dimension autobiographique (lui-même ayant sombré dans l'alcool après avoir été une star, puis tenté le come back une fois plus âgé), Mickey Rourke déploie une générosité exemplaire, mais qui ne relève jamais du cabotinage. Dans ce film, il donne, se donne; sans concessions. Aronofsky filme sa tignasse négligée et sauvage, son visage parcouru de cernes, son corps usé, fatigué et blessé ainsi que ce qu'il sécrète: sa sueur, ses larmes, son sang et son vomis. Cependant le film, malgré tout ce qu'il montre, ne tombe jamais ni dans la vulgarité ni dans le voyeurisme.

    Non, malgré ce sujet casse-gueule, The Wrestler ne relève en rien de la surenchère. Il s'impose au contraire, dans son évocation de cet homme au bout du rouleau, qui essaie sans succès d'épouser une "vieille" strip-teaseuse mère d'un enfant et de se réconcilier avec sa fille longtemps laissée sans nouvelles en lui offrant un T-shirt vert marqué d'un "S" parce qu'elle s'appelle Stéphanie, de ce catcheur qui tombe sept fois mais trouve quelque part (où?) la force de se relever huit fois, avant de planer finalement au-dessus du ring comme un nouveau Jésus au terme de son chemin de croix (superbe dernière image qui reste en suspens), comme une authentique claque émotionnelle.
    soulman
    soulman

    92 abonnés 1 227 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 octobre 2016
    Qui aurait cru que l'on pouvait réaliser un film passionnant sur fond de combats de catch ? Aldrich avait bien essayé lors d'un de ses derniers galops mais là, avec l'aide de Mickey Rourke, exceptionnel, Aronofsky frappe fort, où ça fait mal. Le personnage de Randy va vers son destin tragique avec détermination, même s'il lutte pour s'offrir une autre vie. Rattrapé par la misère et la solitude, il préfère remonter sur le ring alors qu'il sait qu'il ne pourra pas aller jusqu'au bout.
    La dimension christique, évidente, est défendue par un acteur lui aussi sur le retour, aussi abimé que son personnage, mais qui élève son jeu tout au long de cette oeuvre noire, particulièrement dans les scènes partagées avec ses partenaires féminines. Du grand art !
    Toto INF
    Toto INF

    37 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 août 2016
    Jamais l'histoire d'un catcheur aura été aussi captivante et émouvante !

    The Wrestler raconte les années post-gloire d'un catcheur clairement sur le déclin. Seul, meurtri, blessé par une carrière de sports extrêmes, perdu au plus profond des Etats-Unis, le personnage interprété par Mickey Rourke subira la vie de pleins fouets. Des leçons seront tirés de son passé, des erreurs corrigées, mais surtout une vie sera reconstruite. C'est là toute la philosophie derrière ce film. Au delà de présenter tout le côté humain derrière les catcheurs tant déshumanisés par les rôles qu'ils ont sur le ring, le film montre tous les à côtés de ce genre de vie. Une vie dédiée corps et âmes aux combats (de gladiateurs) au risque de tout perdre.
    Pas nécessairement une leçon sur la vie, mais un véritable tour de force cinématographique, là où je n'en n'attendais pas un.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 avril 2016
    Avec son corps ravagé, Mickey Rourke est exceptionnellement touchant dans la peau de ce loser de l'extrême. Son récit bouleversant et plein de véracité est très surprenant au sein de ce monde factice qu'est le catch.
    Le film est incontestablement une réussite artistique mais ne restera à mes yeux qu'un brouillon de Black swan, avec lequel il partage quelques similitudes, sur le fond comme sur la forme.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 5 avril 2016
    The Wrestler est un film de 2008 retraçant la fin de carrière du catcheur, « Randy Le Bélier » remarquablement interprété par Mickey Rourke. Le film, réalisé par Darren Aronofsky (Black Swan, The Fountain, Requiem For A Dream) sera récompensé par le Lion d’Or à la Mostra de Venise.

