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ml-menke
42 abonnés
551 critiques
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4,5
Publiée le 11 mars 2012
Une fiction d'un homme qui a donné sa corps pour sa passion en oubliant sa famille. On se laisse emporter par le film qui dévoile ses blessures et ses combats littéralement comme psychologiquement. Mickey Rourke donne tout ce qu'il a pour ce rôle qu'il lui va à merveille.
The wrestler fait parti de ces films qui se laissent regarder simplement et tranquillement, sûrement par sa mise en scène bien réussie, composée d'excellents dialogues qui tiennent la route, ainsi que de situations sexuelles. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 4/5
IL manque quelquechose dans ce film l' épique de rocky de la misère à la gloire ici c' est de la gloire à la misère une autre facon de voir mickey dans tous les sens du terme adieu sa belle gueule avec la boxe et la chirurgie qu' elle misère et quel grand acteur
Très mauvais je n'ais pas accroché du début jusqu'a la fin, unMickey Rourke très bon dans se rôle, je n'ais pas aimée car il ne se passe rienen s'enuye pendant 2H vraiment sans aucun intérêt
Les interprétations sont énormes, surtout Mikey Rourke qui réalise une parfaite introspection (ce qui est trés dur) grace a la mise en scene plutot banale, mais trés inspirée par moments (certaines scenes de combats ou dans le supermarché) de Darren Aronofsky. On passe par toutes les émotions.... c'est bon.
Que ce film est mauvais ! C'est un des pires films que j'ai vu ces dernières années. A croire que parce qu'il a eu une récompense à Venise, tout le monde se sent obligé de le couvrir de louanges. Comment peut-on dire que Mickey Rourke joue bien ? Il a la peau tellement tirée qu'il est difficile de percevoir la moindre émotion sur son visage. Et si vous êtes amateurs de catch, je vous conseille plutôt de regarder un mauvais match sur les chaînes du câble : Vous éviterez ainsi de perdre votre temps en essayant de trouver un quelconque intérêt à cette daube.
Un film encensé par la critique qui voit la consécration du retour de Mickey Rourke (après sa résurrection dans ”Sin City”). Et il faut bien admettre que ”The Wrestler” repose entièrement sur les larges épaules de son interprète principal qui nous sert une prestation bouleversante et se livre à un époustouflant numéro d’autocritique. Car le parcours de ce catcheur en fin de course résonne comme un écho à peine voilé à la carrière de l’acteur, star prometteuse des années 80 tombée depuis dans toutes sortes d’excès (sexe, drogue, alcool, déchéance physique…) pour finalement renaître de ses cendres. Il fallait néanmoins un réalisateur digne de ce nom pour encadrer cette prestation et éviter le piège du ”rôle à Oscars” simplement basé sur l’interprétation aux dépens de l’histoire. Et Darren Aronofsky s’en sort mieux que bien puisqu’il parvient à faire ressentir au spectateur la terrible solitude de cet homme qui a tout perdu et qui tente maladroitement de recoller les morceaux après son accident cardiaque (avec sa fille, avec son amie stripteaseuse…). Il met également en opposition cette vie peu enviable avec les spectaculaires prestations du Bélier sur le ring (les seuls moments où il se sent vivant) jusqu’à l’implacable final (et une fin ouverte à toutes les interprétations). Une réalisation travaillée au service d’un grand acteur qui ne doivent pas faire oublier les 2nds rôles tels que la sexy Marisa Tomei ou la tourmentée Evan Rachel Wood. Malheureusement, le film souffre du mal des productions indépendantes, à savoir un rythme assez lancinant et un ton assez misérabiliste, qui m’empêche de mettre une 3e étoile. Mickey Rourke peut cependant ajouter Darren Aronofsky aux côtés de Robert Rodriguez et Tony Scott au Panthéon des réalisateurs qui lui ont permis de retrouver le haut de l’affiche.
Darren Aronofsky arrive à humaniser profondément le catcheur ainsi que Mickey Rourke qui trouve là le rôle le plus parfaiyt pour sa gueule d'écorché vif. Biopic intimiste et pourtant les scènes de combat sont impressionnantes de virtuosité visuelle, alors qu'il n'était pas évident de rendre le catch esthétique. Le jusqu'au boutisme pour sa passion au-delà de la santé de son propre corps et de ses limites.
Une bonne surprise, d'une simplicité narrative et d'une sobriété visuelle qui dénotent dans la filmo globalement hyper stylisée de Darren Aronofsky. En mode "réalisme social", la caméra suit de très près un catcheur usé, "vieille carne en lambeaux". Colosse maladroit, loser magnifique. Un personnage rendu sympathique et touchant par Mickey Rourke qui trouve là un rôle tout en résonances avec son propre parcours de vie (acteur star dans les années 1980, déclin, carrière dans la boxe…). Avec son physique assez monstrueux, sa tignasse blonde, sa sensibilité heurtée, l'acteur porte le film sur ses épaules, avec une présence assez incroyable, sans jamais trop en faire. Il nous introduit avec naturel dans les coulisses d'un univers peu montré au cinéma, que Darren Aronofsky dévoile sous un jour étonnant : univers de gros biscotos aux cœurs tendres, fraternité et complicité... Les autres axes du récit (les relations du "héros" avec la strip-teaseuse et avec sa fille) sont plus classiques et mélodramatiques. La trame générale est en soi assez prévisible, mais il émerge de cette histoire de plaies et de bosses une tendresse et une mélancolie vraiment séduisantes, qui trouvent une jolie expression dans le dénouement.
Un trés bon long métrage sur le catch et le retour d'un acteur prodigieux nommé Mickey Rourke!! Réalisé par Darren Aronofsky auquel je découvre ses talents de cinéaste et lion d'or au festival de Berlin, ça raconte la vie d'un catcheur qui a connu la gloire dans les années 80 et qui continue ce sport de nos jours en amateur. Sa vie actuelle rime avec des problèmes cardiaques, querelle avec sa fille, relation avec une mère stripteaseuse et travail à mi-temps dans un supermarché, mais tout ça ne vaut pas le catch qui est sa grande passion. Un role sur mesure qui pourrait ressembler à la vie de Mickey Rourke, de la lumière à l'ombre, qui fait un superbe revival et auquel on a de la sympathie pour ce personnage. Coup de chapeau aussi pour Marisa Tomei, actrice rare mais excellente tout comme la jeune Evan Rachel Wood. Du trés grand cinéma indépendant Américain comme je l'adore.
C'est un film très prenant, qui offre une vision réaliste et surprenante du monde du catch professionnel. En ce sens, Mickey Rourke livre une prestation du tonnerre. Peut-être y a t-il eu quelques longueurs mais pas de grosses bourdes. Une réalisation maîtrisée et une histoire à la fois étonnante et attachante offrent un film très intéressant qui mérite d'être vu.