    Le Pitch : À la fin des années 1980, Robin Ramzinski ou « Randy le bélier » était une véritable star du catch. Vingt ans plus tard, sur le déclin, il mène une existence misérable dans le New Jersey, et continue à combattre pour des clopinettes. Au terme d’un combat à la violence inouïe contre son plus impressionnant adversaire « The Ayatollah », Randy s’effondre, victime d’un arrêt cardiaque. Son médecin est formel : pour survivre, il doit mettre un terme à sa carrière. Sur les conseils de Cassidy (jouée par la sublime Marisa Tomei), une strip-teaseuse et accessoirement son crush, il reprend contact avec sa fille Stephanie, hostile à l’idée de retrouver cet homme qui l’a abandonnée en bas âge (bad-guy) …

    Formidable d’intensité, le film montre à quel point la passion d’un sport peut être destructrice pour un homme. Le choix de Mickey Rourke pour le rôle titre contribue grandement à la qualité du film. En effet, autrefois adulé et en compétition avec Bruce Willis pour la place de Number 1 à Hollywood, Mickey, n’écoutant que sa passion pour la boxe, mis sa carrière d’acteur entre parenthèse. Il finira défiguré et passera par de nombreuses opérations de chirurgies esthétiques pour retrouver un semblant de visage.

    Ajoutez à ça différentes addictions et des fréquentations questionnables et vous obtenez un merveilleux crash artistique. Rourke sait donc ce qu’est la souffrance endurée par un combattant, l’attrait du ring et la passion du combat avec tous les côtés sombres que cela implique. Il trouve en Robin Ramzinski le rôle de SA vie. Il s’entrainera sans relâche avec le catcheur Afa Anoa’i pour être fin prêt. Sa prestation sera d’ailleurs unanimement saluée par la critique et il repartira avec un Golden Globe de meilleur acteur. A 56 ans, il obtiendra sa seule et uniquement nomination à l’Oscar du meilleur acteur.

    Enfin, comment parler de The Wrestler sans évoquer la magnifique bande-originale du film. Le Boss, Bruce Springsteen à la demande de Rourke, composera la chanson « The Wrestler » qui remportera le Golden Globe de la meilleure chanson originale.

    La chanson « Sweet Child O’ Mine » des Guns N’ Roses est celle qui accompagne Rourke à chacune de ses entrées sur le Ring. Pour la petite histoire, le chanteur du groupe donna les droits de la chanson pour les besoins du film. La Bande-Originale commercialisée est composée de titres méchamment Hard-Rock et Heavy-Metal rappelant ainsi la personnalité du Bélier !

    Bref, on vous conseille chaudement ce film, 109 minutes de maestria s’offrent à vous. Emotions garanties !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 février 2016
    Glauque. Ennuyeux à mourir. spoiler: (à tel point que la simagrée de "suicide" du personnage principal, qui marque la fin de ce film, est une véritable délivrance)
    Tellement mal joué que le scénario, déjà totalement dépourvu d'inspiration, en perd toute crédibilité. Le personnage que tente d'interpréter Mickey Rourke, est celui d'un lutteur professionnel sur le retour, dont le nom de ring est Randy "The Ram" Robinson... Quelle originalité! (pour rappel, à l'époque du tournage en 2008, Randy "The Viper" Orton était alors champion de la WWE) Bref, j'ai trouvé ce film plus que médiocre, long et sans intérêt, le seul drame étant, à mon humble avis, toutes ces récompenses qui lui ont été décernées bien à tort. Le pauvre Ron Killings (R-Truth), qui y fait une brève apparition, doit encore s'en mordre les doigts aujourd'hui... (à relever que c'est l'unique véritable lutteur professionnel du casting) En conclusion, même s'il existait un Golden Globe Award du spectateur le plus méritant, je ne conseillerais ce film à personne.
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